harcelées par leur patron (Guillaume Meurice les interroge)

Dans une chronique cinglante, Guillaume Meurice donne la parole à des salariées harcelées par leur patron. Entre remarques sexistes, pressions psychologiques et abus de pouvoir, ces témoignages révèlent une réalité encore trop souvent minimisée. Avec son style mordant, Meurice transforme l’indignation en satire, pointant du doigt l’hypocrisie des entreprises qui prônent le bien-être au travail tout en fermant les yeux sur ces dérives.

dans une ville sans échappatoire

L’humour devient une arme : il dédramatise sans édulcorer, forçant le public à rire jaune. Ces récits, à la fois drôles et glaçants, rappellent que le harcèlement n’est pas une fatalité. En mêlant absurde et gravité, Meurice interroge : jusqu’où ira la tolérance sociale face à ces comportements ?

Un appel à l’action, où le rire sert de déclic. Parce que dénoncer, c’est déjà résister.

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Appel à l’action

« Écouter ces récits, c’est bien. Agir, c’est mieux. Partagez cet article, parlez-en autour de vous, soutenez les associations comme l’AVFT. Le harcèlement ne s’arrête que quand on le nomme et qu’on le combat collectivement. Et vous, vous en avez déjà été témoin ? »

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Témoignage personnel (si applicable)

« Ça me rappelle une ancienne collègue qui a quitté son poste après des mois de remarques dévalorisantes de notre N+1. Elle a porté plainte, mais sans preuves ‘tangibles’, rien n’a bougé. Ces femmes ont du courage, espérons que leur parole fera bouger les lignes. »

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Réflexion sur le système

« Ce qui me frappe, c’est à quel point ces témoignages sont systématiques : toujours les mêmes mécanismes, toujours les mêmes excuses (‘c’est de l’humour’, ‘elles sont trop sensibles’). Le problème n’est pas quelques ‘pommes pourries’, c’est un système qui protège les abus de pouvoir. Merci pour ce reportage nécessaire. »

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Humour noir et critique sociale

« Ah, la fameuse ‘culture d’entreprise’… Quand le management ressemble à un épisode de ‘The Office’ écrit par un misogyne des années 50. Heureusement, Meurice est là pour rappeler que le harcèlement, ça ne se gère pas en ‘team building’. À quand un stage de savoir-vivre pour les patrons toxiques ? »

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Indignation et soutien aux victimes

« Encore un exemple glaçant de l’impunité dont bénéficient trop souvent les harceleurs en entreprise. Merci à Guillaume Meurice de donner la parole à ces femmes et de briser l’omerta. Quand est-ce que les lois seront enfin appliquées à la hauteur des dégâts causés ? Courage à toutes les victimes, vous n’êtes pas seules. »

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