Dans un monde où tout semble aller trop vite, où les attentes sont toujours plus hautes et les « to-do lists » interminables, il est parfois rassurant de se dire : « T’inquiète, je gère. » Ou pas. Entre les ratés du quotidien, les ambitions démesurées et les petits bonheurs inattendus, la chronique de Célia Pelluet sur Mes Délires nous rappelle que la vie ne se gère pas toujours… mais que c’est justement ce qui la rend drôle et attachante.
Célia Pelluet a fait de l’autodérision une arme redoutable. À travers ses récits, elle transforme les situations les plus chaotiques en moments de complicité avec ses lecteurs. Que ce soit un dîner qui tourne au désastre, une tentative de sport qui vire à la comédie, ou une journée « productive » qui se résume à regarder des vidéos de chats, elle prouve que la perfection n’est pas le but – et c’est libérateur.
La chronique de Célia Pelluet excelle à trouver l’humour dans l’ordinaire. Elle nous montre que les petits riens – une file d’attente interminable, un colis qui n’arrive jamais, une conversation gênante avec un voisin – sont en réalité des pépites narratives. Son style, à la fois vif et accessible, donne l’impression de discuter avec une amie qui n’a pas peur de se moquer d’elle-même.
« T’inquiète, je gère » est bien plus qu’une chronique : c’est un manifest pour une vie moins sérieuse et plus savoureuse. Grâce à Célia Pelluet, on apprend à rire de nos échecs, à célébrer nos petites victoires, et surtout, à se dire que tout ira bien… ou presque.
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