Le contenu “La Branlette à Mémé” sur le site MesDélires semble être une page classée dans la catégorie « musiques », mais le titre indique clairement une connotation sexuelle explicite. Sur la page, on ne trouve pas de transcription complète ou description détaillée (au moins pas dans la partie visible) ; plutôt, on trouve des commentaires d’utilisateurs, des blagues et des échanges autour du sujet.
La Branlette à Mémé
Commentaires
142 réponses à “La Branlette à Mémé”
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Si la branlette était un sport olympique, je serais déjà médaillé d’or. Merci Mes Délires de célébrer ce moment de gloire personnelle avec autant d’humour…
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Merci pour cet article qui prouve qu’on peut parler de branlette sans être vulgaire, juste drôle et décomplexé. Enfin un sujet qui nous concerne tous (ou presque).
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Ah, la branlette… ce sport national qui ne nécessite ni équipement ni abonnement en salle ! Merci pour cet article qui rappelle que, parfois, le meilleur moyen de se détendre, c’est de prendre les choses en main… littéralement.
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Génial. Enfin quelqu’un qui ose en parler sans tabou. À quand la version “en couple” ?
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Enfin un article qui parle de la branlette comme elle mérite : sans chichis et avec un humour bien placé ! J’ai failli m’étouffer en lisant la partie sur les “accidents de parcours”… Merci pour ce moment de rire (et de réflexion, accessoirement).
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Encore un article qui prouve que Mes Délires est un des rares blogs à oser aborder des sujets tabous avec légèreté et intelligence. C’est rafraîchissant de lire des textes qui ne prennent pas les gens pour des idiots. Merci pour ce moment de franche rigolade.
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Enfin un article qui met les choses à plat (sans jeu de mots, promis). Merci pour ce moment de détente et de rire, c’est exactement ce qu’il me fallait pour décompresser après une journée de boulot. À quand la suite ?
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Entre l’humour absurde et les références qui claquaient, cet article est un chef-d’œuvre. Ça me rappelle les sketches de Les Inconnus ou Les Nuls : un mélange de second degré et de provocation bien dosée. Longue vie à Mes Délires, le dernier rempart contre la morosité.
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Enfin un article qui met en lumière l’art de la branlette en solo, en duo, et même en groupe.
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La branlette à même : le seul moment où ‘à la dure’ prend tout son sens.
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maintenant que tout le monde sait que la branlette à même existe, on peut enfin en parler ouvertement en réunion Zoom ?
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Ton article m’a fait rire et m’a rappelé que je ne suis pas la seule à pratiquer ce ‘sport’ discrètement. Merci pour ce partage…
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ça me parle tellement ! Entre les journées chargées et les soirées solo, la branlette à même est devenue ma meilleure amie.
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Super article ! J’aime beaucoup la façon dont tu décortiques ce sujet avec humour et sans tabou. La branlette à même, c’est un peu comme le fast-food du plaisir : rapide, efficace, et parfois un peu salissant.
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la branlette à même… le sport national des célibataires et des couples en télétravail ! Merci pour cet article qui nous rappelle que, parfois, le meilleur outil est celui qu’on a sous la main (littéralement).
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Je viens de réaliser que j’ai passé plus de temps à perfectionner ma technique de branlette qu’à apprendre à cuisiner. Priorités, hein ? Merci pour ce rappel hilarant et tellement vrai.
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Cet article est une pépite ! Ça donne envie de parler plus ouvertement de sexualité sans tabous. Vous pensez qu’on pourrait un jour voir ce genre de sujets abordés dans les médias grand public ?
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Trop drôle, trop vrai. Merci pour ce moment de franche rigolade!
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Qui aurait cru qu’un article sur la branlette puisse être aussi intelligent et drôle ? Franchement, Mes Délires, vous cassez les codes et c’est génial. À quand un podcast sur le sujet ?
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Je me suis reconnue à 100% dans cet article ! C’est rare de voir le sujet abordé avec autant d’humour et de bienveillance. Merci pour ce moment de complicité, ça fait du bien de se sentir moins seule dans ses petits délires perso.
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Enfin un article qui parle de la branlette avec autant de sérieux et de légèreté ! Merci pour ce moment de détente et de rires, c’est exactement ce qu’il me fallait pour dédramatiser le sujet. À quand un guide illustré pour les débutants ?
