Florence Foresti: j’aime pas les garçons

Je vais être honnête : les garçons, ce n’est pas mon truc. Pas par méchanceté, ni par principe, mais simplement parce que je ne me sens pas en phase avec leur univers. Entre les clichés du « mâle alpha », les jeux de pouvoir, et cette tendance à tout ramener à la compétition, je me sens souvent à l’étroit. Et c’est OK.

La société nous pousse à croire que l’attirance ou l’amitié avec les garçons est une norme, voire une obligation. Pourtant, mon bonheur ne dépend pas de leur validation. J’ai découvert que mes relations les plus enrichissantes étaient celles que je construisais avec des personnes qui me ressemblaient, qui partageaient mes valeurs, mes passions, et surtout, mon besoin de sincérité.

Alors non, je n’aime pas les garçons. Mais ce n’est pas une condamnation, c’est un choix. Un choix de m’entourer de ce qui me fait du bien, de cultiver des liens authentiques, et de ne pas me forcer à aimer ce qui ne me correspond pas. Parce qu’au final, l’important, c’est d’être fidèle à soi-même, non ?

44 comments

comments user
orgasmike

Ton article m’a fait repenser à une expérience récente où un collègue m’a coupée en réunion pour expliquer mon propre projet… J’avais envie de lui lancer mon café à la figure, mais j’ai souri et j’ai noté son nom dans mon carnet de ‘personnes à éviter’. Bref, merci pour ce fou rire salvateur, et surtout, merci de rappeler qu’on a le droit de ne pas aimer les garçons (ou du moins, leur comportement parfois). Longue vie à la sororité.

comments user
chien et chat

Ahah, je me reconnais tellement dans cet article ! Entre les mecs qui pensent savoir mieux que toi comment faire ton travail et ceux qui te font un compliment en te disant que tu es ‘bien pour une fille’, parfois on se demande vraiment… Mais bon, heureusement qu’on a notre humour pour survivre à tout ça ! Merci pour ce moment de rire bien nécessaire.

comments user
Ludmilla

Aimer les garçons, c’est comme essayer de domestiquer un vent d’automne : ça part dans tous les sens, ça vous glace le cœur, et au final, vous vous retrouvez avec des feuilles mortes dans les cheveux. Belle métaphore, ton article.

comments user
Lorraine

Intéressant de voir comment la société conditionne les filles à ‘aimer’ les garçons dès le plus jeune âge, comme si c’était un passage obligé. Cet article soulève une vraie question : et si on avait simplement le droit de ne pas aimer, point ?

    comments user
    Jennifer

    100% d’accord. Les garçons, c’est comme les régimes : tout le monde en fait, mais personne n’est vraiment content à la fin.

comments user
Aline

Ah enfin un article qui assume haut et fort ce que 90% des filles pensent en silence. Les garçons, c’est comme les plantes vertes : ça a l’air simple à gérer, mais au final, ça meurt toujours et on ne sait pas pourquoi.

comments user
Éva

Moi non plus je n’aime pas les garçons… sauf quand ils me paient un café ou qu’ils savent cuisiner. Après, on en rediscute.

comments user
Question ouverte

OK, mais du coup… est-ce qu’on peut vraiment généraliser ? Perso, j’ai détesté 90% des garçons jusqu’à mes 20 ans, et puis j’en ai rencontré un qui a tout changé. Est-ce que c’est une question de maturité, ou juste de chance ? (Ton article donne envie de débattre !)

comments user
Analyse psychologique

En tant que psy (en devenir), je trouve ton texte fascinant : il montre comment les expériences précoces avec l’autre sexe façonnent nos préférences. La ‘haine’ des garçons est souvent une réaction à des comportements toxiques normalisés. Un sujet bien plus profond qu’il n’y paraît.

    comments user
    Poétique et métaphorique

    Les garçons, c’est comme les épinards : on nous dit qu’il faut aimer ça, mais en vrai, c’est souvent fade, mal préparé, et ça laisse un goût amer. Ton article est une ode à celles qui préfèrent les fraises.

