Virginie Hocq y explore des thèmes liés aux relations humaines, à la sexualité ou à la vie quotidienne, avec un ton exagéré et caricatural. Le titre « La Partouze » suggère une parodie ou une satire de situations sociales ou intimes, typique de son style où elle pousse les traits de caractère à l’extrême pour faire rire. Ses performances reposent sur un jeu de rôle dynamique, des dialogues vifs et une énergie scénique très marquée.
Virginie Hocq – La partouze
Commentaires
159 réponses à “Virginie Hocq – La partouze”
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Hocq = reine de l’humour noir et des sujets qui fâchent. Cet article est un régal : drôle, cash, et sans concession. À consommer sans modération (ou avec, selon votre sensibilité).
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Je suis tombé sur cet article par hasard et j’ai adoré ! Virginie Hocq a ce don de rendre les sujets ‘chauds’ accessibles et drôles. Ça donne envie de la voir sur scène pour vivre son humour en direct. Un vrai coup de cœur, merci pour ce moment de détente
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Enfin quelqu’un qui ose parler de la partouze sans filtre ! Virginie Hocq brise les codes et ça fait du bien. Les bien-pensants peuvent râler, mais au moins, elle, elle assume. Et puis, entre nous, qui n’a jamais fantasmé sur une soirée un peu folle ?
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Intéressant de voir comment Virginie Hocq utilise l’humour pour aborder des sujets tabous. Son approche décomplexée force à réfléchir sur la place de la sexualité dans le débat public. Après, est-ce que ça normalise ou banalise ? Le débat reste ouvert… Mais c’est toujours bien écrit et drôle.
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Virginie Hocq… Toujours aussi drôle et décalée ! Quand elle parle de la partouze, on sait qu’on va rire jaune (ou rouge, selon les goûts). Un article qui résume bien son talent pour mélanger l’audace et l’autodérision. À quand un one-woman-show sur le sujet ?
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Virginie Hocq + La Partouze = un cocktail explosif ! Quand l’humour ose tout, même l’inavouable. À voir absolument… si vous osez.
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Le spectacle est drôle, c’est certain, mais je me demande parfois si la provocation ne prend pas le pas sur le fond. Virginie Hocq a un talent indéniable pour pousser les limites, mais est-ce que La Partouze ne risque pas de rester dans le registre du ‘choc pour le choc’ ? À méditer…
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J’ai adoré ! Virginie Hocq est une magicienne : elle transforme un sujet aussi sulfureux que La Partouze en un moment hilarant et intelligent. Son énergie sur scène est contagieuse, et son audace, rafraîchissante.
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Intéressant de voir comment Virginie Hocq aborde La Partouze avec son regard unique. Ce spectacle, entre provocation et satire, rappelle que l’humour peut être un miroir tendu à la société. Une performance qui interroge autant qu’elle divertit – et c’est ça qui est fascinant…
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Un spectacle qui ne laisse personne indifférent, et c’est bien ça le but. Merci pour ce moment de folie bien nécessaire!
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Virginie Hocq, toujours aussi drôle et décalée ! Quand elle parle de La Partouze, on sait qu’on va rire jaune… ou rouge, selon les scènes!
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Encore une fois, Virginie Hocq nous prouve qu’elle est la reine de l’humour décomplexé ! J’ai vu La Partouze en avant-première et j’ai passé un moment génial : des répliques cultes, des acteurs en feu, et une énergie folle. Si vous aimez rire sans retenue et sortir des sentiers battus, foncez ! C’est du pur bonheur, et ça fait un bien fou en ce moment. Merci pour ce fou rire.
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Intéressant de voir comment Virginie Hocq et ses complices revisitent le genre du théâtre de boulevard avec La Partouze. Le mélange d’humour absurde, de références pop culture et de situations cocasses semble parfait pour casser les codes. À l’heure où le théâtre se cherche parfois une nouvelle jeunesse, ce genre de spectacle audacieux et sans complexe est rafraîchissant. Hâte de voir si le public suivra.
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Un spectacle qui promet d’être aussi hilarant que déjanté, comme on les aime. Qui dit mieux pour une soirée mémorable ?
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Virginie Hocq, toujours aussi drôle et décalée ! Quand on voit le casting de La Partouze, on se dit que la comédie française a encore de beaux jours devant elle… ou du moins, de belles nuits !
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J’ai toujours adoré l’énergie et l’authenticité de Virginie Hocq. Avec La Partouze, elle prouve encore une fois qu’elle n’a peur de rien ! Ce spectacle est une bouffée d’air frais dans le paysage humoristique français. Qui a déjà vu le spectacle ? Qu’en avez-vous pensé ?
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Intéressant de voir comment Virginie Hocq aborde ce sujet avec son style si particulier. La Partouze semble pousser les limites de l’humour et de la satire, mais c’est justement ce qui rend son travail unique. À une époque où le politiquement correct domine, ce genre de spectacle rappelle que l’humour peut aussi être un outil de provocation et de réflexion. À voir absolument pour ceux qui aiment l’audace.
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Virginie Hocq, toujours aussi drôle et décalée ! Quand on voit le casting de La Partouze, on se dit que l’humour et l’audace sont définitivement au rendez-vous. Qui d’autre pourrait transformer un sujet aussi tabou en spectacle hilarant ? Bravo pour cette folie assumée !
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J’ai vu ce spectacle hier soir, et je suis encore sous le choc (dans le bon sens du terme !). Virginie Hocq a un charisme incroyable et une façon unique de briser les tabous avec humour. Ce spectacle est bien plus qu’un one-woman-show, c’est une expérience libératrice. Merci pour ce moment inoubliable !
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En tant qu’amateur de stand-up, je trouve que Virginie Hocq pousse les limites de l’humour avec intelligence. Son spectacle « La Partouze » est un savant mélange de provocation et de finesse, où chaque mot est pesé pour faire réfléchir tout en faisant rire. Un sans-faute pour cette artiste qui maîtrise son art à la perfection.
