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  • mangez les riches : chronique de florence mendez

    Dans sa chronique percutante, Florence Mendez s’empare de l’expression « Mangez les riches » pour dénoncer les inégalités criantes qui traversent notre société, notamment à travers le prisme de l’alimentation. L’idée n’est pas nouvelle : depuis Rousseau, elle symbolise la révolte contre un système où une minorité s’enrichit sur le dos du plus grand nombre. Aujourd’hui, cette métaphore prend un sens littéral. Notre assiette reflète les privilèges et les injustices : des festins de ministres aux burgers à la truffe, en passant par l’accaparement des terres et les scandales sanitaires, la nourriture est à la fois un plaisir et un instrument de pouvoir.

    Nora Bouazzouni, dans son essai éponyme, rappelle que « manger les riches », c’est s’attaquer aux privilèges, déconstruire les mécanismes qui font de l’alimentation un marqueur de classe. Entre agro-business, Nutri-score et grossophobie, les plus démunis sont souvent laissés sur leur faim, tandis que les élites se gavent, littéralement et symboliquement. La lutte des classes passe désormais par l’assiette : et si, plutôt que de subvenir aux symptômes, on s’attaquait à la maladie ?

    Florence Mendez, en reprenant ce slogan provocateur, nous invite à repenser notre rapport à la nourriture comme un acte de résistance. Car manger, c’est aussi choisir de quel monde on veut être le complice ou l’adversaire.

  • Les riches, ces génies de l’arnaque sociale

    la branlette a mémé

    Dans sa dernière chronique, Aymeric Lompret ne mâche pas ses mots : « Les riches, c’est des trous de balle. » Une phrase choc, mais qui résume à elle seule l’exaspération face à une élite qui semble vivre sur une autre planète. Entre optimisation fiscale, mépris social et indifférence crasse, les plus fortunés excellent dans l’art de creuser l’écart avec le reste de la population.

    Lompret pointe du doigt cette caste qui, tout en profitant des avantages d’un système qu’elle contribue à façonner, se plaint dès qu’on lui demande un effort. « Payez vos impôts ? Mais vous n’y pensez pas, c’est contre-productif ! » ironise-t-il, en évoquant les milliards qui s’évaporent dans les paradis fiscaux pendant que les services publics se meurent à petit feu.

    Avec son humour mordant, l’humoriste rappelle que la richesse ne rime pas toujours avec intelligence, encore moins avec solidarité. « Un riche, c’est comme un trou de balle : ça ne sert à rien, mais ça fait du bruit. » Une formule qui, si elle fait rire, interroge aussi sur notre rapport à l’argent et au pouvoir.

  • Le Sénat a rejeté un impôt sur les ultra-riches

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    Le Sénat a rejeté un impôt sur les ultra-riches – La revue de presse de « La dernière » du 15 juin