L’Eurovision 2026 s’annonce déjà comme l’édition la plus polémique de son histoire. Au cœur de la tempête : Charline, une artiste française dont la chanson en soutien à la Palestine a déclenché une vague de réactions enflammées. Alors que l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) reporte à décembre son vote sur la participation d’Israël, la prestation de Charline, mêlant mélodie entraînante et paroles engagées, a divisé le public et les médias.
Sur les réseaux sociaux, les avis sont tranchés : certains saluent son courage et son engagement, d’autres dénoncent une politisation du concours, censé célébrer l’unité et la diversité. « L’Eurovision doit rester un espace de fête, pas de guerre des symboles », commente un internaute, tandis qu’un autre répond : « Quand l’art se tait, la violence parle. Bravo Charline ! »
La question de la participation d’Israël, déjà source de tensions entre plusieurs pays européens, ajoute une couche de complexité. Avec Charline, c’est désormais la scène musicale qui devient le terrain d’expression des conflits géopolitiques. Une chose est sûre : cette édition ne laissera personne indifférent.