La vidéo pourrait s’appuyer sur des exemples concrets, comme des cas de fraude fiscale, d’optimisation agressive, ou encore d’abus de subventions, pour illustrer comment certains acteurs exploitent les failles du système. Elle pourrait aussi interroger les responsabilités : celles des institutions, qui laissent ces pratiques perdurer, ou celles des citoyens, qui parfois ferment les yeux. En filigrane, se pose la question de la justice sociale et de la nécessité de réformes pour limiter ces dérives.
« Profiteur du système »
Commentaires
32 réponses à “« Profiteur du système »”
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En résumé : le système est une machine à broyer les gens, et ceux qui s’en sortent sont soit des génies de la paperasse, soit des chanceux. Moi, je fais partie des autres…
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Intéressant, mais je trouve que l’article manque un peu de nuances. Oui, le système est kafkaïen et injuste, mais il y a aussi des gens qui abusent sciemment (et pas seulement par nécessité).
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Bravo pour cet article percutant ! Il est temps de briser le tabou : le système est conçu pour nous diviser (“eux” les profiteurs vs “nous” les honnêtes travailleurs), alors qu’en réalité, la majorité des gens galèrent juste pour joindre les deux bouts.
Et si on inversait la tendance ? Au lieu de stigmatiser, pourquoi ne pas partager nos astuces pour naviguer dans ce bordel administratif ? Je propose qu’on lance un fil de commentaires avec nos “meilleurs trucs” pour survivre au système sans se faire avoir. Qui est partant ? -
Cet article résume parfaitement ce que je vis depuis des mois avec Pôle Emploi. Entre les formations imposées qui ne mènent nulle part et les conseils de “créez votre entreprise” alors qu’on a à peine de quoi payer son loyer, on se sent vraiment comme un pion dans un jeu dont on ne connaît pas les règles.
Le pire ? Quand on essaie de s’en sortir “honnêtement”, on se retrouve pointé du doigt comme un fraudeur potentiel. Merci pour ce texte qui met des mots sur cette frustration silencieuse. -
Plus sérieusement, merci pour ce décryptage qui fait du bien. On se sent moins seul face à l’absurdité administrative.
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Franchement, après avoir lu cet article, je me demande si je ne devrais pas me reconvertir en “profiteur professionnel du système”. Ça a l’air d’être un métier d’avenir : horaires flexibles, avantages sociaux garantis, et surtout, une reconnaissance sociale immédiate… dans les commentaires en ligne.
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‘Profiteur du système’ = expression favorite de ceux qui n’ont jamais eu à choisir entre payer leur loyer ou se soigner. L’hypocrisie à son paroxysme. Merci pour ce rappel nécessaire : la dignité n’a pas de prix, mais elle a souvent besoin d’un filet social.
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Encore un article qui tape juste ! Le ‘profiteur du système’ est le bouc émissaire parfait pour détourner l’attention des vrais responsables : les politiques qui démantèlent les services publics, les employeurs qui précarisent, etc. À quand un débat sérieux sur les inégalités structurelles au lieu de cibler les plus vulnérables ? Partagez cet article autour de vous, ça fait du bien de lire des analyses qui ne tombent pas dans le piège de la morale facile.
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L’article soulève un point crucial : la complexité des situations individuelles derrière l’étiquette ‘profiteur’. Ce qui m’interpelle, c’est à quel point ce discours simpliste évite de questionner les vraies failles du système (précarité, manque d’accompagnement, etc.). Plutôt que de stigmatiser, ne faudrait-il pas se demander pourquoi certaines personnes en arrivent là ? La pauvreté n’est pas un choix, mais souvent le résultat d’un enchaînement de circonstances. Merci pour cette analyse qui invite à la bienveillance et à la remise en question.
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Ah, le célèbre ‘profiteur du système’… Ce mythe moderne qui permet à chacun de se sentir supérieur en pointant du doigt son voisin. Perso, je me demande juste : où est le formulaire pour s’inscrire ? Parce que si c’est aussi rentable qu’on le dit, je veux bien troquer ma vie de travailleur acharné contre un hamac et des allocations. Merci pour cet article qui remet les pendules à l’heure.
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Le concept de ‘profiteur du système’ est trop souvent instrumentalisé à des fins politiques, pour diviser et opposer les citoyens. Cet article montre que la vérité est bien plus complexe, et que les solutions passent par une réforme du système, pas par la culpabilisation des plus fragiles.
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Plutôt que de s’indigner contre les ‘profiteurs’, utilisons cette énergie pour exiger des réformes qui limitent réellement les abus, tout en protégeant ceux qui en ont besoin. Un système juste ne se construit pas sur la méfiance, mais sur la solidarité et l’efficacité.
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Cet article met en lumière une réalité souvent ignorée : derrière le terme ‘profiteur du système’, il y a des parcours de vie complexes, des échecs systémiques et des inégalités structurelles. Plutôt que de stigmatiser, ne faudrait-il pas interroger les failles d’un système qui pousse certains à en abuser pour survivre ?
