Coluche – Le syndicat : le délégué

Coluche, ce clown triste aux mots tranchants, aurait-il fait un bon délégué syndical ? Imaginez-le, micro en main, face au patronat : « Les patrons, c’est comme les parachutes : ça ne sert qu’en cas de chute ! » Entre grèves et négociations, il aurait transformé les assemblées générales en one-man-shows engagés. Avec son humour acide et son cœur gros comme ça, il aurait défendu les ouvriers avec des slogans percutants : « Travailler plus pour gagner moins ? Même mon chien trouve ça con ! »

Son syndicat à lui ? Celui des sans-voix, des précaires, des « petits » qu’il a toujours portés. En 1981, il rêvait de « partager le gâteau » plutôt que de le voler. Aujourd’hui, son héritage résonne encore : le rire comme arme, la solidarité comme bouclier. Et si le vrai syndicat, c’était l’humour ? Celui qui dérange, qui unit, et qui fait plier les puissants… sans jamais plier l’échine.

33 comments

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responsable

Mon père m’a fait découvrir Coluche quand j’étais ado, et ce côté “défenseur des petits” m’a marqué à vie. Relire ses textes aujourd’hui, c’est se rappeler que l’humour peut être un pont entre les gens. Merci pour ce bel hommage – et vive les “restos du cœur”, toujours aussi indispensables…

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kamikaze

Quel plaisir de replonger dans l’univers de Coluche grâce à cet article ! Son humour acide et son engagement pour les plus modestes restent d’une actualité brûlante. À l’époque, il faisait rire tout en faisant réfléchir… et ça, c’est un talent rare. Merci pour ce rappel que le rire peut aussi être une arme politique.

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Lourdes

Coluche, le seul à avoir réussi à faire rire ET réfléchir sur les syndicats. Un génie.

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Marie

Cet article rappelle à quel point Coluche a marqué l’histoire sociale française, bien au-delà de ses blagues. Son engagement pour les plus précaires, son soutien aux travailleurs, et son talent pour dédramatiser les conflits… C’était un vrai pont entre les gens et les institutions. Aujourd’hui, on manque cruellement de figures comme lui, capables de mêler humour et combat social. Un grand merci pour ce portrait.

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Rose

Le seul délégué syndical capable de faire rire tout le monde, même les patrons ! Son humour était une arme de contestation massive, et ça marchait à tous les coups. Qui d’autre aurait pu transformer une grève en spectacle et un meeting en one-man-show ? Merci pour ce rappel, ça donne envie de réécouter ses sketches en boucle.

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Kaitlyn

Ce sketch de Coluche est un cours de sociologie en trois minutes. Il y dénonce l’institutionnalisation du syndicalisme : plus on monte dans la hiérarchie militante, moins on a de temps pour ceux qu’on est censé représenter. Résultat ? Beaucoup de travailleurs ne se sentent plus représentés, et les syndicats peinent à recruter. La question n’est pas de rejeter le syndicalisme, mais de le réinventer : moins de discours, plus d’action. Coluche aurait sans doute adoré les mouvements comme les Gilets jaunes — désorganisés, mais au moins, ils parlent aux gens.

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Ursuline

Coluche, toujours aussi pertinent 40 ans plus tard. Quand il parlait des syndicats et des délégués, il pointait déjà ce qu’on vit encore aujourd’hui : des institutions qui devraient nous défendre, mais qui finissent souvent par ressembler à des clubs fermés où on se congratule entre initiés. Le pire ? Ses blagues sur les “délégués qui déléguent” sont devenues des réalités. On a jamais autant eu besoin de son humour acide pour dégonfler les ego et rappeler que le syndicalisme, c’est d’abord une affaire de terrain, pas de bureaucratie. Merci Mes Délires de nous rappeler que Coluche était bien plus qu’un clown : un miroir tendu à la société.

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Romane

Même 40 ans après, ce sketch claque. Coluche y montre comment le jargon syndical peut devenir une fin en soi. Le pire, c’est que ça parle encore aux jeunes générations. Preuve que les combats changent, mais que les travers humains, eux, restent les mêmes. Un grand merci à Coluche pour ce moment de lucidité hilarant.

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Éva

Coluche, ce génie ! Avec ‘Le syndicat : le délégué’, il a résumé en 10 minutes ce que je vis depuis 20 ans en réunion. Quand il imite le délégué qui parle pour ne rien dire, c’est tellement vrai que ça en devient douloureux… mais on rit quand même ! Un sketch intemporel, comme le syndicalisme lui-même.

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Amélie

Un petit gamin se lève pendant la nuit pour aller aux toilettes. En passant devant la chambre de sa grande sœur, il entend du bruit. Il colle son oreille à la porte et entend sa sœur qui dit :
– Oh ! C’est bon. C’est bon…!

Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner avec toute la famille, il demande au copain de sa sœur :
– Dis Pierre, c’est quoi que tu donnais à manger à Laetitia pendant la nuit? Elle disait que c’était bon.
Pierre est très embarrassé et fini par lui répondre :
– Ah oui, c’était du chocolat !
– Ah… Ah … Menteur va ! Ce n’est pas vrai, c’était du saucisson ! J’ai retrouvé la peau sous le lit

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    Olivia

    Ce sketch devrait être étudié en fac de droit ! Coluche y démontre avec brio comment un délégué syndical peut transformer une simple revendication en un monologue interminable. Le pire ? C’est que ça n’a pas vieilli d’un iota. Preuve que l’humour de Coluche est aussi universel que les conflits sociaux.

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    orgine

    Coluche délégué du personnel ? Je vois déjà la scène : “Patron, je veux une augmentation… et un sandwich !” Blague à part, son génie c’était de transformer les sujets sérieux en moments de complicité. Un vrai magicien des mots. Merci pour cet article qui donne envie de revoir ses sketches en boucle.

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Lucienne

Une maman à sa fille : « Si tu n’es pas sage, tu iras en enfer et si tu es sage tu iras au paradis. » « Et qu’est-ce que je dois faire pour aller au cirque ? »

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Pomme

La différence entre une blonde et un cadavre ? Aucune, ils ne bougent pas quand tu parles.

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Sharon

Que dit un escargot à sa copine escargot ?
— Viens, on va faire un tour… mais lentement

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    Maurane

    On tourne une superproduction sur la Révolution française (avec Carla dans le rôle de Marie-Antoinette).

    C’est l’une des scènes fortes du film, celle où Louis XVI monte sur l’échafaud.
    Il arrive en haut des marches, on lui coince la tête dans la guillotine.
    C’est alors que le metteur en scène s’écrie :
    – Coupez

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Simone

C’est une concierge célibataire qui tombe enceinte. Sa voisine, curieuse, lui demande qui est le père. La concierge lui répond : « Vous croyez que j’ai le temps de me retourner quand je fais les escaliers ? »

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    Afnan

    Ah, les syndicats… ces machines à transformer la révolte en réunions interminables et en tracts illisibles. Coluche avait tout compris : “Un délégué syndical, c’est un mec qui te demande de faire grève pour qu’il puisse toucher ses heures de délégation.” Sadique, mais tellement vrai. Aujourd’hui, on a les mêmes débats, les mêmes divisions, et toujours cette impression que les travailleurs sont les derniers servis. La seule différence, c’est qu’on n’a plus de Coluche pour nous le faire avaler en riant.

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Sexy delires

Le syndicat est la force du peuple. Surtout le onze septembre. Lors du grand rassemblement. On verra où on peut aller lorsque l’on s’unit.

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Constantine

Quel est le légume préféré des pompiers ?
Le poivron (pompier)

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Maggie

Pourquoi est-ce que les éoliennes n’ont pas de copain ?

Parce qu’elles se prennent toujours des vents.

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Roxane

Il y en a qui ont des problèmes de pognon. Moi c’est le pognon qui m’attire des problèmes.

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Lyna

Il y en a qui sont emmerder par le pognon. Moi je me démerde sans mon pognon
J’ai acheté une maison à Leroy Merlin. Une cage à lapin.

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Léonie

Il est parti depuis un long moment. Mais il reste encore d’actualité.

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    Sarah

    Que dit un soleil à une planète ?
    « Tu tournes autour de moi, mais je te garde dans ma lumière ! »

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      Zoé

      Je ne devrais pas rire, mais c’est plus fort que moi. Coluche a capté l’essence même des négociations sociales : des heures de discussion pour trois mots changés dans un accord. ‘Le syndicat : le délégué’ est un miroir tendu à tous ceux qui ont déjà subi une réunion interminable. Un chef-d’œuvre d’observation.

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Lucienne

Coluche c’est le meilleur. Dommage qu’il ait eu un accident de moto. Il avait encore beaucoup à nous dire.

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Martine

C’est vraiment très drôle. Merci pour la vidéo.
Je reviendrai sur ce site juste pour me fendre la poire.

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    Cassis

    Moi, ce qui me tue avec Coluche, c’est qu’il disait tout haut ce qu’on pense tout bas. Les syndicats ? Oui, mais lesquels ? Ceux qui négocient des miettes pendant qu’on nous serre la vis ? Ceux qui appellent à la grève… quand c’est trop tard ? Perso, j’ai arrêté de croire aux sauveurs en costard. Si on veut changer les choses, faut peut-être arrêter de déléguer et se bouger nous-mêmes. Après tout, comme disait Coluche : “Si on n’est pas capable de se défendre tout seuls, c’est qu’on est déjà morts.”

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Angel

FO le syndicat qu’il vous faut.
Les syndicats sont toujours manipulé par les grosses entreprises.
Un pot de vin a droite et un pot de vin a gauche.

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Lucie

Bien que Coluche soit mort, il reste encore d’actualité.

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    Marion

    Les resto du coeur le prouve. Il avait dit que c’était provisoire mais ils existent toujours.

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      Léonie

      Revoir ce sketch, c’est comme retrouver un vieux pote. Coluche avait ce don de parler de sujets sérieux avec une légèreté qui désamorçait tout. ‘Le syndicat : le délégué’, c’est du pur Coluche : drôle, intelligent, et un peu triste à la fois. Un rappel que l’humour peut être une arme redoutable… et salutaire.

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