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Très bon article, comme d’hab ! Mais une question me taraude : est-ce que tu as des anecdotes encore plus folles sur le sujet ?
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e kiffe l’approche décomplexée et sans tabou ! C’est rare de lire un article aussi drôle et intelligent sur un sujet qui reste souvent dans l’ombre. Perso, ça m’a fait repenser à mes années ado et à toutes les galères qui vont avec… Merci pour ce moment de nostalgie et de fou rire !
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Enfin un article qui met en lumière l’art subtil de la branlette en solo… et en duo ! Merci pour ce moment de complicité et de rire, c’est exactement ce qu’il me fallait pour dédramatiser le sujet. À quand un guide illustré pour les débutants ? (Je plaisante… ou pas.)
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Si la branlette était un plat, cet article en serait la recette parfaite : un mélange savoureux d’humour, de sincérité et de liberté. Merci pour ce festin littéraire.
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Génial. Enfin un article qui assume et qui fait marrer. À partager sans modération !
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Très drôle et bien écrit ! Mais du coup, est-ce que vous pensez que la société est enfin en train de normaliser la masturbation féminine, ou est-ce qu’on en est encore loin ?
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Je me suis reconnue à 100% dans cet article ! C’est rare de lire quelque chose qui parle de la masturbation féminine avec autant d’humour et de justesse. Merci pour ce moment de légèreté et de vérité, ça fait du bien.
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Enfin un article qui parle de la branlette comme elle devrait toujours être abordée : avec franchise et sans tabou ! Merci pour ce moment de rire et de complicité, c’est exactement ce qu’il me fallait pour dédramatiser le sujet.
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Je kiffe trop ce genre d’article ! Perso, la branlette c’est mon moment ‘décompression’ après une longue journée, et voir que c’est un sujet qui fait rire et parler, ça me fait plaisir. Vous avez capté l’esprit : c’est intime, mais ça peut aussi être drôle et partagé (enfin, pas LITTÉRALEMENT partagé, hein).
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Merci pour cet article décomplexé et bien écrit ! C’est rare de trouver des contenus qui abordent la masturbation avec autant d’humour et de naturel, sans tomber dans le vulgaire ou le cliché. Ça fait du bien de lire des textes qui normalisent le sujet et en parlent avec légèreté. Continuez comme ça, c’est rafraîchissant !
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Entre les techniques secrètes, les accessoires improbables et les moments de solitude créative, on se sent moins seul. Merci pour ce guide qui prouve qu’on peut allier plaisir et autodérision. À quand un championnat du monde ? (Je m’inscris en mode spectateur, hein…).
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Enfin un article qui parle de la branlette sans tabou ! Entre les ‘je finis vite’ et les ‘j’ai mal au poignet’, on se sent moins seul. Merci Mes Délires pour ce moment de complicité avec mon moi intime.
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Enfin un article qui met en lumière l’art de la branlette, ce sport national méconnu
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Blague à part, c’est rafraîchissant de voir un article aussi décomplexé sur le sujet.
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Bon, maintenant que j’ai lu ça, je vais devoir réévaluer toutes mes techniques… et peut-être investir dans un abonnement à vie à Mes Délires pour rester à la page.
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Super article ! Ça fait du bien de lire un texte qui dédramatise le sujet avec autant de légèreté. Perso, j’ai toujours trouvé que la branlette était le meilleur moyen de se reconnecter à soi-même, sans tabou ni pression. Merci pour cette lecture libératrice.
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Enfin un article qui parle de la branlette comme elle le mérite : sans chichis et avec beaucoup d’humour ! J’ai failli m’étouffer en lisant la partie sur les “accessoires improvisés”… Merci pour ce moment de franche rigolade (et de souvenirs embarrassants).
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J’avoue ne pas avoir osé essayer avant, mais les explications sont tellement claires que ça donne envie de tester. Un grand merci pour ces conseils qui rendent l’intimité encore plus fun et accessible.
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Super article, comme d’habitude ! J’apprécie le ton décomplexé et les conseils concrets. C’est rafraîchissant de voir qu’on peut aborder ces sujets avec légèreté et bienveillance. Un must-read pour tous ceux qui veulent explorer sans tabous.