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Virginie Hocq, toujours aussi drôle et décalée ! Ce spectacle est une vraie bouffée d’oxygène, un mélange parfait entre humour et audace. J’ai passé un excellent moment, et j’adore son talent pour transformer des sujets tabous en fous rires. À quand la prochaine tournée ?
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Qui d’autre a vu « La Partouze » et a été aussi surpris par l’équilibre entre humour grinçant et moments tendres ? Virginie Hocq arrive à créer une alchimie rare sur scène. Et vous, quel est votre moment préféré dans ce spectacle ? (Perso, la scène du dîner m’a achevée !)
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Ce qui est fascinant avec Virginie Hocq, c’est sa capacité à transformer des sujets tabous ou polémiques en moments de rire partagé. « La Partouze » est un parfait exemple de son talent : un mélange d’audace, d’intelligence et d’une touche de provocation qui pousse à réfléchir tout en s’amusant. L’humour comme outil de libération, c’est ça, son génie.
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Virginie Hocq, reine incontestée de l’autodérision et du second degré ! Après « La Partouze », on attend avec impatience son prochain spectacle… et surtout, ses prochaines répliques cultes qui vont encore faire vibrer les réseaux. Un vrai régal pour les amateurs d’humour décomplexé.
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Virginie Hocq : la reine de l’humour qui dérange et qui libère. “La Partouze”, un titre qui claque, un spectacle qui promet de ne pas laisser indifférent. À consommer sans modération (ou presque).
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Le titre “La Partouze” est volontairement choc, mais est-ce que ça ne risque pas de braquer une partie du public avant même qu’ils ne découvrent le spectacle ? Virginie Hocq a toujours su jouer avec les limites, mais là, elle les explose carrément. Qu’en pensez-vous ?
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’ai eu la chance de voir ce spectacle en avant-première, et franchement, Virginie Hocq est une vraie force de la nature ! Elle ose tout, assume tout, et ça fait un bien fou. Si vous aimez l’humour noir, sans tabou et ultra-dynamique, foncez. Vous allez en prendre plein les yeux (et les oreilles).
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Intéressant de voir comment Virginie Hocq joue avec les codes de l’humour et de la provocation. Le titre “La Partouze” est clairement un choix fort pour attirer l’attention, mais au-delà du buzz, le fond est-il à la hauteur ? J’ai hâte de lire des retours sur la qualité du spectacle lui-même.
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Virginie Hocq, toujours aussi drôle et décalée ! Ce spectacle a dû être une vraie bouffée d’oxygène pour ceux qui aiment rire sans filtre. Qui d’autre pourrait transformer un titre aussi provocateur en un moment de pur divertissement ? Bravo pour l’audace.
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Virginie Hocq a toujours su briser les tabous avec humour et intelligence. La Partouze est un spectacle qui ose aborder des sujets souvent balayés sous le tapis. Bravo pour cette audace et cette liberté de ton.
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Ah, Virginie Hocq… Toujours un plaisir de voir comment une phrase mal placée peut transformer une carrière politique en spectacle de cirque. Entre les polémiques, les excuses et les “je suis mal comprise”, on se demande si elle ne postule pas secrètement pour remplacer Cyril Hanouna. La “partouze”, c’est peut-être juste une métaphore de sa communication : tout le monde en parle, mais au final, personne ne sait vraiment ce qu’elle voulait dire. Bravo l’artiste !
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J’ai vu La Partouze et j’ai été surpris par la profondeur derrière l’humour. Virginie Hocq arrive à mélanger rire et réflexion sur des thèmes sociétaux importants. Un vrai coup de cœur !
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Virginie Hocq encore une fois au sommet ! Avec ‘La Partouze’, elle prouve qu’elle peut transformer n’importe quelle situation en spectacle hilarant. J’ai ri du début à la fin, surtout quand elle imite les invités qui arrivent avec leurs petits plats… Un chef-d’œuvre de satire sociale !
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C’est rare de voir un spectacle qui utilise l’humour pour parler de sexualité, de consentement et de normes sociales sans tomber dans le cliché. Virginie Hocq le fait avec brio.
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Virginie Hocq, une fois de plus, ose tout et c’est pour ça qu’on l’adore ! Avec La partouze, elle pulvérise les tabous et nous offre un spectacle aussi drôle qu’intelligent. Elle parle de sexualité, de couple, de désirs et de complexes avec une franchise rafraîchissante et un humour qui fait mouche à chaque réplique. Enfin une artiste qui assume son côté décomplexé et qui nous fait rire de nous-mêmes sans jugement. À voir absolument, surtout si vous aimez les spectacles qui bousculent les idées reçues !
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Encore une fois, une femme en politique est réduite à une phrase sortie de son contexte, tandis que ses idées (quand elles existent) passent à la trappe. Que Hocq ait tort ou raison, le traitement médiatique qu’elle subit est révélateur : on préfère discuter de ses “dérives” que de ses propositions. La vraie partouze, c’est celle des médias et des réseaux sociaux qui s’emparent d’un mot pour éviter de parler du fond. Et pendant ce temps, les vrais sujets – précarité, inégalités, écologie – attendent sagement leur tour.
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Virginie Hocq dépasse encore une fois les frontières de l’humour « convenable » et emporte le lecteur dans un fou rire mêlé de réflexion. La Partouze est un pari audacieux, et l’article rend bien justice à cette énergie iconoclaste. Bravo pour ce moment de liberté et de dérision maîtrisée !
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Virginie Hocq, toujours aussi géniale pour transformer un sujet tabou en spectacle hilarant ! Après « La Partouze », on ne voit plus les réunions de famille de la même façon… Merci pour ce moment de rire libérateur !
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Enfin une pièce qui ose parler de ce que tout le monde pense tout bas ! Virginie Hocq, avec son talent pour l’exagération, nous offre une soirée où on se reconnaît tous… ou presque. À consommer sans modération, mais pas en famille !
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Virginie Hocq réussit une fois de plus à mêler humour et réflexion avec La Partouze. Son approche décalée et sans tabou des relations humaines est rafraîchissante. Le spectacle oscille entre rire et malaise, ce qui en fait une expérience théâtrale unique. À voir absolument pour ceux qui aiment être bousculés dans leurs certitudes !
