Olivier de Benoist : seul face aux femmes
Olivier de Benoist : seul face aux femmes
Commentaires
18 réponses à “Olivier de Benoist : seul face aux femmes”
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Jacques Martin : – Et tu es venu avec ta maman ?
L’enfant : – Voui.
Jacques Martin : – Et elle est où ta maman ?
L’enfant : – Là-bas (en pointant son doigt vers une superbe jeune dame).
Jacques Martin : – Ho elle est ravissante ta maman, et le monsieur à coté d’elle c’est ton papa ?
L’enfant : – Non, mon papa il a pas pu venir, le monsieur à coté de ma maman,
c’est le monsieur qui vient voir maman quand papa travaille. -
Un homme est en train de se noyer. Il crie : « au secours ! Je ne sais pas nager ! ». Un passant le regarde et lui répond : « moi non plus, monsieur, mais je n’ai pas besoin de le crier ! ».
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Le Bon Dieu n’a pas créé le monde tout seul. En fait, il dirigeait une immense usine où des milliers d’anges spécialisés travaillaient à créer chaque espèce animale, végétale ou minérale. Au matin du cinquième jour, Dieu visite l’atelier de nettoyage des poissons et se met brusquement en colère :
– Non, non et non ! tonne-t-il. Qui est-ce qui a lavé cette sole ?Un ange lève le doigt, penaud.
– C’est moi, Seigneur.
– On t’avait dit de la laver, pas de la repasser-
Un monsieur prend un taxi avec un petit garçon. Sur le parcours, le véhicule emprunte une rue mal famée tout au long de laquelle des prostituées arpentent le trottoir.
– Qui c’est, les dames ? demande le gamin.
– Je ne sais pas, répond le père gêné. Je ne les connais pas…
– Ce sont des putains, dit le chauffeur.
– Qu’est-ce qu’elles font là, les putains ?
– Elles tapinent, dit le chauffeur.
– Ça veut dire qu’elles attendent leur mari… ajoute précipitamment le père.
– Ah ! Elles ont un mari ?
– Elles en ont même plusieurs par jour, ricane le chauffeur.
– Alors, si elles ont beaucoup de maris, elles ont beaucoup d’enfants. Dis, papa, qu’est-ce qu’ils font quand ils sont grands, les enfants de putains ?
– Ils deviennent chauffeurs de taxi, mon chéri….
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Un homme a décidé de partir en voyage en Chine. Il se rend à la gare et s’adresse à un guichetier :
– Un billet pour Pékin, s’il vous plaît.
– C’est où, ça, Pékin ?
– En Chine.
– Ouh la ! s’exclame l’employé de la SNCF. Écoutez, moi ce que je peux vous donner, c’est un billet pour Berlin. Là, vous vous débrouillerez.L’homme va à Berlin. De là, il prend un billet pour Moscou. À Moscou, il prend un billet pour Novosibirsk. À Novossibirsk pour Oulan-Bator, à Oulan-Bator pour Pékin, où il arrive après trois mois de voyage.
Comme ses congés sont plus que largement entamés, il se rend aussitôt à un guichet de la gare centrale chinoise.
– Un billet pour Châlons, s’il vous plaît ?
– Certainement, honorable étranger, lui répond le guichetier. Châlons-sur-Marne ou Chalon-sur-Saône ? -
Thomas invite sa mère à dîner. Remarquant que la colocataire de son fils, Caroline, est très jolie, elle tente de savoir si Thomas et elle ne sont que des colocataires. Thomas lui affirme que Caroline et lui ne sont que des amis.
Une semaine plus tard, Caroline dit à Thomas :
– Depuis que ta mère est venue dîner, je ne trouve plus la louche. C’est bizarre…
– Je vais lui envoyer un petit mot, dit Thomas :
« Chère maman, Je ne dis pas que tu as pris la louche et je ne dis pas que tu ne l’as pas prise, mais elle a disparue depuis ta dernière visite.
Je t’embrasse très fort. Thomas. »Quelques jours plus tard, Thomas reçoit une lettre de sa mère :
« Cher fils, Je ne dis pas que tu couches avec Caroline et je ne dis pas que tu ne couches pas avec Caroline, mais si Caroline couchait dans son lit, vous auriez retrouvé la louche.
Je t’embrasse fort. Maman » -
En visite chez sa fille, la belle-mère demande à son gendre :
– Ça vous dérange si je fume ?
– Non, je m’en fous. Vous pouvez même brûler -
Une maman appelle son fils :
« – Peux-tu m’aider à changer ton frère ?
– Pourquoi, il est déjà usé ? »
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Une secrétaire dit à son patron : « Je crois que je vais vous quitter, j’ai trouvé une nouvelle position. » Le patron lui répond : « Ok, fermez les rideaux et montrez-la moi. »
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La maman de Toto s’étonne : « Toto, pourquoi manges-tu ton pain au chocolat en te regardant dans la glace ? » « Pour avoir l’impression d’en manger deux ! »
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Encore un mysogine qui ce croit drôle.
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Seul contre toutes. Il est drôlement courageux.
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Heureusement que les hommes ne pense pas comme lui.
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C’est assez difficile de supporter une femme. Je me demande comment font les hommes avec une double vie.
Rien que d’y penser, j’ai des envies suicidaires. -
Encore la preuve que l’homme et la femme ne sont pas égaux.
Toujours marrant de se moquer des plus faibles.
Mais quand allons nous voir la réalité. -
Dans un sketch, les trois premières minutes sont les plus difficiles. Car le public n’est pas encore chaud. On va donc attendre trois minutes.
C’est la soirée Pinocchio. Tout le monde ment.
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Encore un mysogine qui ce la pète.
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Oui ça fait un de plus. Mais j’avoue aimer les blagues sur les hommes.
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