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  • la bajon : experte de l’info

    Anne-Sophie Bajon, plus connue sous le nom de La Bajon, s’impose comme une figure incontournable de l’humour français. Née en 1978 et adoptée dès son plus jeune âge, elle a su transformer son parcours de vie en une source inépuisable d’inspiration pour ses spectacles. Après des débuts remarqués sur YouTube avec des vidéos parodiques cumulant des millions de vues, elle a conquis le public avec des one-woman-shows percutants comme « Vous Couperez » et « Extraterrienne ». Ce dernier, en tournée depuis mai 2025, confirme son talent pour mêler humour incisif et réflexion sur les grands enjeux de société.

    La Bajon se distingue par sa capacité à aborder l’actualité avec un regard décalé et sans concession. Que ce soit à travers ses chroniques radio ou ses spectacles, elle utilise l’humour comme une arme pour parler de politique, d’écologie ou de justice sociale. Son approche, à la fois drôle et engagée, en fait une experte de l’info à sa manière : elle ne se contente pas de l’analyser, elle la réinvente pour mieux la faire comprendre.

    Avec son énergie contagieuse et son franc-parler, La Bajon prouve qu’on peut rire de tout, à condition de le faire avec intelligence et audace. Une artiste à suivre de près, pour ceux qui aiment l’humour qui fait réfléchir.

  • Tout est polarisé, même chez les chiens

    Dans son dernier podcast, Tanguy Pastureau confirme : notre société est divisée, et même les chiens n’y échappent pas. Entre ceux qui veulent museler les toutous dans les trains et ceux qui les trouvent trop mignons pour ça, la France se scinde en deux clans irréconciliables. Pastureau, lui, assume son camp : « J’ai un chien de 6 kilos, bâti comme un cheval, mais jamais il ne portera de muselière. Je suis un rebelle ! ».

    L’humoriste, maître dans l’art de « maltraiter l’info », transforme chaque sujet en prétexte pour explorer nos contradictions. Un jour, il s’indigne qu’un homme ait réalisé son rêve en devenant un chien, le lendemain, il avoue dormir dans une niche pour soulager ses traumatismes. Entre absurde et autodérision, Pastureau rappelle que, dans un monde où tout est polarisé, le rire reste notre meilleure arme.

    Son ton décalé, entre provocation et tendresse, fait mouche : « Si j’étais un chien, je serais heureux avec une balle. Les humains, eux, ont besoin de débats sans fin. ». Une chronique qui, une fois de plus, prouve que l’actualité, même caninisée, mérite d’être prise à la légère.