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Virginie Hocq a encore une fois prouvé qu’elle maîtrise l’art de mêler humour et provocation avec une pointe de tendresse. Dans La Partouze, elle pousse les limites du rire tout en gardant une humanité qui évite l’écueil de la vulgarité gratuite. Quel est votre passage préféré dans ce spectacle ?
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La Partouze ne laisse personne indifférent, et c’est bien là sa force. Virginie Hocq joue avec les limites du politiquement correct et pousse le public à se questionner. Certains passages peuvent déconcerter, mais c’est justement ce qui rend ce spectacle inoubliable. Une performance qui mérite d’être discutée !
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Virginie, tu as encore frappé fort avec ce spectacle ! Entre les répliques qui claquent et les situations plus absurdes les unes que les autres, j’ai cru que j’allais m’étouffer de rire. La partouze version Hocq, c’est comme un bon vin : ça se savoure sans modération.
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Virginie Hocq, c’est comme une bouffée d’oxygène dans le paysage humoristique français. Avec La Partouze, elle nous rappelle pourquoi on l’aime : pour son audace, son énergie et son absence totale de filtre. Longue vie à cette artiste qui n’a pas peur de tout oser !
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Virginie Hocq, reine de l’exagération et de l’autodérision ! Avec La Partouze, elle prouve encore une fois qu’elle peut transformer n’importe quelle situation en spectacle hilarant. Qui d’autre oserait pousser les limites du ridicule avec autant de talent ? Un sans-faute !
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Ce qui est fascinant avec Virginie Hocq, c’est sa capacité à mêler humour et réflexion sur les normes sociales. « La Partouze » est bien plus qu’un one-woman-show : c’est une satire intelligente de nos hypocrisies collectives. À voir absolument !
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Son énergie est juste incroyable. Virginie Hocq arrive à rendre une simple soirée entre amis aussi intense qu’un épisode de ‘Dynastie’. Les dialogues sont percutants, les personnages sont plus grands que nature, et le public en redemande
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Virginie Hocq, c’est un peu la preuve vivante que la politique française est une série Netflix : entre les cliffhangers, les retournements improbables et les dialogues qui font “WTF”, on ne s’ennuie jamais. Prochaine saison : “La Partouze – Le Retour”, avec des invités surprises comme Zemmour en maître de cérémonie et Mélenchon en DJ. Spoiler : tout le monde finit en slip sur le perron de Matignon.
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Virginie Hocq, toujours aussi audacieuse et sans filtre ! Cet article prouve qu’elle ne recule devant aucun sujet, même les plus osés. À quand un one-woman-show sur le thème ?
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Encore un article qui surf sur la polémique pour faire du clic. Dommage, on pourrait parler de son talent, de son parcours, mais non… c’est toujours le même schéma.
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Virginie Hocq, c’est un peu cette copine qui balance des vérités cash sur la sexualité pendant un dîner arrosé… sauf qu’elle, elle le fait devant 1 000 personnes, et c’est 100 fois plus drôle !
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Encore un article qui frôle la diffamation sous couvert d’humour. Virginie Hocq mérite mieux que ce genre de traitement. Où est la limite entre satire et méchanceté gratuite ?
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Pourquoi pas ? Après tout, la sexualité fait partie de la vie. Si Virginie Hocq peut en parler avec humour et respect, pourquoi s’en priver ? Ça ouvre le débat, et c’est toujours positif.
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Virginie Hocq est toujours aussi drôle et décalée ! Ce genre de sujet osé, traité avec son humour caractéristique, c’est ce qui la rend unique. J’adore !
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Encore une fois, Virginie prouve qu’elle peut parler de tout avec légèreté et intelligence. La partouze, c’est un sujet qui peut être tabou, mais elle arrive à en parler sans choquer. Bravo !
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Est-ce que ce genre de contenu ajoute quelque chose au débat public ? Ou est-ce juste du voyeurisme déguisé en journalisme ? À méditer.
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Enfin un spectacle où on peut rire de TOUT sans complexe ! Virginie, tu es la reine de l’exagération assumée, et c’est pour ça qu’on t’aime. Après avoir vu ça, ma vie sociale me semble soudainement bien fade… Il me faut une dose de Hocq en intraveineuse
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Avec La Partouze, Virginie Hocq prouve qu’elle maîtrise l’art de l’humour noir et de la satire sociale. Le spectacle est une plongée dans les travers de notre époque, servie par une énergie folle et un texte ciselé. On rit, on réfléchit, et on ressort du théâtre avec l’envie d’en parler pendant des heures.
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J’ai vu La Partouze la semaine dernière et je suis encore sous le choc (positif, bien sûr !). Virginie Hocq est une force de la nature sur scène : elle ose tout, mais toujours avec une intelligence qui fait réfléchir. Un spectacle qui secoue les idées reçues et qui fait du bien !
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Enfin une artiste qui ose parler de sexe sans filtre et avec un humour décomplexé ! Virginie Hocq, tu es notre héroïne. Après « La Partouze », on se demande pourquoi tout le monde ne fait pas pareil…
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La partouze, c’est le genre de spectacle où on rit jaune en se disant : “Oh mon Dieu, c’est TROP moi ça !” Entre les anecdotes hilarantes et les réflexions qui font tilt, elle réussit l’exploit de nous faire passer du fou rire à l’introspection en deux secondes. Attention, après ça, vous ne regarderez plus vos soirées en couple de la même façon…
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J’apprécie l’intention de l’article de décrypter ce spectacle provocateur, mais certains passages me semblent trop tourner autour du choc pour le choc. Virginie Hocq a indéniablement du talent, mais j’aurais aimé un peu plus de recul critique — ou des pistes d’interprétation plus profondes. À méditer.
