Étiquette : con

  • Des punaises dans les papeteries : quand l’humour noir rencontre l’absurde

    Des punaises dans les papeteries : l’appel trop con est un roman déjanté qui pousse l’absurde à son paroxysme. Imaginez un héros ordinaire, confronté à une invasion de punaises dans les rayons de sa papeterie préférée. Au lieu de fuir ou d’appeler un exterminateur, il décide de lancer un appel à l’aide… sur les réseaux sociaux. Résultat : une cascade de quiproquos, de réactions survoltées et de situations toujours plus loufoques.

    L’auteur joue avec les codes de la comédie sociale et du grotesque, transformant une banalité du quotidien en une épopée hilarante. Entre dialogues cinglants, personnages hauts en couleur et rebondissements improbables, ce livre est une satire mordante de notre époque, où tout et n’importe quoi peut devenir viral.

    Les fans d’humour noir, de satire sociale et de récits décalés trouveront ici de quoi rire jaune – et parfois gras. Un roman court, percutant, à dévorer sans modération pour se rappeler que la vie est souvent plus folle que la fiction.

  • Pierre-Emmanuel Barré : quand l’humour dérape-t-il ?

    les femmes detestent la routine

    L’humour est un art délicat, où la frontière entre provocation et vulgarité peut parfois sembler ténue. Pierre-Emmanuel Barré, humoriste et écrivain connu pour son style sans filtre, en est un parfait exemple. Dans son dernier spectacle ou ses interventions médiatiques, il pousse souvent les limites, suscitant des réactions passionnées. Certains y voient un génie de la satire, capable de déconstruire les tabous avec brio. D’autres, en revanche, y perçoivent une forme de cynisme gratuit, voire une agressivité déguisée en humour.

    Florence Mendez, dans sa chronique, n’y va pas par quatre chemins : pour elle, Barré incarne parfois le pire de l’humour masculin, un mélange de misogynie et de provocation facile. Mais est-ce vraiment le cas ? Ou s’agit-il d’une lecture réductrice de son travail ? L’humour noir, par définition, bouscule et dérange. Il force à réfléchir, même si cela peut blesser.

    Ce débat dépasse largement la personne de Barré. Il interroge notre rapport à la liberté d’expression, à la sensibilité collective, et à la responsabilité des artistes. Faut-il censurer ce qui dérange, ou au contraire, accepter que l’humour soit un miroir grossissant de nos contradictions ? Une chose est sûre : Barré ne laisse personne indifférent.

  • magasin réservé aux femmes (l’appel trop con)

    magasin réservé aux femmes (l’appel trop con)

  • Le gros con, une menace pour la planète

    Cliquez ici pour tchatter avec elle

    Le gros con, une menace pour la planète – La chronique de Constance