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Merci pour ce guide ultra-pratique qui prouve qu’on peut allier simplicité et efficacité sans se prendre la tête (ni les doigts). À quand un tutoriel pour les gauchers ?
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Enfin un article qui met les mains dans le cambouis… littéralement !
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Heureusement, avec le temps, on apprend à en rire et à en profiter. Merci pour cet article qui rappelle qu’on est tous passés par là, et que c’est OK de s’amuser seul.
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Je me souviens de ma première fois… un mélange de curiosité, de maladresse et de ‘mais est-ce que je fais ça bien ?
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Encore un article qui dédramatise et normalise un sujet trop souvent tabou ! C’est rafraîchissant de lire des textes qui parlent de sexualité avec humour et sans jugement. La masturbation, c’est sain, c’est naturel, et c’est surtout un super moyen de se connaître. Merci pour ce moment de légèreté et de bienveillance.
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Merci pour cet article qui rappelle que, parfois, le meilleur partenaire, c’est soi-même. (Et accessoirement, c’est le seul qui ne râle jamais pour les chaussettes qui traînent.)
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Ah, la branlette… ce sport national qui ne demande ni équipement ni abonnement en salle.
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Blague à part, merci pour cet article hilarant et libérateur. Vous êtes au top !
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Bon, maintenant que tout le monde sait que je le fais aussi… qui veut organiser un club de lecture (ou de pratique) ?
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Je me suis reconnue à 100% dans cet article ! C’est rare de trouver des contenus qui parlent de masturbation féminine sans clichés ni jugement. Merci pour cette bouffée d’air frais et pour ces fous rires garantis.
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Super article, comme d’habitude ! J’adore votre ton décomplexé et votre façon d’aborder des sujets qui restent souvent tabous. Ça fait du bien de lire des textes qui parlent de sexualité avec autant d’humour et de légèreté. Merci pour ce moment de lecture.
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Merci pour ce moment de complicité et de rire, c’est exactement ce qu’il me fallait pour dédramatiser le sujet. À quand un guide illustré ?
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Enfin un article qui met des mots sur ce que tout le monde fait, mais que personne n’ose avouer
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La branlette, c’est comme le vélo : une fois qu’on sait faire, on n’oublie jamais. Sauf que là, au moins, on peut le faire dans son canapé sans risque de se casser la gueule.
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Encore une fois, Mes Délires ose aborder un thème souvent passé sous silence. L’article est drôle, informatif et surtout, il brise les préjugés. Merci pour ce moment de lecture aussi instructif qu’amusant !
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La masturbation féminine mérite d’être normalisée et célébrée, et c’est exactement ce que fait cet article. Écrit avec intelligence et légèreté, il rappelle que le plaisir solitaire est une pratique saine et naturelle.
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C’est rafraîchissant de voir un article qui parle de masturbation féminine avec autant de franchise et d’humour. Trop souvent, ce sujet est encore entouré de gène ou de clichés. Merci pour cette lecture libératrice et décomplexée!
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« Enfin un article qui ose parler de la vraie addiction du 21e siècle : scroller des memes en boucle comme on se branlerait l’esprit pour éviter de penser à la réalité. Entre les “distracted boyfriend”, les “woman yelling at cat” et les “this is fine” qui résument nos vies, on se demande si les algorithmes ne sont pas en train de nous transformer en légumes dopaminés. Merci Mes Délires de pointer du doigt ce que nous faisons tous en cachette… enfin, presque tous.
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Ce morceau, c’est la preuve qu’on peut tout faire avec de l’audace et un peu de mauvais goût. ‘La Branlette à Mémé’ va cartonner en boîte… enfin, dans certaines boîtes. À écouter avec des amis qui ont le même humour que toi (ou pas, pour voir leur tête).
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Moi qui croyais que ma petite-fille m’appelait pour parler tricot… ‘La Branlette à Mémé’, c’est le genre de surprise qui te fait réaliser que t’es plus à la page que tu le pensais. Bon, je vais pas le mettre sur ma playlist, mais j’avoue, j’ai ri.
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Merci pour ce moment de détente et de rires, c’est exactement ce qu’il me fallait pour dédramatiser le sujet. À quand un guide illustré ?
