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  • giedre : pisser debout

    Giedre, artiste provocatrice, utilise son corps comme un outil de contestation. Dans sa performance « pisser debout », elle défie les attentes sociales liées au genre, transformant un acte banal en une déclaration politique. Cette œuvre interroge : pourquoi un geste aussi naturel est-il genré ? En adoptant une posture traditionnellement masculine, Giedre met en lumière l’absurdité des normes qui dictent nos comportements.

    Son travail rappelle celui d’artistes comme Valie Export ou Orlan, qui ont aussi utilisé leur corps pour questionner les structures de pouvoir. « Pisser debout » n’est pas seulement une performance, c’est un miroir tendu à la société, révélant nos préjugés et nos tabous. L’art de Giedre invite à repenser la liberté corporelle, au-delà des catégories imposées.

    En exposant ce geste intime, elle crée un dialogue entre le privé et le public, entre le naturel et le culturel. Son œuvre, à la fois drôle et subversive, rappelle que l’art peut être un levier de changement social. Giedre ne cherche pas à choquer pour choquer, mais à éveiller les consciences.

  • GiedRé : « Des droits de l’homme aux prud’hommes », une chanson engagée sur la précarité professionnelle

    Avec sa chanson « Des droits de l’homme aux prud’hommes », GiedRé aborde avec humour et lucidité un sujet universel : la peur de perdre son emploi. Diffusée notamment sur France Inter, cette création met en lumière les difficultés rencontrées par les salariés face à des décisions juridiques parfois non respectées par le service public, les conduisant souvent devant les prud’hommes. Le ton est à la fois léger et percutant, typique du style de l’artiste, qui utilise la musique pour parler de réalités sociales souvent taboues.

    GiedRé, connue pour ses textes décalés et ses mélodies entraînantes, rappelle que la précarité économique touche tout le monde. Elle évoque aussi, avec ironie, la nécessité de faire des économies et la recherche d’argent « peut-être dans le compte en banque de Bernard Arnault ». Cette chanson, devenue virale, résonne particulièrement dans un contexte où l’insécurité professionnelle est une préoccupation majeure pour beaucoup de Français.

    À travers cette œuvre, GiedRé prouve une fois de plus que la chanson peut être un outil puissant pour sensibiliser et faire réfléchir, tout en gardant une touche d’humour et de légèreté. Une performance à découvrir absolument pour ceux qui aiment l’art engagé et accessible à tous{« prompt »: « A playful and engaging illustration of a person singing at a piano, with a courtroom gavel and a sign saying ‘Prud’hommes’ in the background. The style is light-hearted, colorful, and slightly cartoonish, reflecting the humorous and social tone of GiedRé’s song ‘Des droits de l’homme aux prud’hommes’. »}

  • « Bon Courage » : la chanson décalée de GiedRé dans « La dernière »

    Dans l’émission « La dernière » sur Radio Nova, GiedRé a présenté sa chanson « Bon Courage », une création aussi drôle que percutante, typique de son style unique. Avec son humour noir et son regard acéré sur la société, l’artiste lituanienne revisite les vœux traditionnels pour en faire une satire mordante des temps difficiles. « Est-ce qu’on pourrait arrêter de se souhaiter la bonne année ? » lance-t-elle, résumant en une phrase l’esprit de sa chanson : un mélange de lucidité et d’ironie face aux défis du quotidien

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    GiedRé, connue pour ses textes caustiques et ses mélodies entraînantes, transforme les sujets sérieux en moments de rire et de réflexion. « Bon Courage » ne fait pas exception : entre autodérision et critique sociale, elle invite à relativiser et à garder le sourire malgré les épreuves. « On vit tous dans la terreur de perdre notre emploi », chante-t-elle, rappelant que l’humour reste une arme puissante pour affronter la réalité

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    Avec cette chanson, GiedRé confirme son talent pour mêler légèreté et profondeur, offrant un hymne décalé pour ceux qui préfèrent rire plutôt que de se lamenter. Une pépite à écouter sans modération !

