Dans son dernier podcast, Tanguy Pastureau confirme : notre société est divisée, et même les chiens n’y échappent pas. Entre ceux qui veulent museler les toutous dans les trains et ceux qui les trouvent trop mignons pour ça, la France se scinde en deux clans irréconciliables. Pastureau, lui, assume son camp : « J’ai un chien de 6 kilos, bâti comme un cheval, mais jamais il ne portera de muselière. Je suis un rebelle ! ».
L’humoriste, maître dans l’art de « maltraiter l’info », transforme chaque sujet en prétexte pour explorer nos contradictions. Un jour, il s’indigne qu’un homme ait réalisé son rêve en devenant un chien, le lendemain, il avoue dormir dans une niche pour soulager ses traumatismes. Entre absurde et autodérision, Pastureau rappelle que, dans un monde où tout est polarisé, le rire reste notre meilleure arme.
Son ton décalé, entre provocation et tendresse, fait mouche : « Si j’étais un chien, je serais heureux avec une balle. Les humains, eux, ont besoin de débats sans fin. ». Une chronique qui, une fois de plus, prouve que l’actualité, même caninisée, mérite d’être prise à la légère.