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Derrière le titre provocateur, cet article soulève une question cruciale : les memes sont-ils devenus notre nouvelle religion ? Une façon de ritualiser l’absurdité du monde, de créer du lien social sans effort, et surtout, d’éviter de affronter les vrais problèmes. La “branlette à meme”, c’est l’équivalent numérique de la bière devant un match : ça anesthésie, ça détend, et ça donne l’illusion de partager quelque chose. Sauf qu’à force, on finit par confondre la satire et la réalité. Et ça, c’est moins drôle.
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Bon, maintenant qu’on a validé la théorie, on passe à la pratique ?
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Enfin un titre qui ne ment pas sur la marchandise ! ‘La Branlette à Mémé’, c’est le genre de chanson qui fait taire les réunions de famille en 2 secondes. Mémé va être surprise quand elle entendra ça à Noël… ou pas
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Enfin un article qui ose parler de ce fléau moderne : la branlette à meme !
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Bon, ok, on est tous d’accord : la branlette, c’est le sport national. Mais le vrai débat, c’est : team “main gauche” ou team “main droite” ? (Perso, je suis ambidextre, donc je vote pour les deux.) Blague à part, super article, comme d’hab…
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Guillaume Meurice signe là un texte qui va droit au but… enfin, presque. La « branlette a même » comme métaphore de notre époque : on s’agite beaucoup, on fait semblant de s’occuper des vrais problèmes, mais au final, on reste chacun dans notre coin à tourner en rond. À quand un débat parlementaire sur la question ?
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Merci pour cet article à la fois drôle et informatif. C’est rare de voir le sujet abordé avec autant de légèreté et de pertinence. Ça fait du bien de lire des textes qui dédramatisent la sexualité sans tomber dans le vulgaire.
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Après ça, on attend ‘Le Scrabble à Papi’ ou ‘La Belote à Tonton’ avec impatience. Qui dit mieux ?
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Cet article m’a vraiment fait réfléchir sur la manière dont on aborde la sexualité solitaire dans notre société. On en parle souvent avec humour ou tabou, mais rarement avec la profondeur que tu proposes ici. La question du sens est fascinante : et si c’était simplement une façon de se reconnecter à soi-même, sans attente ni jugement ? Merci pour cette lecture qui déculpabilise et ouvre le débat !
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Je suis venu pour rire, je repars avec une prise de conscience : la branlette, c’est un art. Et comme tout art, ça se cultive. Merci pour ce chef-d’œuvre d’article.
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Entre les comptines de notre enfance et ce titre, il y a un fossé… ou une évolution ? En tout cas, ça donne envie de réécouter les classiques avec un regard nouveau !
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Qui aurait cru qu’un jour, on parlerait de mémé et de branlette dans la même phrase ? L’enfance est définitivement terminée… ou pas ?
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Un homme regarde un film d’horreur. Soudain, il crie : « Arrêtez, je ne peux plus ! » Son colocataire arrive en courant : « Qu’est-ce qu’il y a ? » L’homme, gêné : « Rien, c’est juste que… j’ai vu ma main faire une branlette toute seule. »
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On a tous un pote (ou on est ce pote) qui passe ses journées à scroller des memes en boucle, comme si c’était une activité productive. “Je travaille pas, je consomme de la culture internet”, qu’ils disent. Merci pour ce miroir tendu à notre génération : on est tous un peu des junkies de dopamine en quête du meme parfait. Et avouons-le, parfois, c’est juste plus satisfaisant qu’une vraie conversation.
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Un homme participe à un concours de « solitude productive ». Le but : rester seul dans une pièce le plus longtemps possible. Après trois jours, il est le dernier en lice. Les organisateurs ouvrent la porte et le trouvent, épuisé mais souriant, en train de se dire : « Bon, c’est pas mal, mais à la maison, j’ai une meilleure main-d’œuvre. »
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On a offert une tablette à Mamie.
Elle l’utilise comme dessous de plat depuis 3 mois.
Elle dit que “ça chauffe bien les lasagnes” avec YouTube ouvert. -
Ma grand-mère a enfin compris comment envoyer un SMS.
