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  • Les riches, ces génies de l’arnaque sociale

    la branlette a mémé

    Dans sa dernière chronique, Aymeric Lompret ne mâche pas ses mots : « Les riches, c’est des trous de balle. » Une phrase choc, mais qui résume à elle seule l’exaspération face à une élite qui semble vivre sur une autre planète. Entre optimisation fiscale, mépris social et indifférence crasse, les plus fortunés excellent dans l’art de creuser l’écart avec le reste de la population.

    Lompret pointe du doigt cette caste qui, tout en profitant des avantages d’un système qu’elle contribue à façonner, se plaint dès qu’on lui demande un effort. « Payez vos impôts ? Mais vous n’y pensez pas, c’est contre-productif ! » ironise-t-il, en évoquant les milliards qui s’évaporent dans les paradis fiscaux pendant que les services publics se meurent à petit feu.

    Avec son humour mordant, l’humoriste rappelle que la richesse ne rime pas toujours avec intelligence, encore moins avec solidarité. « Un riche, c’est comme un trou de balle : ça ne sert à rien, mais ça fait du bruit. » Une formule qui, si elle fait rire, interroge aussi sur notre rapport à l’argent et au pouvoir.

  • La République des trous du cul : quand l’incivilité devient un système

    Introduction Dans un monde où l’individualisme et l’irrespect semblent gagner du terrain, une expression crue résume parfois l’état d’esprit ambiant : « la République des trous du cul ». Derrière cette formule choc se cache une réalité sociale et politique où l’égoïsme, l’arrogance et le mépris des règles collectives deviennent la norme. Mais comment en est-on arrivé là ? Et surtout, comment inverser la tendance ?


    1. L’incivilité, un phénomène en hausse ? Les incivilités, qu’elles soient verbales, physiques ou simplement comportementales, semblent se multiplier. Que ce soit dans les transports en commun, sur les réseaux sociaux ou dans les débats politiques, le manque de respect et l’agressivité sont de plus en plus visibles. Certains y voient le symptôme d’une société en crise, où la frustration et l’anonymat favorisent les comportements toxiques.

    2. La politique, miroir de nos travers ? Le monde politique n’est pas épargné. Entre les polémiques, les insultes et les postures radicales, certains élus et citoyens semblent avoir adopté un langage et des attitudes qui renforcent cette « République des trous du cul ». La question se pose : la politique reflète-t-elle nos pires tendances, ou les amplifie-t-elle ?

    3. Comment sortir de cette spirale ? Face à ce constat, des solutions existent. L’éducation, la promotion du vivre-ensemble et la valorisation des comportements positifs sont des pistes à explorer. Les médias, les influenceurs et les leaders politiques ont aussi un rôle à jouer pour redonner de la dignité au débat public.


    Conclusion « La République des trous du cul » n’est pas une fatalité. C’est un miroir tendu à notre société, qui nous invite à réfléchir sur nos valeurs et nos comportements. Et si, au lieu de nous résigner, nous choisissions de construire une République du respect et de l’intelligence collective ?


    Question pour le lecteur : Et vous, quels comportements ou attitudes aimeriez-vous voir disparaître pour améliorer notre vie en société ?