La chasse aux chômeurs: La chronique d’Aymeric Lompret dans « La dernière »
La chasse aux chômeurs: La chronique d’Aymeric Lompret dans « La dernière »
Commentaires
6 réponses à “La chasse aux chômeurs: La chronique d’Aymeric Lompret dans « La dernière »”
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La chasse aux chômeurs… C’est comme la chasse a cours. On tire sur tout ce qui bouge.
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Le gouvernement en place fait beaucoup de promesses mais il y a seulement des paroles.
Attendons le 11 septembre pour voir le peuple se soulever. -
Un ivrogne tenant à peine sur ses jambes s’affale sur le comptoir d’un bar de nuit parisien.
Le seul autre client du bar également en état d’ébriété lui tape sur l’épaule et l’interpelle :
– Hé l’ami de quelle ville es-tu ?
Le premier répond :
– Je viens de Bordeaux. Et a Bordeaux, on sait boire !
L’interlocuteur sursaute
– Pas vrai ! Sais-tu que moi aussi je suis de Bordeaux. Et quel age as-tu ?
L’ivrogne réfléchit et lance :
– J’ai 27 ans je suis du 19 mai 75
– Pas possible ! Moi aussi du 19 mai 75. Eh l’ami, à quelle école as-tu donc été
quand tu étais petit ?
Le premier prend de longues secondes pour finalement dire :
– A l’école Jean Jaurès ! Ne me dis pas que toi aussi ?
– Eh ben si figure toi! Jean Jaurès aussi précise l’autre avant de scander à l’adresse du barman
– Tournée générale en l’honneur de mon nouveau pote !
A ce moment-la un habitué entre dans le bar et lance au barman
– Alors quoi de neuf patron ?
L’homme derrière le comptoir
– Pas grand chose, la routine, les jumeaux sont bourrés comme d’habitude-
Le chômage est fait exprès pour maintenir les salaires bas
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L’adjudant a demandé au soldat Lafleur de creuser un grand trou pour y enterrer les ordures de la cuisine.
Une heure après, il vient vérifier le travail. Il n’y a plus d’ordures, mais il y a un immense tas de terre.
Alors il s’écrie, furieux:
– Lafleur, vous me ferez huit jours, subséquemment que vous n’avez pas fait un trou assez grand
pour contenir à la fois les ordures et la terre du trou… -
Pourquoi les papas sont-ils si fiers de leurs voitures ?
Parce qu’elles sont comme des membres de la famille, avec quatre roues
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