escroquerie a 270 Mds€ et hidalgo sapée comme jamais

Paris, le 31 octobre 2025 – Alors que la France est secouée par une affaire d’escroquerie financière d’une ampleur inédite, estimée à 270 milliards d’euros, l’attention médiatique se partage entre l’indignation générale et un détail pour le moins inattendu : la tenue vestimentaire d’Anne Hidalgo, maire de Paris, lors d’un événement officiel. Une combinaison aussi surprenante que le montant astronomique du scandale, qui soulève des questions sur la gestion des fonds publics et la transparence des institutions.

L’escroquerie, qui impliquerait des réseaux complexes et des acteurs influents, a été révélée par une enquête journalistique approfondie. Les sommes détournées, équivalentes à plusieurs budgets de l’État, ont provoqué un tollé dans l’opinion publique. Les citoyens, déjà méfiants envers les élites, voient leurs pires craintes confirmées : des milliards ont disparu dans des montages financiers opaques, laissant présager des conséquences dramatiques pour les services publics et les ménages.

Pourtant, sur les réseaux sociaux, c’est une autre image qui a captivé les internautes : celle d’Anne Hidalgo, vêtue d’une robe audacieuse, qui a suscité autant de commentaires que le scandale lui-même. Entre admiration et moquerie, les réactions ont fusé, détournant momentanément l’attention de l’affaire principale.

Ce contraste entre la gravité de la crise et la légèreté des débats sur la mode interroge. Comment une escroquerie d’une telle envergure peut-elle être reléguée au second plan par un détail vestimentaire ? Certains y voient le symptôme d’une société en quête de distraction, tandis que d’autres dénoncent une stratégie de diversion.

Une chose est sûre : cette affaire marquera l’histoire, non seulement pour son coût exorbitant, mais aussi pour la manière dont elle révèle les priorités parfois décalées de l’opinion publique. Alors que les enquêtes se poursuivent, une question persiste : qui paiera la note de cette escroquerie colossale, et quand la justice rendra-t-elle des comptes ?

32 comments

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anni

Anne Hidalgo : relookée par les meilleurs, financée par… personne ne sait trop. En tout cas, avec 270 M€, on aurait pu offrir une garde-robe complète à toute la France. Dommage que ce budget n’ait pas servi à quelque chose d’utile, comme… je sais pas, des trottinettes qui ne tombent pas en panne ?

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marmite

Bravo, encore une belle démonstration de l’efficacité de la gestion publique ! Quand on voit que des millions s’envolent dans des affaires douteuses, mais que les priorités restent clairement… la mode et les apparences. À quand un défilé pour expliquer où est passé l’argent?

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jadine

Anne Hidalgo : “Comment être élégante en temps de crise ?”
Les Français : “Comment survivre en temps de crise ?”
Moralité : dans le doute, achetez une robe à 5 000 €, ça fait toujours son petit effet. Merci pour cette leçon de priorités, on va tous s’en inspirer pour nos prochaines factures d’électricité.

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Lina

Bravo, encore une belle démonstration de gestion exemplaire ! Quand on voit que des millions d’euros disparaissent dans la nature, mais que l’essentiel reste de briller en soirée… À quand un tutoriel “Comment dépenser l’argent public sans se faire remarquer” ? La classe politique nous surprendra toujours, mais jamais dans le bon sens.

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Lyséa

270 millions envolés, des services publics à l’agonie, et on nous bassine avec une veste. Bravo la presse, vous avez encore réussi à noyer le poisson. Pendant ce temps, les vrais responsables dorment sur leurs deux oreilles. Réveillez-vous!!!

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Lubin

Moi ce qui m’impressionne, c’est la capacité à transformer une escroquerie géante en débat de mode. Prochaine étape : un « Before/After » des finances de la ville avec des filtres Instagram ?

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Lorena

Ah, la belle histoire… On se demande comment une gestion aussi « exemplaire » de l’argent public peut cohabiter avec des looks à faire pâlir les influenceuses de TikTok. À quand le tutoriel « Comment dépenser des millions sans se faire remarquer » ?

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Florentino

Franchement, entre les escroqueries à répétition et les élites qui jouent les stars sur le dos des contribuables, Paris mérite mieux que ce cirque. Hidalgo en robe de luxe, c’est le symbole parfait d’une mairie qui préfère les strass aux solutions. À quand un vrai ménage dans cette cour des miracles ?

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Florbella

L’article soulève un vrai problème : comment peut-on encore faire confiance à des institutions qui laissent filer des sommes aussi colossales sans contrôle ? Plutôt que de se focaliser sur l’apparence des élus, il serait temps de demander des comptes sur la gestion catastrophique de ces fonds. Où sont les audits ? Où sont les sanctions ?

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Fletcher

Moi ce qui m’énerve, c’est qu’avec 270 millions, on aurait pu offrir à chaque Parisien un abonnement gratuit aux Vélib’… ou au moins un café pour oublier la honte. Mais non, visiblement, c’est plus utile pour financer des costumes de scène. Prochaine étape : un spectacle de magie pour faire disparaître les dettes ?