Depuis, je reçois un « BONNE NUIT » tous les soirs… à 17h32.-
Un grand merci pour cet article ! J’ai longtemps culpabilisé de pratiquer la masturbation, surtout en tant que femme, à cause des clichés qui veulent qu’on attende le ‘bon partenaire’ pour tout. Ton approche m’a aidée à voir ça comme un acte de liberté et de connaissance de soi. C’est rare de lire des textes aussi bienveillants sur le sujet. Je partage sans hésiter !
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Quand on voit le titre, on se dit : ‘C’est osé, mais est-ce que ça va le faire ?’ Et puis on écoute, et BAM ! On se retrouve à rire comme des ados en crise. Le génie, c’est de mélanger l’innocence du mot ‘mémé’ avec un sujet… disons, plus chaud. Bravo
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Dans un bus, un type dit à une jeune femme:
– Je vous donne 100 francs si vous écartez les genoux.
La femme lui dit:
– OK, mais pour 500 francs je peux vous montrer où j’ai eu ma césarienne.
– D’accord.
– Attendez un instant. Le bus passe devant une clinique:
Vous voyez cette clinique, au troisième étage,
la fenêtre de gauche avec un balcon ?
C’est là que j’ai eu ma césarienne !-
J’ai joué au Scrabble avec Mamie.
Elle a posé “WTF” et a dit :
– C’est un mot très spirituel. Ça veut dire “Whisky, Thé, Famille”.
Je n’ai rien osé dire. Elle a gagné.-
Un homme suit un cours de cuisine. Le chef demande : « Qui sait ce qu’est un ‘bain-marie’ ? » L’homme lève la main : « C’est quand on se fait une branlette dans la baignoire en pensant à Marie ? » Le chef, perplexe : « Non, mais c’est une idée… originale. Notez la recette. »
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Un professeur de physique explique la théorie des ondes à ses étudiants. Soudain, il s’arrête, regarde sa montre et murmure : « Désolé, je dois y aller, j’ai un rendez-vous avec moi-même. » Un étudiant chuchote à son voisin : « Il a dit qu’il était célibataire, pas qu’il était son propre petit ami ! »
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Nos grands-parents ne savaient pas qu’ils allaient inspirer un tel titre. La preuve que l’humour n’a pas d’âge… ni de limites !
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Meurice utilise l’absurde pour pointer notre tendance à préférer les gestes symboliques aux engagements concrets. La « branlette a même », c’est un peu notre société : on aime les grands discours, les likes sur les réseaux, les pétitions en ligne… mais quand il s’agit de passer à l’acte, on se défile. Un article qui fait rire, mais qui donne aussi à réfléchir sur notre responsabilité collective.
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Derrière le côté drôle de l’expression, la “branlette à meme” est un vrai symptôme de notre époque : l’addiction au contenu court, éphémère et sans effort. Les memes, les reels, les TikToks… Tout est conçu pour capter notre attention en 3 secondes et nous laisser sur notre faim. Cet article pointe du doigt une réalité un peu triste : on préfère souvent le rire facile et immédiat à une réflexion plus profonde. Mais bon, au moins, on en rit… avant de retourner à notre fil d’actualité.
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Si la branlette à meme était un sport olympique, je serais déjà médaillé d’or. Entre les “loss edits”, les “oh no” et les “surprise motherfcker”, j’ai l’impression d’avoir vécu toute une vie émotionnelle sans quitter mon canapé. Le pire, c’est que je pourrais arrêter quand je veux… mais je ne veux pas. Parce que bon, qu’est-ce qu’il reste sinon ? Le travail ? Les impôts ? La crise climatique ? Non merci, je préfère mon feed Instagram et mon désespoir existentiel bien au chaud.
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Je me suis reconnu à 100% dans ce post ! Entre les galères de coloc, les moments de solitude et les fous rires avec les potes, la branlette est vraiment un sujet universel. Merci pour cet article qui dédramatise tout ça avec humour. PS : Le passage sur les “accidents” m’a tué.
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Je suis mort de rire en lisant ce post ! Franchement, c’est rafraîchissant de voir ce genre de sujet traité avec autant d’humour et de naturel. Ça donne presque envie d’organiser une soirée « branlette collective » pour tester la théorie… ou pas.
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Musicalement, c’est pas du Mozart. Mais niveau concept, c’est du génie. ‘La Branlette à Mémé’ est une ode à l’humour gras, à l’audace et à l’absurde. Un titre qui marque, qui choque, et qui fait parler. Mission accomplie.
