La SNCF, reine des retards et des grèves, nous offre une nouvelle édition de son spectacle favori : les usagers en colère, les quais bondés et des trains fantômes. Entre revendications salariales, conditions de travail et réformes contestées, les cheminots rappellent qu’ils savent faire trembler le gouvernement… et nos nerfs.
Pour les Français, c’est la routine : annulations en cascade, trajets transformés en parcours du combattant, et l’éternel « circulez, y’a rien à voir » des agents en grève. Pendant ce temps, les politiques s’échangent les responsabilités comme des balles de ping-pong, et les voyageurs, eux, rêvent d’une alternative — ou d’un miracle.
Et si, cette fois, on essayait le covoiturage ? Ou le télétravail ? Non, trop simple. La France préfère ses grèves, ses débats enflammés et ses gares désertes. Après tout, c’est presque devenu une tradition… comme le fromage ou la baguette. Alors, on s’adapte, on râle, et on attend le prochain épisode. Parce qu’à la SNCF, une chose est sûre : après la grève, il y a… la prochaine grève.
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