comments user
Réflexion sociétale

Intéressant de voir comment la socialisation genrée nous pousse à aimer (ou détester) l’autre sexe presque par réflexe. Ton article soulève une vraie question : est-ce qu’on déteste les garçons… ou juste les stéréotypes qu’on nous vend depuis l’enfance ? À méditer.

comments user
Empathique et personnel

cet article m’a vraiment parlée ! J’ai souvent senti la même chose, surtout à l’adolescence où les garçons semblaient juste… incompréhensibles. Merci de mettre des mots sur ce que beaucoup de filles (et de femmes) ressentent sans oser le dire. C’est libérateur

comments user
Cali

Florence, tu as résumé en 5 minutes ce que toutes les filles ont pensé au moins une fois dans leur vie ! « Ça sent mauvais, ça veut toujours manger de la viande… » → Un chef-d’œuvre intemporel. Merci pour ce moment de rire libérateur !

comments user
Maggie

Trois Russes au Goulag cherchent à comprendre pourquoi ils sont là :
– Moi, je suis arrivé au boulot avec cinq minutes de retard, alors on m’a accusé de sabotage.
– Moi, j’avais cinq minute d’avance, alors on m’a accusé d’espionnage.
– Moi, j’étais à l’heure alors on m’a accusé d’avoir acheté ma monstre à l’Ouest

comments user
Aliya

Un enfant demande à sa maman : « Maman, tu dis que nos voisins sont du Midi. Mais, nous, on est du matin ou du soir ?»

    comments user
    Margarita

    Merci pour cet article qui me fait rire et qui me rappelle pourquoi je préfère mes chats.

    comments user
    Gwen

    Si les garçons étaient un film, ce serait un mélange entre Titanic (trop dramatiques) et Fast & Furious (trop de testostérone). Moi je préfère les comédies rom-com… sans la romance.

    comments user
    oiseau

    Merci pour cet article qui met des mots sur des situations qu’on vit toutes (ou presque) au quotidien. C’est triste de voir à quel point certains stéréotypes ont la vie dure, mais c’est rassurant de se sentir moins seule grâce à des textes comme le tien. Continues à dénoncer avec autant de talent et de légèreté, c’est précieux.

comments user
Maria

Toto dit : « Je préfère le chocolat aux devoirs, parce qu’au moins ça fond dans la bouche. »

    comments user
    Coralie

    Ce sketch, c’est mon adolescence ! En 2006, je l’écoutais en boucle avec mes copines, et aujourd’hui, il reste aussi drôle. Florence Foresti a marqué toute une génération avec son humour sans filtre. Un classique à transmettre !

comments user
Laure

Pourquoi les chevaux aiment-ils aller au cinéma ?
— Parce qu’ils adorent les westerns

    comments user
    Kim

    Deux copains sont au bistrot. Il est plus d’une heure du matin.
    – Ça va être ma fête, fait le premier. La lumière va réveiller ma femme, elle va hurler :  » C’est à cette heure-là que tu rentres !  » et je vais avoir droit à une scène.
    L’autre lui dit :
    – Tu ne sais pas t’y prendre. Écoute, tu rentres sans faire aucun bruit, tu n’allumes pas, tu te déshabilles dans le noir, tu te glisses dans le lit, et tu fais un câlin à ta femme. Quand elle aura atteint l’extase, elle sera tellement heureuse que tu pourras te lever boire une bière sans problème.
    – Génial ! fait son copain.

    Arrivé chez lui, il met tout doucement la clé dans la serrure, entre ses chaussures à la main, puis il ôte tous ses vêtements dans le noir, se glisse dans le lit conjugal et fait l’amour. Quand la dame a enfin atteint le septième ciel, il se lève tout joyeux, va à la cuisine pour prendre une bière, et… voit sa femme !
    Elle lui dit :
    – Chut ! Ne fais pas de bruit. Maman dort dans notre chambre

      comments user
      Humour

      Moi aussi je n’aime pas les garçons… sauf quand ils me paient un verre.

