Dans « Le sexe à la suisse », Marina Rollman explore avec son humour mordant et décomplexé les particularités de la sexualité helvète. Entre clichés et réalités, l’humoriste suisse décrypte, avec autodérision, les tabous et les paradoxes d’une société souvent perçue comme rigide. Son style, à la fois fin et provocateur, transforme les sujets intimes en spectacles hilarants, invitant le public à rire de soi-même. Rollman, maître dans l’art de jouer avec les mots et les stéréotypes, prouve une fois de plus que l’humour est un puissant vecteur de libération. Son approche, à la fois tendre et impertinente, séduit par sa justesse et son audace. Une plongée réjouissante dans les mœurs suisses, où le rire devient le meilleur remède aux complexes. À travers ses anecdotes et ses observations, elle rappelle que la sexualité, comme l’humour, n’a pas de frontières. Un spectacle à savourer sans modération, pour dédramatiser et célébrer la diversité des plaisirs.
Le sexe à la suisse – La drôle d’humeur de Marina Rollman
Commentaires
10 réponses à “Le sexe à la suisse – La drôle d’humeur de Marina Rollman”
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Deux collègues discutent. L’un d’eux demande à l’autre:
– A votre idée, sans vous compter, combien croyez-vous qu’il
y ait de cocus dans la ville ? L’autre répond, furieux:
– Comment, sans me compter ?
– Excusez-moi, reprend le premier, gêné. Je n’ai pas voulu vous froisser.
Alors, en vous comptant,
combien croyez-vous qu’il y en ait ? -
Quelle est la plus petite prison au monde ?
La bactérie, parce qu’elle n’a qu’une seule cellule.
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Ne trouves-tu pas que ça sent mauvais, dit l’œil gauche à l’œil droit?
Entre toi et moi, ça sent à plein nez.
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Durant l’Occupation, un soldat allemand vient acheter chaque matin son Pariser Zeitung chez le même marchand de journaux. Et, chaque matin, le kiosquier lui répète :
– Tiens, voilà ton journal, grand con.À la longue, l’Allemand finit par se poser des questions, et demande à un Français, dans la rue, la signification de « grand con ».
– Ça veut dire « grand conquérant », répond le passant.Le lendemain, le soldat revient acheter son journal, comme à l’accoutumée.
– Tiens, voilà ton journal, grand con ! lui dit le kiosquier.
– Moi pas grand con ! s’exclame alors le soldat. Moi petit con, seulement. Hitler, lui grand grand con -
Deux copains discutent :
– Je m’étais acheté un lit Louis XV !
– Bonne idée !
– Non… Parce qu’il était trop petit pour moi.
– Ah bon ? Alors qu’as-tu fait ?
– J’ai acheté un lit Louis XVI. -
Un couple de braves retraités prend pour la première fois le bateau pour une croisière. Le mari a déjà été à la plage, mais sa femme, elle, n’avait encore jamais vu la mer…
– Oh là là, murmure-t-elle. Qu’est-ce qu’il y a comme eau !
– Et encore, répond son mari. Tu ne vois que le dessus. -
Un mec, une nana :
– Moi, ça fait longtemps que je cherche une femme avec de la personnalité.
– Génial ! Moi, j’en ai au moins quatre -
La suisse est un pays extrêmement riche.
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Qu’est ce qui manque le plus aux moches lors des surprise-party ?
– Une invitation. -
C’est l’histoire de Why. Why est bucheront parce que depuis tout petit Why aime scier. (YMCA)
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