  • « Taper les gens, c’est pas bien… mais ça fait du bien ? » – La chanson de GiedRé qui libère nos pulsions interdites

    Qui n’a jamais eu envie, ne serait-ce qu’une seconde, de taper quelqu’un ? Un collègue trop bruyant, un inconnu qui vous bouscule dans le métro, ou même un proche qui a encore oublié de sortir les poubelles… GiedRé, l’artiste au style aussi décalé que libérateur, a mis des mots (et une mélodie) sur cette pulsion universelle avec sa chanson « Taper les gens c’est pas bien ». Un titre qui résume à lui seul l’absurdité et la beauté de la condition humaine : on a des envies, mais on sait qu’il ne faut pas les assouvir.

    GiedRé : L’art de dire tout haut ce qu’on pense tout bas GiedRé, c’est cette artiste qui ose aborder des sujets tabous avec un humour grinçant et une autodérision désarmante. Dans « Taper les gens c’est pas bien », elle joue avec nos frustrations quotidiennes et nos envies refoulées. La chanson, diffusée pour la première fois sur France Inter en septembre 2022, est rapidement devenue virale, touchant un public large et varié. Pourquoi ? Parce qu’elle parle à notre enfant intérieur, celui qui trépigne quand on lui dit « non » ou « ce n’est pas bien »

    Le clip, simple et efficace, montre GiedRé en train de chanter cette vérité crue, avec un sourire en coin et un ton qui oscille entre la confidence et la provocation. « Des fois, j’ai envie de taper des gens. Mais c’est pas bien. » Une phrase qui résonne comme un mantra pour tous ceux qui ont déjà serré les poings dans leur poche.

    Pourquoi cette chanson nous parle tant ?

    1. L’humour comme exutoire : GiedRé utilise l’humour pour désamorcer la violence. En chantant ce qu’on n’oserait jamais dire, elle nous permet de rire de nos propres pulsions, et donc de les apprivoiser.
    2. Un miroir de nos contradictions : La chanson reflète notre dualité : on est à la fois civilisés et sauvages, raisonnables et impulsifs. Elle nous rappelle que la société nous impose des règles, mais que nos instincts, eux, ne disparaissent pas.
    3. Un message universel : Qui n’a jamais rêvé de « taper » quelqu’un ? La chanson crée une complicité immédiate avec l’auditeur, car elle aborde un sentiment partagé, mais rarement avoué

    GiedRé et son univers décalé GiedRé n’en est pas à son coup d’essai. Avec des titres comme « Violer OKLM » ou « Animal mort », elle explore les recoins sombres et absurdes de l’âme humaine, toujours avec une pointe d’ironie et une mélodie entraînante. Son album « C’est encore nous ! » regorge de ces pépites qui mêlent provocation et tendresse, et « Taper les gens c’est pas bien » en est un parfait exemple

    Ce qui frappe chez GiedRé, c’est sa capacité à transformer des sujets graves ou gênants en chansons pop, accessibles et drôles. Elle joue avec les mots, les tabous, et nos attentes, pour mieux nous faire réfléchir… tout en dansant.

    Et si on tapait… dans nos mains ? La chanson se termine sur une note plus légère : « Et quand je n’aurai pas de refrain / Je ferai taper les gens dans leurs mains ». Une invitation à canaliser notre énergie vers quelque chose de positif et de collectif. Après tout, taper dans ses mains, c’est permis, et ça fait du bien aussi !

    Conclusion : La violence en chanson, c’est malin « Taper les gens c’est pas bien » est bien plus qu’une chanson humoristique : c’est une ode à la lucidité, à l’autodérision, et à la liberté de penser (même le pire). GiedRé nous rappelle que nos pulsions existent, mais que c’est à nous de choisir comment les exprimer. Alors, la prochaine fois que l’envie de taper quelqu’un vous prendra… mettez cette chanson, chantez à tue-tête, et tapez dans vos mains. C’est bien plus malin.

  • on ne peut plus rien dire: la chanson de giedre

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  • Caca toute seule – La chronique de GiedRé

    Caca toute seule – La chronique de GiedRé