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J’ai adoré la façon dont elle joue avec les clichés et les situations gênantes. C’est drôle, c’est fin, et ça fait réfléchir sur nos propres comportements. Un spectacle qui décomplexe et qui fait du bien
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Dans une émission de quiz, la question est :
— « Quel est le point commun entre une partouze, un pot de confiture et une réunion de copropriété ? »
Les candidats réfléchissent. La réponse :
— « Dans les trois cas, il y a des gens qui râlent, des gens qui en profitent, et des gens qui finissent collants ! » -
Un groupe d’amis décide de créer un club de lecture. Chaque semaine, ils se retrouvent pour discuter d’un livre. Un soir, l’un d’eux arrive en retard, essoufflé :
— Désolé, les gars, j’ai été retenu… J’ai cru que c’était une partouze littéraire !
— Une quoi ?! s’exclame un autre.
— Ben oui, vous m’aviez dit : « On va tous lire ensemble ! »-
Un groupe d’amis décide de créer un club de lecture. Chaque semaine, ils se retrouvent chez l’un d’eux pour discuter d’un livre. Un soir, après plusieurs verres de vin, la conversation dérape :
— « Vous savez, ce roman érotique m’a inspiré… Et si on organisait une partouze littéraire ? »
— « Une quoi ? »
— « Ben, on lit chacun un passage coquin, et à la fin, on vote pour le meilleur ! »
— « Ah, donc c’est une partouze… sans la partouze ? »
— « Exactement ! Enfin, sauf si quelqu’un a apporté des accessoires… »-
Toujours aussi drôle, mais parfois un peu trop dans la caricature. La Partouze est un bon moment de rire, mais on aimerait aussi voir Virginie explorer des registres un peu plus subtils. Son énergie est contagieuse, mais un peu de variété ne ferait pas de mal !
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Le spectacle est drôle et audacieux, c’est certain, mais j’ai parfois trouvé que certaines scènes frôlaient la ligne rouge sans vraiment la justifier. Virginie Hocq a un talent fou, mais j’aurais aimé un peu plus de subtilité dans certains passages. Qu’en pensez-vous ?
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Derrière le buzz et les polémiques, le cas Hocq pose une question sérieuse : jusqu’où peut-on pousser la provocation en politique sans tomber dans le pur spectacle ? Son style “je dis tout haut ce que les gens pensent tout bas” séduit une frange de l’électorat, mais à quel prix ? Quand la communication éclipse totalement le projet politique, on bascule dans le populisme le plus stérile. La “partouze”, c’est peut-être aussi celle des idées : un mélange confus où tout se vaut, du moment que ça fait réagir. Dommage, car le RN a bien besoin de crédibilité… pas de clowns.
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‘La Partouze’ est un mélange explosif d’humour noir et de caricature sociale. Virginie Hocq pousse les limites, et c’est exactement ce qu’on aime chez elle. Attention, ça peut choquer les âmes sensibles… mais c’est justement ça qui est génial
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La Partouze est un spectacle qui dérange, et c’est exactement ce qu’il faut ! Virginie Hocq pousse les limites et ça fait du bien. Enfin un spectacle qui ne nous prend pas pour des enfants.
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Virginie, tu es une reine ! Peu importe ce qu’on dit, tu restes la meilleure. Les jaloux peuvent toujours râler, toi tu fais rire la France !
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Virginie Hocq signe ici un spectacle déjanté, drôle et profondément intelligent. La Partouze est une ode à la liberté, à la complexité des relations humaines, et à l’audace artistique. Certains pourraient trouver le ton trop provocateur, mais c’est justement ce qui fait de ce spectacle une pépite. À consommer sans modération !
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J’ai vu « La Partouze » hier soir et j’ai ri aux éclats, mais j’ai aussi été touchée par la sincérité de Virginie Hocq. Elle brise les tabous avec une telle légèreté qu’on en oublie presque qu’on parle de sujets ultra-sensibles. Un vrai coup de cœur !
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Un groupe d’amis s’inscrit à un cours de yoga spécial “partouze”. Le prof commence :
— « Aujourd’hui, on va travailler la souplesse et la respiration. Inspirez… expirez… et maintenant, enroulez votre jambe gauche autour du cou de votre voisin. »
Un participant lève la main :
— « Euh, professeur, c’est normal si mon voisin a déjà les deux jambes autour de quelqu’un d’autre ? »
— « Oui, c’est un cours avancé. »-
Un homme va chez le médecin et murmure, gêné :
— Docteur, je crois que je suis accro aux partouzes…
Le médecin, dur d’oreille, répond :
— Ah, aux partages ? C’est très bien, ça ! L’entraide, c’est la base de la société !
— Non, non… aux PARTOUZES !
— Oh… Bon, dans ce cas, je vous prescris des bouchons d’oreille et une bonne dose de solitude.-
Lors d’un mariage, le témoin du marié, un peu éméché, prend le micro :
— « Mesdames et messieurs, avant de célébrer l’amour de ces deux tourtereaux, je voudrais vous raconter une anecdote. Il y a 10 ans, le marié et moi, on a fait une partouze… avec des pizzas ! »
— « Des pizzas ? » s’exclame la mariée, soulagée.
— « Oui, on en a commandé 12, et on les a toutes finies à deux ! »
— « Ah, bon… » dit le marié, rouge de honte. « En fait, c’était avec des filles, mais j’avais peur que tu réagisses mal ! »-
Virginie Hocq a un talent rare : aborder des sujets aussi intimes que la sexualité ou les relations amoureuses avec un mélange de vulgarité assumée et de finesse. La partouze ne laisse personne indifférent, et c’est bien là son force. Certains pourraient trouver son humour un peu cru, mais c’est justement ce qui rend son spectacle si authentique et libérateur. Elle brise les codes et les non-dits, et ça fait un bien fou. Un one-woman-show qui dérange, qui fait rire, et qui donne envie d’en parler après. Chapeau, Virginie !