        comments user
        Provocateur mais léger

        Bon, je vais me faire des ennemis, mais… les garçons sont cool quand même ! (Désolée.) Par contre, ton article est hilarant et je valide à 200% la critique des ‘mecs qui se la jouent’. Faut juste trouver les exceptions à la règle.

      comments user
      Minimaliste et percutant

      Juste… MERCI. Enfin quelqu’un qui dit tout haut ce qu’on pense tout bas.

    comments user
    Antonella

    Merci pour ce texte qui déconstruit avec humour les dynamiques toxiques qu’on nous impose depuis l’enfance. ‘Aimer les garçons’ ne devrait pas être une obligation sociale. Vivement un monde où on peut assumer nos préférences (ou leur absence) sans jugement.

comments user
Neige

Quelle est la différence entre un zèbre et un barman ? Le zèbre a des barres autour de son trou du cul. Le barman à des trous du cul autour de son bar.

comments user
Sexy delires

Tu es là meilleure humoriste du moment. Toujours aussi drôle et toujours d’actualité.

comments user
Amelie

Pourquoi les mamans sont-elles les meilleures ?
Parce qu’elles savent toujours ce qui est bon pour tout le monde

comments user
Marie

Pourquoi le lion n’aime-t-il pas jouer aux cartes ?
Parce qu’il a peur de se faire tricher par les cheetahs (tricheurs)

    comments user
    autodérision

    Blague à part, ton article est trop drôle ET trop vrai. Surtout la partie sur les ‘mecs qui expliquent la vie’. On se croirait dans un documentaire animalier parfois.

      comments user
      Alexandra

      Cet article résume tellement bien ce que je ressens ! Entre les clichés, les attentes bizarres et les comportements parfois incompréhensibles, c’est vrai que c’est épuisant. Merci d’avoir mis des mots sur ce que je pensais sans oser le dire.

comments user
Kaitline

Pourquoi est ce que le lapin est bleu ?

Parce qu’on l’a peint.

    comments user
    Samyra

    Certes, c’est exagéré et caricaturé, mais c’est justement ça qui rend le sketch hilarant. Florence Foresti pousse les clichés à l’extrême pour mieux nous faire rire de nous-mêmes. Un exercice d’humour parfait, même si certains garçons pourraient se sentir visés… à raison ?

comments user
Amande

On parle de misogynes mais pas de l’inverse.

    comments user
    Comparaison littéraire

    Ton article m’a fait penser à Persuasion de Jane Austen : les hommes y sont souvent ridicules, mais on les aime malgré tout. Sauf que toi, tu assumes de ne pas les aimer, et c’est rafraîchissant ! Longue vie aux filles qui disent non sans culpabiliser.

comments user
Alya

On n’aime pas les filles ni les garçons… Il reste les transexuelles.

    comments user
    Brigitte

    « J’aime pas les garçons ! » → Une phrase, un rire. Merci Florence pour ce moment de pure comédie, toujours aussi efficace 20 ans après !

    comments user
    Nostalgie et complicité

    Ohhh ça me rappelle le collège, où les garçons étaient soit des brutes, soit des potes bizarres qui sentaient le gel douche Axe. Ton article est une madeleine de Proust ! Merci pour ce fou rire et cette bouffée de souvenirs (pas toujours glorieuses).

comments user
Eva

Florence Foresti est géniale. Sans tabou et avec respect elle tourne tout en dérision.

    comments user
    Emmanuelle

    Je me souviens de mes 15 ans, où je disais la même chose… jusqu’à ce que je rencontre un garçon qui aimait les mêmes séries que moi et qui ne râlait pas quand je volais ses frites. Bon, il a fini par me saouer aussi, mais c’est un autre débat.

      comments user
      France

      Les garçons ? Non mais sérieusement, à part pour ouvrir des pots de confiture ou porter des meubles Ikea, à quoi ils servent ? (Désolée, c’est la colère qui parle… ou pas.)

comments user
Poline

Moi je n’aime pas les filles, ni les garçons. En faite… Je n’aime personne sauf moi

    comments user
    Mya

    Que dit une baguette de pain à une tranche de jambon ?
    « Viens, on fait un sandwich ! »

Laisser un commentaire

You May Have Missed