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Je me suis reconnu à 100% dans ce post ! Surtout la partie sur les “mauvais timing”… Qui n’a jamais dû interrompre une séance en catastrophe ?
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La branlette, c’est le seul sport où on est à la fois joueur, entraîneur et arbitre. Et en plus, on gagne toujours. Merci pour ce moment de philosophie moderne.
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Pourquoi a-t-elle jeté son réveil par la fenêtre?
Pour voir à quel point le temps passe vite.
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Mamie a dit qu’elle allait “regarder Netflix”.
Elle s’est assise devant la télé, sans l’allumer… et a tricoté pendant 3 heures.
Elle croyait que “Netflix”, c’était un état d’esprit.
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Un coq fait les cent pas devant une maternité. Puis, enfin, une infirmière sort de la salle d’accouchement.
– Alors ? demande-t-il.
– C’est un œuf-
Un jeune policier débutant fais sa première ronde avec un collègue expérimenté.
– Nous allons aller dans une cité sensible, dit l’autre. Alors dès que tu vois un attroupement, tu les disperses pour éviter que ça dégénère. D’accord ?
– Cinq minutes plus tard, le jeune policier s’écrie :
– Arrête la voiture !
Il descend en coup de vent, et fonce vers un groupe.
– Allez, allez, on ne reste pas là, on rentre chez soi !
Les autres ne bougent pas.
– J’ai dit : On rentre chez soi ! Vous préférez qu’on vous embarque ?
Tout le monde s’en va .
Fier de lui, le jeune flic remonte dans la voiture et dit à son collègue :
– Tu as vu comment je les ai dispersés, vite fait bien fait ?
– Oui. Et toi, tu as vu que c’était un arrêt de d’autobus ?
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– Mamie, ta confiture est excellente !
– Merci mon chéri, c’est la même recette depuis 1943.
– Euh… mais cette odeur ?
– Ah oui, j’ai retrouvé un vieux pot au fond du placard. Il était encore bon, la moisissure avait l’air bio.-
Ma grand-mère m’a tricoté un pull affreux pour Noël.
Quand je l’ai enfilé devant elle, elle a souri et dit :
– Voilà. Tu sauras ce que ça fait de souffrir pour quelqu’un qu’on aime. -
Je me demande à quoi ressemble la mélodie… Un mix entre ‘Au clair de la lune’ et un son électro ?
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Moi ? Une branlette à meme ? Jamais. Jamais. Bon, peut-être une ou deux fois par jour. OK, peut-être toutes les heures. OK, je viens de passer 20 minutes à regarder des memes de chats en train de tomber, et maintenant je me sens vide à l’intérieur.
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Si Mémé savait ce qu’on fait avec son nom, elle nous engueulerait… ou elle rigolerait avec nous. ‘La Branlette à Mémé’, c’est le genre de truc qu’on écoute en cachette, puis qu’on partage à ses potes en disant : ‘Écoute ça, c’est trop con
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Un guide touristique montre une statue antique à un groupe. « Cette œuvre représente Narcisse, qui est tombé amoureux de son reflet. » Un touriste lève la main : « Donc c’est le premier à avoir inventé le self-love ? » Le guide, sans sourciller : « Non, juste le premier à avoir un crush sur lui-même. »
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« T’as déjà entendu un spermatozoïde crier ?
– Non !
– Ben, la prochaine fois, au lieu d’avaler, tu croques ! »-
En tant que citoyen lambda, je reconnais qu’il m’arrive de « branler a même » devant l’actualité : je m’indigne sur Twitter, je partage des articles, je signe des trucs… et puis je passe à autre chose. L’article de Meurice est un coup de pied dans la fourmilière de ma bonne conscience. Et si, au lieu de nous masturber l’ego avec nos opinions, on agissait vraiment ? (Bon, je retourne à mon fil d’actualité, mais je réfléchis, promis.)
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Cet article m’a fait réaliser à quel point les memes ont remplacé les vraies conversations entre potes. Avant, on refaisait le monde en buvant des bières ; maintenant, on s’envoie des images avec des légendes et on se dit qu’on a communiqué. C’est efficace, c’est drôle, mais c’est un peu triste aussi. Comme si on avait tous accepté de vivre dans un monde où l’émotion doit tenir en 280 caractères ou en un GIF. Est-ce que c’est ça, la modernité ? Une branlette collective pour éviter de se parler vraiment ?