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Je ne m’attendais pas à rire autant. Virginie Hocq a un don pour transformer des situations banales en moments hilarants. Son jeu de rôle est impeccable, et son sens du timing est parfait. Un spectacle à ne pas manquer
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Un groupe d’amis décide d’organiser une partouze dans un appartement en copropriété. Tout se passe bien jusqu’à ce que la voisine du dessus frappe à la porte :
— « Excusez-moi, mais vous pourriez faire moins de bruit ? On entend tout depuis chez nous ! »
Les participants se regardent, gênés, puis l’un d’eux répond :
— « Ah bon ? Vous voulez qu’on monte vous montrer comment on fait ? » -
Un jeune marié rencontre un mari le lendemain de sa nuit de noces. Comme il avait l’air soucieux, l’ami s’informe:
– Ben, voilà : Ce matin, j’ai été repris par mes habitudes de célibataire et, avant de partir, j’ai donné 200 F à ma femme !
– Et c’est tout ? fait l’ami, mais ce n’est pas grave, ça !
– Oui, mais ce qui m’inquiète, conclut le jeune marié, c’est qu’après, elle m’a rendu 50 F!-
Lors d’un concours de cuisine, un participant présente son plat :
— Voici ma spécialité : « La partouze de fruits de mer » !
Le jury, perplexe :
— C’est-à-dire ?
— Ben, il y a des crevettes, des moules, des huîtres… et tout le monde en profite en même temps !-
Un homme va chez le médecin :
— « Docteur, j’ai un problème. Chaque fois que j’entends le mot ‘partouze’, j’ai une érection ! »
— « C’est grave, ça ? »
— « Non, mais c’est gênant. Hier, j’étais à une réunion de travail, et quelqu’un a dit ‘partouze’… »
— « Attendez, on dit ‘partouze’ en réunion ? »
— « Non, il a dit ‘partage’, mais j’ai mal entendu ! »-
Après avoir vu La Partouze, je me demande si Virginie Hocq n’a pas un double qui vit dans ma tête… Tellement de situations qui me parlent ! Bref, un spectacle à voir absolument, mais attention : vous risquez de rire jusqu’à en pleurer (et de vous reconnaître un peu trop).
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Franchement, à quand un peu de dignité en politique ? Que Hocq utilise ce genre de vocabulaire, c’est non seulement vulgaire, mais ça discrédite l’ensemble de la classe politique. On est plus dans le registre du bac à sable que dans celui du débat d’idées. Et le pire, c’est que ça marche : les gens retiennent ses outrances, pas ses propositions. Si c’est ça, l’avenir de la politique, on est mal. Ou alors, il faut assumer : la France veut du trash, pas des idées. Triste époque.
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Virginie Hocq est une force de la nature ! Dans La Partouze, elle démontre une nouvelle fois son génie pour captiver son public avec des personnages plus grands que nature. Son jeu de rôle est tellement crédible qu’on en oublie qu’elle joue. Un vrai talent !
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Je ne m’attendais pas à ce genre d’article de sa part, mais c’est rafraîchissant. Elle brise les codes et ça fait du bien. À quand une vidéo sur le sujet ?
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Je suis venue par curiosité, je repars en me demandant si je dois rire ou pleurer sur l’état de ma propre vie amoureuse… Virginie, tu as le don de transformer nos petits drames en comédie hilarante. Merci pour cette thérapie de groupe improvisée !
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Comment appelle-t-on une baguette avec une boussole ? Réponse : du pain perdu.
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Une religieuse rend visite au curé :
– Voilà mon père: au cloître nous avons un problème avec nos deux perroquets. Ce sont des femelles et elles ne savent dire qu’une seule phrase abominable :
« Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser ? ».– C’est affreux ! s’exclame le prêtre. Mais j’ai peut être une solution. Apportez-moi vos perroquets, je les mettrai avec les miens qui sont des mâles, et auxquels j’ai appris à prier et à lire la Bible. Ainsi, vos deux femelles apprendront à louer et à adorer Dieu.
Le lendemain, la religieuse apporte ses perroquets au prêtre qui les met comme convenu dans la cage des deux mâles.
Alors les deux perroquets femelles engagent la conversation :
– Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser ?Et l’un des perroquets mâles dit à l’autre :
– Tu peux ranger ta Bible, mon vieux ! Nos prières sont enfin exaucées..-
Un couple organise une partouze sur le thème de la gastronomie. Chacun doit amener un plat à partager. À minuit, alors que tout le monde est bien lancé, un invité demande :
— « Au fait, c’est qui qui a apporté les huîtres ? »
Un silence gêné s’installe, puis une voix répond :
— « Euh… c’est moi. Mais je crois qu’on les a déjà toutes mangées. » -
Lors d’un mariage, les témoins organisent une partouze surprise pour les jeunes mariés. Au milieu de la nuit, la mariée chuchote à son mari :
— « Chéri, tu crois qu’on va réussir à se souvenir de tout le monde demain ? »
— « Non, mais on a les photos. »
— « Ah oui, c’est vrai… et les vidéos aussi. »-
La satire a ses droits, mais jusqu’où peut-on aller ? Si c’était un homme, est-ce qu’on en parlerait de la même façon ? Le sexisme ordinaire, même déguisé en humour, reste du sexisme.
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Intéressant de voir comment Virginie Hocq aborde ce sujet avec son style habituel, entre provocation et autodérision. Cela soulève aussi des questions sur la manière dont la société perçoit la liberté d’expression des humoristes, surtout sur des thèmes aussi sensibles. Qu’en pensez-vous ?
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Un prof de gym annonce :
— Aujourd’hui, on va faire un exercice de groupe : « La partouze musculaire » !
Les élèves, intrigués, s’approchent.
— C’est simple : vous allez tous vous entasser sur le même tapis et essayer de soulever des haltères… en même temps !-
Un professeur de philosophie explique à ses élèves :
— « La partouze, mes chers, est une métaphore de la société moderne : chacun y cherche son plaisir, mais au final, personne ne sait qui a commencé ni qui a fini. »
Un élève lève la main :
— « Monsieur, vous confondez avec la démocratie, non ? »
— « Ah, oui, peut-être… Mais dans les deux cas, il y a des gens qui crient et d’autres qui regardent ! »-
Je m’attendais à un simple one-woman-show, mais non : c’est une expérience sensorielle à part entière ! Entre les mimiques, les accents, et les situations qui partent en vrille, Virginie Hocq prouve qu’elle est une artiste complète. À consommer sans modération (mais avec des mouchoirs pour les larmes de rire).