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C’est un gars qui est dans son lit avec son sexe dressé sous la couverture.
Son fils entre et regarde la bosse. Etonné, il dit à son père :
– C’est quoi ça, papa ?
– Va voir ta mère et dis lui que le chapiteau est dressé et que la représentation va commencer, répond le père.
Le fils descend les escaliers et remonte quelques minutes plus tard. Il dit à son père :
– Maman a dit que la représentation était annulée parce que le clown a le nez qui saigne. -
Pourquoi lorsqu’un bateau est sur le point de couler, on crie toujours : « les femmes et les enfants d’abord ! » ? Parce qu’après, les requins sont rassasiés.
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Un Black entre dans un bar, avec un perroquet perché sur la tête.
– Super ! dit le barman. C’est un vrai ? Où l’avez-vous trouvé ?
– En Afrique, répond le perroquet. -
Deux soldats dorment au fond de leur tranchée, lorsqu’un terrible grondement se fait entendre.
– Zut ! s’exclame l’un d’eux. Voilà l’orage !
– Mais non, répond son camarade. C’est un bombardement…
– Tu me rassures : j’ai tellement peur de la foudre-
Dans le cadre de sa nouvelle politique de marketing, Air France, pour remercier de leur fidélité les hommes d’affaires qui fréquentent régulièrement ses lignes, décide de leur offrir un billet gratuit pour leur femme afin qu’elle puisse les accompagner sur la destination de leur choix.
Trois mois plus tard, la compagne écrit aux épouses pour leur demander si elles ont été satisfaites du vol.
Et la plupart d’entre elles ont répondu : » Quel vol ? «
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Il est facile de brandir l’étiquette ‘profiteur’ pour discréditer ceux qui bénéficient d’aides sociales. Pourtant, la frontière entre nécessité et abus est bien plus floue qu’on ne le pense. Cet article rappelle que chaque situation mérite d’être analysée avec nuance, sans généralisation hâtive.
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Un vendredi soir au bureau, un homme téléphone à sa femme et lui dit :
– Quelque chose de super vient d’arriver. Le patron a proposé d’emmener les cadres les plus méritants qui le souhaitent pour une semaine de pêche dans le marais poitevin. Ça va être excellent pour ma carrière car le patron est un fou de pêche au brochet.
On part dès ce soir, alors prépare-moi ma valise et mon équipement de pêche ; n’oublie pas de prendre mon pyjama bleu en soie. Je passe à la maison dans une heure pour tout prendre.Une heure plus tard, le gars passe en coup de vent chez lui, il embarque le tout, dit au revoir à sa femme et se barre.
Une semaine plus tard, il est de retour.
Sa femme lui demande :
– Alors, ta semaine de pêche s’est bien passée, chéri ?
– Oh oui, c’était génial… Mais dis-moi, tu as oublié de me préparer mon pyjama bleu en soie.
– Ah mais non, répond la femme. Je l’ai placé dans ta boîte à appâts
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Sur une île, deux naufragés discutent :
– L’autre jour, j’ai trouvé une lampe. En la frottant, un génie en est sorti et m’a accordé un voeu.
– La chance ! Que t’a-t-il accordé ?
– Il m’a proposé de choisir entre un gros zizi ou une excellente mémoire.
– Et alors, t’as choisi quoi ?
– Je me souviens plus… -
Quel est le sport préféré des électriciens ?
Le karaté, car ils connaissent toutes les prises.
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Un couple, par terre dans leur chambre…
« Chéri, tu peux me faire un petit broute-minou ?
– Pas de problème darling.
– Euh, chéri, tu peux enlever tes lunettes s’il te plaît ? Tu me fais mal aux cuisses…
– Chéri, remets tes lunettes, tu broutes la moquette ! »-
Accuser les individus de profiter du système, c’est souvent oublier que ce même système crée les conditions de ces abus. Plutôt que de pointer du doigt, ne devrions-nous pas nous interroger sur notre responsabilité collective à construire une société plus juste et inclusive ?
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Que se passe-t-il quand on mange un Pepito à minuit ?
Il devient un Pepitard. -
Il y a plus d’indemnités non payées que de fraude.
J’espère que les gens réclameront leurs droits. -
Je touche actuellement l’allocation adulte handicapé. Ça me convient, pas besoin de travailler.
Il faut savoir être heureux avec le peu que l’on possède. -
Le système profite toujours aux même.
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Tout est fait pour nous prendre pour des cons.
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Les témoignages comme celui-ci sont précieux : ils humanisent un débat trop souvent réduit à des chiffres et des préjugés. Derrière chaque ‘profiteur’, il y a une histoire, des choix, des contraintes. Merci de rappeler que la réalité est rarement noire ou blanche.
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Il est inutile de travailler lorsque l’on touche les aides sociales.
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L’actualité ça n’attend pas.
Une façon particulière de voir les informations.
Plus on est dans la merde et plus on est contrôlé. Et plus on est contrôlé et plus on est dans la merde.
Encore une philosophie de riches.
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