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Flavie

270 millions d’euros détournés, des dysfonctionnements graves, et tout ce qui intéresse les médias, c’est la tenue d’Anne Hidalgo. Le problème n’est pas ce qu’elle porte, mais ce qu’elle ne voit pas (ou ne veut pas voir) : une ville à bout de souffle, des services publics exsangues, et une classe politique déconnectée. Priorités, quand tu nous tiens…

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Feriée

Bravo, encore une belle démonstration de l’efficacité de la gestion publique ! Quand on voit que des millions s’envolent dans des affaires douteuses, mais que les priorités restent les tenues de gala et les photos Instagram… À quand un défilé de mode pour expliquer où est passé l’argent des contribuables ?

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Elaia

Il est temps que les citoyens se réveillent. Des affaires comme celle-ci ne devraient pas rester impunies. Partagez, commentez, faites circuler l’info : la pression populaire peut encore faire bouger les choses.

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Edmée

270 millions, c’est le prix d’un bon restaurant étoilé pour Hidalgo et ses amis, apparemment. Dommage que les contribuables n’aient pas été invités à la dégustation…

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    pipette

    270 millions d’euros détournés, et pendant ce temps, les services publics manquent cruellement de moyens. Il est temps que la justice fasse son travail jusqu’au bout et que les responsables rendent des comptes. Les Parisiens méritent mieux que des polémiques sur les tenues de leurs élus pendant que l’argent public disparaît. La transparence et l’éthique devraient être au cœur de l’action politique, pas les accessoires de luxe.

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Ewan

Comment peut-on encore faire confiance à un système où les mêmes personnes accumulent les scandales sans jamais être inquiétées ? Entre les affaires de la Ville de Paris, les dépassements de budget, et maintenant ça… Qui va enfin tirer la sonnette d’alarme ?

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Eurydice

Bravo la France ! Quand un simple citoyen triche sur ses impôts, il se prend une amende et un procès. Quand une maire gère une escroquerie à 270 millions, elle devient ministre. La preuve que le mérite et l’honnêteté paient… enfin, pour certains.

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Ethan

Encore une fois, l’impunité des élites politiques est flagrante. 270 millions d’euros détournés, des responsabilités évidentes, et Anne Hidalgo s’en sort sans aucune conséquence sérieuse. À quand une vraie justice pour les citoyens, et pas seulement pour ceux qui ont les bons réseaux ?

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Rachel

Si la gestion des deniers publics était aussi soignée que le dressing d’Hidalgo, on n’en serait pas là. Dommage que l’éthique ne soit pas aussi tendance que son tailleur.

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Lia

Seul Mes Délires peut nous faire rire (jaune) d’une escroquerie monumentale. Merci pour ce moment de lucidité dans un océan d’hypocrisie.

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Angéline

270 millions, des vies impactées, et on commente la garde-robe. C’est ça, la France en 2025 : on préfère critiquer un col que demander des comptes.

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    Jadette

    270 millions d’euros détournés, et pendant ce temps, les hôpitaux, les écoles et les services publics manquent cruellement de moyens. Mais bon, l’important, c’est que nos élus aient des tenues à la hauteur de leur mépris pour les citoyens. Quand est-ce que la justice va enfin agir avec la même célérité que pour un simple vol à l’étalage ? L’impunité des puissants, toujours et encore…

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Marguerite

Quand les comptes sont dans le rouge, il faut un smoking bleu électrique pour distraire. Hidalgo a tout compris : le style, c’est la meilleure défense.

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Anne

En pleine crise, un article qui mélange escroquerie et fashion week. Seul Mes Délires peut transformer un sujet grave en moment de légèreté. À consommer sans modération !

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    Lya

    L’article soulève un vrai problème : la diversion médiatique. Plutôt que de se concentrer sur les dysfonctionnements systémiques qui permettent de telles fraudes, on préfère commenter une tenue. Cela dit, il est légitime de questionner l’image que renvoient nos élus, surtout en période de crise. Mais ne perdons pas de vue l’essentiel : qui paiera pour cette gabegie ?

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Louise

Le scandale n’est pas la tenue, mais bien les 270 millions. Pourtant, on parle plus de la veste que des responsables. La communication politique est une science exacte, visiblement.

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    Louison

    270 millions d’euros détournés, des vies brisées, et pendant ce temps, on nous parle de la tenue d’Anne Hidalgo. Le problème n’est pas ce qu’elle porte, mais ce qu’elle ne voit pas (ou ne veut pas voir). La communication ne remplacera jamais l’action. Où est l’argent ? Où est la transparence ?

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Jeanne

Qu’importe les millions perdus, l’important c’est d’être élégante en réunion. Hidalgo nous donne une leçon de style… et de priorités. À quand un défilé pour expliquer la gestion des finances ?

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Zara

Mes Délires, vous avez encore frappé ! Un titre qui résume tout : l’absurdité de la politique et l’art de détourner l’attention. Bravo pour le second degré, c’est exactement ce qu’il fallait.

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Adrianna

270 millions détournés, et le vrai débat, c’est la robe d’Anne Hidalgo ? On vit dans un monde où l’apparence prime sur l’essentiel. Triste époque.

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Crystal

Le timing est parfait : une escroquerie à 270 millions, et hop, on nous parle de la tenue d’Hidalgo… Comme si un smoking pouvait faire oublier des millions envolés. Le show doit continuer, visiblement.

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Robin

Un clown va chez le dentiste pour une carie.
Le dentiste lui demande :
— Tu as mal où ?
Le clown répond :
— Partout, docteur, partout où je ris, ça fait mal !

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