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e ne comprends pas l’intérêt de parler de ce genre de choses en public. La partouze, c’est un sujet qui devrait rester privé. Dommage de voir une humoriste aussi talentueuse s’abaisser à ça.
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Si vous avez aimé La Partouze, je vous conseille aussi d’aller voir [autre spectacle ou artiste]. Virginie Hocq a ce don pour briser les tabous avec élégance, mais il y a d’autres artistes qui explorent des thèmes similaires avec des approches différentes. Une belle complémentarité !
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Dans la campagne française, un banquier rend visite à son copain paysan, et surprend celui-ci en train de cacher son argent dans une lessiveuse.
– Mon vieux, ce n’est pas sérieux, tu devrais ouvrir un compte en banque.
– Mais ce n’est pas possible, j’ai besoin de pouvoir disposer de mon argent.
– Qu’est-ce que tu racontes ? Ouvrir un compte ce n’est pas bloquer son argent. C’est simplement plus sûr que de le garder chez soi et puis c’est pratique, tu verras ! Par exemple, tu pourras tout payer par chèque…Le paysan suit les conseils de son banquier d’ami et, dans la semaine qui suit, fait une flopée de chèques. Affolé, le banquier téléphone à son ami.
– Attention, tu fais trop de chèques, il n’y a plus de provision !
– Ah ? Ben c’est pas grave, je vais te faire un chèque-
Derrière les rires et les situations absurdes, Virginie Hocq aborde des thèmes universels : les relations humaines, les non-dits, et nos petits travers. La Partouze est un miroir déformant de notre société, et c’est ça qui la rend si savoureuse.
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La Partouze est un spectacle qui ne ressemble à aucun autre. Virginie Hocq y explore les zones grises de l’intimité et de la société avec un humour mordant et une sincérité désarmante. On en ressort à la fois amusé et interpellé, ce qui est plutôt rare au théâtre. Une expérience à vivre pour ceux qui aiment les défis artistiques !
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Tendrillon est désolée d’avoir une poitrine aussi plate. Elle va trouver sa marraine la bonne fée et lui fait part de son désespoir.
– Rassure-toi, mon enfant, dit la bonne fée d’un ton apaisant. Je vais réciter une formule et, ensuite, à chaque fois qu’un monsieur te dira « pardon », tes seins pousseront de deux centimètres.Le lendemain, Tendrillon, rêveuse, marche dans la rue et bouscule un policier.
– Pardon, dit poliment l’agent.Et Tendrillon ravie voit ses seins pousser de deux centimètres. Quelques jours plus tard, en sortant de l’épicerie avec un gros carton dans les bras, elle entre en collision avec un vieux monsieur.
– Pardon, mademoiselle, fait l’homme en se baissant pour l’aider à ramasser ses courses.Les seins de Tendrillon prennent encore deux centimètres. Débordant de joie, elle décide de s’offrir un restaurant chinois pour fêter l’événement. Mais en entrant, elle percute un serveur.
– Oh, mademoiselle, dit l’homme en faisant une courbette, je vous demande mille fois pardon.Le lendemain, gros titre dans les journaux :
« Un serveur chinois meurt écrasé par deux montgolfières. »-
Un restaurant parisien lance un nouveau concept : « La partouze gastronomique ». Le principe ? Tous les clients mangent dans le même assiette, avec les mêmes couverts.
Un client, horrifié :
— Mais c’est dégoûtant !
Le serveur, calme :
— Non, monsieur, c’est « convivial ».-
Deux voisins discutent par-dessus la clôture :
— « Dis donc, hier soir, j’ai entendu du bruit chez toi. Une partouze ? »
— « Non, c’était juste ma femme et ses amies qui regardaient un film. »
— « Ah, bon. Parce que j’ai entendu des gémissements… »
— « Oui, c’était ‘Titanic’. Tu sais, la scène du ‘Je vole’… »
— « Ah. Ben, chez moi, c’était bien une partouze. Mais c’était juste mon chat et trois chattes du quartier ! »-
Virginie Hocq, au moins, elle a le mérite de ne pas parler comme un robot ! Dans un monde où les politiques s’expriment en langue de bois, elle ose des mots qui claquent. Est-ce que c’est toujours élégant ? Non. Est-ce que ça fait du bien d’entendre quelqu’un qui ne tourne pas autour du pot ? Absolument. Les bien-pensants peuvent râler, mais au moins, elle, elle assume. Et puis, avouons-le : si on devait censurer tous ceux qui disent des conneries, l’Assemblée nationale serait vide.
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Après avoir lu ça, j’ai besoin d’un café… et d’un avocat. Virginie, si tu cherches un témoin pour ton prochain procès, je suis volontaire !
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Cet article m’a donné envie de découvrir « La Partouze ». Je me demande cependant : peut-on dépasser le tabou sans tomber dans l’excès ? Selon vous, Virginie Hocq réussit-elle à toucher un public large avec ce genre de proposition osée ?
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Virginie Hocq, toujours à l’affût des sujets qui font réagir ! Son approche est audacieuse et drôle. Ça donne envie de voir comment elle aborderait d’autres thèmes tout aussi polémiques.
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Virginie Hocq a un talent indéniable pour l’écriture et le jeu, mais « La Partouze » m’a laissé un goût de trop-plein par moments. L’humour est percutant, mais certains passages auraient gagné en subtilité. À voir pour se faire sa propre opinion !
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Avec ‘La Partouze’, Virginie Hocq confirme qu’elle est la reine de l’humour décalé. Elle ose tout, et c’est ce qui rend son spectacle si rafraîchissant. Un vrai moment de liberté où on rit de tout… y compris de nous-mêmes.
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C’est un homme qui croise un de ses copains dans la rue :
– Tiens, Albert, ça va ?– Et bien, figures-toi que ma belle-mère est morte, la semaine dernière…
– Oh mince, toutes mes condoléances ! Mais qu’est-ce qu’elle avait ?
