L’argent achète des confort, pas des sourires. Ayméric Lompret le rappelle avec humour : le bonheur se niche dans les petits riens, pas dans les comptes en banque. Une soirée entre amis, un coucher de soleil, un éclat de rire… Ces instants, sans prix, valent plus qu’un portefeuille bien garni.
Pourtant, notre société court après les chiffres, croyant que la richesse comble les vides. Mais l’abondance matérielle isole souvent. Le vrai luxe ? Le temps, la liberté, l’amour. L’argent facilite, mais ne crée pas la joie. Il ne console pas d’une solitude, ne guérit pas d’une peine de cœur.
Et si, plutôt que d’accumuler, on apprenait à savourer ? À écouter, partager, exister sans compter. Le bonheur, c’est l’art de se contenter de ce qu’on a, pas de rêver à ce qu’on n’aura jamais. Alors, osons vivre léger. Car, comme le dit Lompret, « le bonheur, c’est comme un bon vin : ça ne se boit pas en bourse ».
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