Étiquette : gauche

  • pourquoi les trains roulent a gauche?

    En France, les trains circulent à gauche, contrairement aux voitures qui roulent à droite. Cette particularité remonte au XIXe siècle, lorsque le chemin de fer s’est développé. L’influence britannique a joué un rôle clé : le Royaume-Uni, pionnier du réseau ferré, avait déjà adopté la circulation à gauche pour ses trains, en cohérence avec la circulation routière de l’époque. La France, comme d’autres pays européens (Belgique, Suède, Italie, Suisse), a suivi ce modèle, bien que les voitures y roulent à droite.

    Une exception notable existe en Alsace-Moselle, où les trains circulent à droite. Cette particularité s’explique par l’histoire : annexée par l’Allemagne après 1870, la région a conservé le système ferroviaire allemand, où les trains roulent à droite, même après son retour à la France en 1918. Changer le sens de circulation aurait été trop coûteux et complexe.

    La circulation à gauche offre aussi un avantage pratique : les conducteurs, majoritairement droitiers, pouvaient sortir la tête par la gauche pour effectuer des manœuvres en toute sécurité, sans risque de collision avec un train arrivant en sens inverse. Cette tradition, bien qu’ancienne, reste une norme stable en France, sauf exceptions locales ou adaptations techniques.

  • Gauche vs droite : quand l’humour décrypte nos divisions

    Dans sa chronique du 12 octobre 2025, Aymeric Lompret s’attaque avec son ironie mordante à l’éternel clivage gauche-droite, proposant une solution aussi radicale qu’absurde : une France scindée en deux États, l’un pour chaque bord politique. L’humoriste, connu pour son regard acéré sur l’actualité, utilise l’exagération pour souligner l’absurdité des tensions idéologiques qui traversent la société française. À travers ses sketches, il rappelle que ces divisions, souvent alimentées par les médias et les réseaux sociaux, finissent par obscurcir les vrais enjeux et paralyser le débat public.

    Lompret, souvent qualifié d’humoriste « de gauche », n’épargne pourtant aucun camp. Il dénonce autant la droite conservatrice que les dérives d’une gauche parfois dogmatique, tout en pointant du doigt la montée des extrêmes, notamment l’extrême droite, qu’il accuse régulièrement d’antisémitisme et de repli identitaire. Son approche, à la fois drôle et engagée, vise à désamorcer les tensions par le rire, tout en invitant à une réflexion critique sur nos propres préjugés.

    Avec son ton décalé et ses propositions provocatrices, Aymeric Lompret rappelle que l’humour peut être un outil puissant pour questionner nos certitudes et, peut-être, trouver un terrain d’entente dans un pays de plus en plus divisé.

  • « La partouze de gauche » : la chronique acide de Pierre-Emmanuel Barré

    Dans sa chronique « La partouze de gauche », diffusée sur Radio Nova, Pierre-Emmanuel Barré déploie une fois de plus son humour noir et son regard sans concession sur le paysage politique et médiatique français. Avec son style mordant, l’humoriste compare l’émission « La dernière » à « L’Heure des Pros avec des gens qui ont lu Bourdieu au lieu de Houellebecq », soulignant avec ironie les débats parfois stériles et les postures intellectuelles de la gauche française

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    Barré, connu pour ses chroniques provocatrices et ses spectacles sans filtre, utilise ici l’absurde et l’exagération pour révéler les contradictions et les excès des débats politiques. « La partouze de gauche » devient ainsi une métaphore des discussions interminables, des alliances improbables et des positions parfois dogmatiques qui animent le milieu progressiste.

    Son ton, à la fois drôle et cynique, force l’auditeur à réfléchir tout en le faisant rire. Comme toujours, Pierre-Emmanuel Barré transforme une critique sociale en un moment de rire et de réflexion, prouvant que l’humour peut être un outil puissant pour décrire les travers de notre époque. Une chronique à écouter pour ceux qui aiment rire des excès de la gauche… et de ses détracteurs !

  • c’est quoi la gauche? (la chronique d’Akim Omiri)

    c’est quoi la gauche? (la chronique d’Akim Omiri)