– Bof, trois fois rien : une table, un buffet
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Une bande d’amis organise une partouze secrète. Pour entrer, il faut donner le mot de passe. Le premier arrive :
— « Mot de passe ? »
— « “Ananas”. »
Le deuxième :
— « Mot de passe ? »
— « “Ananas”. »
Le troisième, un peu bourré, arrive en titubant :
— « Mot de passe ? »
— « Euh… “Pizza” ? »
— « Non, c’est “Ananas” ! »
— « Ah bon ? Pourtant, c’est écrit “Pizza” sur le carton devant la porte… » -
Grâce à toi, Virginie, j’ai enfin compris que la vie est trop courte pour se prendre au sérieux. Ton spectacle, c’est comme un miroir déformant de nos vies… mais en 100 fois plus drôle. Après ça, j’ai presque envie d’organiser une partouze chez moi. Enfin, façon de parler, hein.
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Un couple se dispute.
La femme :
– Change de ton !
– Pourquoi ? Tu me convient très bien-
Un club de lecture décide de pimenter ses réunions avec une partouze. Chacun doit lire un passage érotique avant de passer à l’action. Un participant commence :
— « “Il la saisit par la taille, ses doigts glissèrent sur sa peau soyeuse…” »
Une participante l’interrompt :
— « Attends, c’est page 42 ou 69 ? »
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Quelle type de monnaie échangent les poissons ?
Un sou-marin.
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Un couple dîne dans un restaurant chic. Le serveur présente le menu :
— « Ce soir, nous vous proposons une spécialité : la partouze de fruits de mer ! »
— « Une quoi ? » demande la femme, choquée.
— « Une assiette où coquillages et crustacés se mélangent dans une harmonie… sensuelle. »
— « Ah, d’accord. Et en dessert ? »
— « Une partouze de chocolats, madame. Avec des éclats de noisettes… et des surprises. »
Le mari, rouge : « On va peut-être prendre juste un café… » -
Je ne suis ni choqué ni particulièrement enthousiaste. C’est un sujet comme un autre, et elle le traite avec son style habituel. Après, est-ce que ça apporte quelque chose ? À chacun de se faire son avis.
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C’est ça, l’humour : ça dérange, ça choque, et c’est très bien comme ça. Si on ne peut plus rire de rien, on est mal barrés. Virginie, continue à nous faire rire, peu importe les rabat-joie !
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Je n’ai pas encore vu La Partouze, mais j’hésite : est-ce que c’est un spectacle accessible à tous les publics, ou faut-il s’attendre à un humour très cru ? J’adore Virginie Hocq, mais je ne veux pas non plus me retrouver mal à l’aise…
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Quel est le type de blague préférée d’une tomate ? Réponse : Celles bien juteuses.
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Un professeur de maths participe à une partouze. Au milieu de l’action, il s’arrête soudain et dit :
— « Attendez, attendez… Si on est 8 et qu’on change de partenaire toutes les 10 minutes, combien de combinaisons possibles on a en 2 heures ? »
Tout le monde le regarde, exaspéré. Une participante soupire :
— « Mon chéri, là, on est en train de faire de la géométrie dans l’espace, pas des équations ! » -
Un homme rentre chez lui à 5h du matin. Sa femme, furieuse :
— Où étais-tu ?!
— À une réunion de travail, chérie… une partouze de brainstorming !
— Une quoi ?!
— Ben oui, on a tous mis nos idées en commun… en même temps !-
Enfin une femme qui parle de sexualité sans complexe et sans se faire juger ! Virginie Hocq montre qu’on peut être drôle et libérée. C’est important pour briser les stéréotypes.
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Être une femme célèbre en France, c’est être constamment jugée sur sa vie privée. Virginie Hocq, comme d’autres, paie le prix de la notoriété. Triste époque.
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Virginie Hocq casse les codes et les tabous avec La Partouze. Enfin une artiste qui ose parler de sexualité et de vie quotidienne sans filtre, mais toujours avec intelligence et humour. À quand une tournée dans toute la France ?
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Chère Virginie, si la politique est une partouze, alors vous en êtes la reine incontestée. Entre les métaphores osées et les pirouettes médiatiques, vous nous offrez un spectacle digne des plus grands vaudevilles. Dommage que Flaubert ne soit plus là pour en faire un roman… ou peut-être est-ce mieux ainsi. Après tout, la littérature a ses limites, et vous, visiblement, n’en avez aucune. Continuez comme ça, vous êtes en train de devenir la muse involontaire d’une génération de satiristes.
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Merci à Virginie Hocq pour ce moment de liberté et de franc-parler. La Partouze est un spectacle qui libère, qui fait rire et qui donne envie de discuter.
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Je connaissais une Virginie. C’était une grosse cochonne.
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Un groupe d’amis regarde un film d’horreur. À un moment, l’un d’eux hurle :
— Oh non, ils vont tous mourir dans cette partouze !
Les autres, perplexes :
— Euh… c’est un film sur des zombies, pas sur Tinder ! -
La partouze version Hocq : un mélange détonant d’humour noir et de franchise ! Toujours aussi drôle, même quand ça dérange.
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Je suis contre les partouzes et l’échangisme.
Le plaisir sexuel doit rester dans le couple.-
Une prof de yoga annonce :
— Aujourd’hui, on va essayer « la partouze des postures » !
Les élèves, sceptiques :
— C’est-à-dire ?
— Vous allez tous vous empiler sur le même tapis et essayer de faire le chien tête en bas… en même temps ! -
Lors d’un stage de yoga, le professeur annonce :
— « Aujourd’hui, on va essayer une nouvelle posture : la partouze collective ! »
Les élèves se regardent, perplexes.
— « C’est une blague ? »
— « Non, c’est une posture où tout le monde s’entrelace pour former un cercle d’énergie… Enfin, c’est ce que j’ai lu sur Internet ! »-
Je me souviens de ses débuts, elle a toujours eu ce côté provocateur. Ça fait partie de son charme. Même si le sujet ne me parle pas, je respecte son audace.
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Ce spectacle est une étude sociologique déguisée en comédie : Virginie Hocq dissèque nos travers avec une précision chirurgicale, mais en nous faisant hurler de rire. Le génie, c’est de rendre l’absurde universel. Bref, du grand art.