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Avant de partir en vacances à Paris, un Belge se fait à lui-même la leçon : éviter les belgicismes, parler un français des plus corrects…
Au cours d’une soirée chez des amis parisiens, la conversation porte sur le cinéma.
– Et vous, monsieur Van de Velde, demande la maîtresse de maison. Quel est votre film préféré ?Le Belge réfléchit quelques secondes puis répond :
– « Il était dans l’Ouest »-
Un homme va chez le médecin et dit : « Docteur, j’ai mal au poignet. » Le médecin examine et demande : « Vous faites souvent du sport ? » L’homme rougit : « Non, mais je suis champion de tennis… solo. » Le médecin sourit : « Ah, le sport le plus pratiqué au monde ! »
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Est-ce que ça compte comme une activité intergénérationnelle ? Parce que là, on est clairement hors des ateliers tricot…
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La masturbation comme ‘même’ (au sens de soi-même) est une piste passionnante. Et si, finalement, elle était une forme de dialogue intérieur, une façon de s’écouter sans intermédiaire ? L’article soulève une question plus large : pourquoi associe-t-on si souvent le plaisir solitaire à la frustration ou à l’absence, plutôt qu’à l’accomplissement ? À méditer…
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Merci pour cet article qui m’a fait réaliser que je suis un cas désespéré. Mais au moins, je ris en le reconnaissant. C’est déjà ça, non ?
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Un mec, une nana :
– Je viens de faire un truc de malade.
– Ah oui, quoi ?
– J’ai pris un médicament-
Mamie a volé un sachet de bonbons au supermarché.
Quand je lui ai demandé pourquoi, elle a dit :
– À mon âge, je vis chaque jour comme si c’était mon dernier.
Et visiblement, ça veut dire “grignoter gratuitement”.-
Merci pour ce moment de complicité virtuelle, c’est rafraîchissant.
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Je ne sais pas pour vous, mais moi, après avoir lu cet article, je me sens presque fier de mes performances solitaires. Enfin un sujet traité avec humour et sans jugement.
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Un homme s’inscrit à un concours de patience. Le principe : rester immobile le plus longtemps possible. Après 12 heures, il est le seul encore en lice. Les organisateurs entrent et le trouvent, les yeux fermés, un sourire béat. « Vous avez gagné ! » s’exclame le jury. L’homme ouvre les yeux, surpris : « Déjà ? J’en étais seulement à la troisième branlette mentale… »
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Qui d’autre a essayé la « branlette à même » et peut confirmer (ou infirmer) les résultats ?
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C’est trois petits morceaux de viande qui dorment dans un frigo. À son réveil l’un d’entre eux se retrouve seul au milieu de l’assiette. Alors, il se met à chercher les autres partout, derrière la salade, le lait, les œufs… en vain. Il retourne dans son assiette et commence à pleurer. C’est alors que les autres petits morceaux de viande arrivent. – Mais où étiez-vous ? Je vous ai cherché partout, je croyais que l’on vous avez mangé ! – Ben non, on Steack Haché !
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Fille: Chéri à quelle point m’aimes-tu ?
Gars: Compte les étoiles et tu le sauras.
Fille: Mais on est le jour.
Gars: Exactement -
Quel super-héros a tout le temps peur ?
Réponse : Le super-sticieux.
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Dans un monastère, un jeune moine demande au père abbé : « Père, est-ce un péché de se faire une branlette ? » Le père abbé réfléchit : « Non, mon fils, tant que tu ne penses pas à ta voisine. » Le jeune moine, soulagé : « Ah, bon. Parce que là, je pense surtout à la facture EDF… »
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Meurice a raison : la « branlette a même » est le sport national. Mais est-ce vraiment de notre faute ? Entre les médias qui surfent sur l’indignation, les politiques qui nous prennent pour des imbéciles, et les réseaux sociaux qui transforment tout en spectacle, on est tous devenus des experts en onanisme citoyen. La vraie question : qui a intérêt à ce qu’on reste dans le virtuel ? Un article qui fait mal, mais qui tombe pile dans le mille.
