La charge mentale, ce fardeau invisible, pèse encore majoritairement sur les épaules des femmes. Entre l’organisation du quotidien, les tâches domestiques et la gestion émotionnelle du foyer, l’égalité reste un leurre. Pourtant, les hommes ne sont pas absents : ils sont souvent simplement… absents de la réflexion. « C’est toi qui t’en occupes mieux », « Je ne sais pas où sont les lessives »… Des phrases qui en disent long sur un déséquilibre persistant.
Et si la solution passait par une prise de conscience collective ? Parler, partager les responsabilités sans attendre qu’on leur tende une to-do list, et surtout, écouter. Car l’émancipation féminine ne sera complète que lorsque les hommes comprendront que s’impliquer, ce n’est pas « aider », mais participer. Le féminisme n’est pas une guerre, mais une invitation à construire un monde où chacun·e respire. Alors, messieurs, à quand votre révolution silencieuse ?
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