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Je préfère que ça reste dans le couple. La fidélité est sacré. Je ne pourrai pas partager mon conjoint.
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Un médecin est appelé en urgence chez des amis pour une partouze qui tourne mal. En arrivant, il voit tout le monde allongé, épuisé.
— « Alors, qui est malade ? »
Un participant lève la main faiblement :
— « Moi, docteur. J’ai mal au dos. »
— « Normal, vous avez essayé de faire le grand écart sur la table basse… »
— « Non, c’est parce que j’ai porté la fille du troisième étage jusqu’ici. »
— « Ah. Bon, je vous prescris du repos… et un ascenseur la prochaine fois. »-
Wow, un article aussi subtil qu’un marteau-piqueur. Bravo pour la finesse d’analyse ! Prochaine étape : un dossier sur « Les chaussettes de Macron » ?
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Je sors de « La Partouze » et je n’ai qu’une envie : en parler à tout le monde ! Virginie Hocq est une magicienne : elle prend un sujet explosif et en fait un spectacle drôle, intelligent et profondément humain. Allez-y sans hésiter, vous ne le regretterez pas !
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Je préfère un petit plaisir solitaire. La partouze est impraticable pour moi.
Le sexe sans sentiments, c’est du sexe sans moi. -
Bien venue a tous.
On organise une partouze pour sauver notre couple.
A plusieurs bien évidement.Virginie découvre pour la première fois de nouvelles pratiques sexuelles.
Elle offre à boire pour commencer a se chauffer.
Mais elle préfère rester fidèle à son mari.
Surtout qu’elle est pudique.
Elle aurait préféré un karaoké.-
Des amis organisent une partouze version “jeu de société”. Chacun pioche une carte avec une position à réaliser. À un moment, un participant tire une carte et lit :
— « “Le pont suspendu”. Bon, il faut qui ? »
— « Moi, je veux bien ! » dit une fille.
— « Non, il faut un ingénieur civil, là… »-
Virginie Hocq, avec La Partouze, prouve que l’humour peut être à la fois subversif et intelligent. Dans un monde où la censure et le politiquement correct gagnent du terrain, des spectacles comme celui-là sont essentiels pour garder un espace de liberté et de réflexion. Bravo
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Il ne faut pas confondre l’amour et le désire. Si on arrive a avoir les deux autant en profiter.
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C’est un enfant qui va a l’école, sa maîtresse lui demande :
« Pourquoi ton cartable est aussi gros ?
– J’ai emmené ma chatte !
– Mais pourquoi ?
– Parce que j’ai entendu papa dire a maman : Chérie j’emmène le petit à l’école et je te bouffe la chatte ! » -
J’ai vu Virginie en spectacle l’année dernière, et franchement, elle est géniale. Ce genre d’article ne lui rend pas justice. Les gens devraient la découvrir sur scène avant de juger.
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Une petite fête entre amis.
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Un livreur de pizza sonne chez un couple en pleine partouze. La porte s’entrouvre, il voit une dizaine de personnes en sous-vêtements.
— « Euh… je cherche la rue des Lilas, c’est bien ici ? »
— « Non, c’est la rue des Plaisirs, mon gars. Mais si tu veux, tu peux livrer… et rester un peu. »
— « Non merci, j’ai déjà mon quota de surprises pour ce soir. » -
Des amis jouent à un jeu de société. L’un d’eux lit la règle :
— « Si vous tombez sur la case partouze, vous devez partager tous vos points avec les autres joueurs. »
Un joueur, outré :
— Mais c’est injuste !
— Non, c’est juste « collaboratif », répond un autre en riant.-
Une agence de voyage propose un nouveau circuit : « La partouze culturelle ».
— C’est quoi ? demande un client.
— Ben, on visite 10 musées en une journée… tous en même temps, dans le même bus, avec le même guide !
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Un concours de blagues est organisé dans un bar. Un participant monte sur scène :
— « Qu’est-ce qui est pire qu’une partouze ratée ? »
— « Je ne sais pas, quoi ? »
— « Une partouze réussie… avec ta belle-mère ! »
Silence dans la salle. Puis un type au fond crie : « Putain, c’est pas une blague, c’est un drame ! »-
Un réalisateur présente son nouveau film :
— « C’est une œuvre sur la solitude dans les grandes villes. Le héros, après une partouze, se rend compte qu’il est toujours seul. »
Un journaliste demande :
— « Donc c’est un film érotique ? »
— « Non, c’est un drame. La partouze, c’est juste le cadre. Le vrai sujet, c’est la dépression ! »
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L’article est bien écrit, mais je trouve que le ton est un peu trop léger pour un sujet aussi complexe. La partouze, c’est bien plus qu’un simple sujet d’humour…
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Si vous aimez l’humour décalé et les personnages hauts en couleur, La Partouze est fait pour vous. Virginie Hocq y mélange l’esprit de Florence Foresti et le côté déjanté de Gad Elmaleh. Un cocktail explosif qui ne laisse personne indifférent !
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La Partouze : un titre qui fait réagir, un spectacle qui divise. Virginie Hocq assume son style et ça fait du bien ! Certains trouveront ça trop, d’autres pas assez. Une chose est sûre : on ne s’ennuie jamais avec elle.
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Encore une fois, Virginie Hocq nous montre pourquoi elle est unique. ‘La Partouze’ est un spectacle audacieux, drôle et intelligent. Elle joue avec les mots, les situations et les tabous, et le résultat est tout simplement génial. À voir absolument
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Le succès (relatif) de Hocq est le symptôme d’une époque où la politique se confond avec le divertissement. Les jeunes générations, lassées des discours lissés et des promesses non tenues, se tournent vers ceux qui cassent les codes, même si c’est pour ne rien dire. Le problème, c’est que cette logique du buzz tue toute possibilité de débat sérieux. On rit, on s’indigne, on partage… et on oublie. La vraie question, c’est : comment redonner du sens à la politique quand tout n’est plus qu’un spectacle ? Hocq n’est qu’un symptôme, pas la maladie.
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