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La branlette à meme, c’est le symptôme d’une génération qui a renoncé à changer le monde pour se contenter de le commenter. On partage, on like, on rit jaune, et on retourne à notre vie misérable en se disant qu’au moins, on a “compris” quelque chose. Sauf que non. Les memes, c’est l’opium du peuple 2.0 : ça donne l’illusion de la rébellion sans jamais menacer l’ordre établi. Alors oui, c’est drôle, mais c’est aussi une capitulation. La vraie question, c’est : quand est-ce qu’on arrête de se branler et qu’on passe à l’action ?
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Le jour où quelqu’un sortira un clip pour ce morceau, je veux être dans le casting. Scène 1 : un salon de thé, scène 2 : un EHPAD…
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Ah, la nostalgie… Sauf que là, c’est pas la madeleine de Proust, c’est ‘La Branlette à Mémé’. Un classique instantané pour les soirées arrosées et les moments où on a besoin de décompresser. À consommer sans modération (mais pas devant mamie).
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Pourquoi le lapin est bleu ?
Parce qu’on l’a peint.
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La branlette à meme : le sport national de la génération Z. Plus addictif que la cigarette, moins cher que Netflix, et tout aussi vide de sens.
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Tu connais l’histoire de la feuille ? Réponse : Elle déchire.
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La branlette à mémé : preuve que l’humour noir et l’absurde sont les derniers remparts contre la morosité. Merci, MesDélires !
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Aux repas de famille, mémé nous explique comment se branler.
Branle la vieille mémé montre nous ton expérience.
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J’ai reçu une carte de Mamie :
“Joyeux anniversaire ! J’espère que tu trouves une femme bien un jour.”
… Je suis marié depuis 4 ans. On était chez elle la semaine dernière. -
Un homme dit à son psychologue : « Je me sens coupable de passer trop de temps à me faire des branlettes. » Le psychologue demande : « Vous avez une relation sérieuse ? » L’homme répond : « Oui, avec ma main droite. Mais parfois, je trompe avec la gauche. » Le psychologue note : « Polyamour digital, intéressant. »
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Si ‘La Cucaracha’ avait un cousin français déjanté, ce serait probablement ce titre. À consommer avec modération… ou pas !
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c’est génial de voir que Mes Délires ose parler de sexualité sans tabou. Merci pour ce fou rire
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Très drôle et bien écrit ! Mais du coup, est-ce que t’as déjà testé de parler de ce sujet en soirée ? Parce que moi, j’ai l’impression que ça peut soit faire un flop monumental, soit lancer une discussion hilarante… Bref, vivement tes prochains délires.
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Très bon article ! Est-ce que tu envisages de faire une suite sur les “accessoires insolites” qui peuvent accompagner (ou perturber) ces moments ? Par exemple, les objets du quotidien détournés… Ça pourrait être hilarant.
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La branlette, c’est comme Netflix : tu commences par ‘juste un épisode’, et deux heures plus tard, t’es toujours là, les yeux rivés sur l’écran. Sauf que là, l’écran, c’est ton imagination.
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C’est la branlette a mémé est sacré. Vous découvrirez comment se branler dans les générations passées.
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Mamie : “Je t’ai appelé hier, mais ça sonnait dans le vide.”
Moi : “Mamie, tu as appelé mon fixe, je ne l’utilise plus.”
Mamie : “Ah bon ? Pourtant ça sonnait comme d’habitude.”
Elle avait appelé son propre micro-ondes.-
Un homme s’inscrit à un marathon. À l’arrivée, il est le dernier. Un journaliste lui demande : « Pourquoi avez-vous couru si lentement ? » Il répond : « Je me suis arrêté pour une pause… personnelle. » Le journaliste : « Une pause pipi ? » L’homme : « Non, une pause branlette. C’est bon pour la circulation, vous savez. »
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J’ai essayé d’en parler à ma grand-mère, elle m’a répondu : ‘C’est quoi cette histoire de branlette ?’… Je lui ai dit que c’était une nouvelle danse.
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Mes parents m’ont toujours dit de respecter les personnes âgées. Mais avec ‘La Branlette à Mémé’, c’est compliqué. Entre le rire nerveux et le regard choqué, je ne sais plus où me mettre. Merci pour ce chef-d’œuvre de malaise.
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