L’énergie masculine, souvent associée à la force et à l’action, peut aussi porter des blessures invisibles. Sociétalement, les hommes apprennent à réprimer leurs émotions, à performer sans faille, à incarner une virilité parfois toxique. Résultat : colère rentrée, sentiment d’imposture, ou difficulté à s’autoriser la vulnérabilité. Juliette Arnaud, dans sa chronique percutante, rappelle que cette souffrance existe, et qu’elle mérite d’être entendue.
Et si la clé résidait dans l’équilibre ? Accepter sa sensibilité, oser demander de l’aide, briser le mythe du « toujours fort ». La guérison passe par la reconnaissance de ces blessures, et par le droit, enfin, d’être humain avant tout. Car une masculinité apaisée profite à tous : aux hommes, mais aussi à celles et ceux qui les entourent.
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