Je vais être honnête : les garçons, ce n’est pas mon truc. Pas par méchanceté, ni par principe, mais simplement parce que je ne me sens pas en phase avec leur univers. Entre les clichés du « mâle alpha », les jeux de pouvoir, et cette tendance à tout ramener à la compétition, je me sens souvent à l’étroit. Et c’est OK.
La société nous pousse à croire que l’attirance ou l’amitié avec les garçons est une norme, voire une obligation. Pourtant, mon bonheur ne dépend pas de leur validation. J’ai découvert que mes relations les plus enrichissantes étaient celles que je construisais avec des personnes qui me ressemblaient, qui partageaient mes valeurs, mes passions, et surtout, mon besoin de sincérité.
Alors non, je n’aime pas les garçons. Mais ce n’est pas une condamnation, c’est un choix. Un choix de m’entourer de ce qui me fait du bien, de cultiver des liens authentiques, et de ne pas me forcer à aimer ce qui ne me correspond pas. Parce qu’au final, l’important, c’est d’être fidèle à soi-même, non ?
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