GiedRé, artiste OCNI (Objet Chantant Non Identifié), bouscule les tabous avec sa chronique « Caca toute seule ». Entre stand-up et music-hall, elle aborde avec une ironie mordante et une tendresse acide les sujets les plus crus : solitude, banalité du quotidien, et surtout, l’universalité de l’acte de déféquer. Son titre culte « On fait tous caca » résume son approche : décomplexée, provocante, mais profondément humaine. À travers des textes ciselés et une mise en scène théâtrale, GiedRé transforme l’intime en spectacle, mêlant rire et malaise. Autoproduite, inclassable, elle dépeint une comédie humaine sans fard, où chacun se reconnaît dans ses faiblesses et ses ridicules. Son humour noir et sa lucidité en font une voix unique, entre Brassens et Houellebecq. Avec « Caca toute seule », elle rappelle que derrière les apparences, nous sommes tous égaux face à nos vulnérabilités. Une chronique qui libère, qui dérange, et qui, surtout, fait du bien.
Caca toute seule – La chronique de GiedRé
Commentaires
42 réponses à “Caca toute seule – La chronique de GiedRé”
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Giedre, merci pour cette chronique qui parle à toutes celles et tous ceux qui ont déjà vécu l’angoisse du ‘et si je dois y aller MAINTENANT ?’
Ton récit est à la fois hilarant et tellement réaliste… On se sent moins seul(e)s avec nos petits tracas du quotidien (même les plus… organiques). Longue vie aux toilettes publiques propres et aux amis qui attendent sagement devant la porte -
Bon, maintenant que tu as lancé le sujet, avoue : quel est ton pire souvenir de ‘caca en solo’ ? Un WC sans papier, une porte qui ne ferme pas, ou pire… un voisin qui frappe pour savoir si ‘ça va’ ?
(PS : ton article devrait être lu dans les écoles, c’est une leçon de vie.) -
Giedre, merci pour cette chronique qui parle à toutes celles et tous ceux qui ont déjà vécu l’angoisse du ‘et si je dois y aller MAINTENANT ?’
Ton récit est à la fois hilarant et tellement réaliste… On se sent moins seul(e)s avec nos petits tracas du quotidien (même les plus… organiques). Longue vie aux toilettes publiques propres et aux amis qui attendent sagement devant la porte.
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Giedre, merci pour ce récit qui nous rappelle que même les moments les plus… intimes peuvent devenir une aventure épique ! J’ai failli m’étouffer en lisant le passage où tu décris ta « stratégie de survie » dans les toilettes publiques. On a toutes et tous vécu ça, mais toi, tu as le talent de le transformer en chronique hilarante. Question existentielle : est-ce que tu as déjà envisagé de créer un guide « Caca en paix : mode d’emploi » ? Parce que là, t’as clairement le niveau pour ça.
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Giedre, merci pour ce récit aussi intime qu’universel… Parce qu’au fond, qui n’a jamais vécu ce moment de solitude existentielle face à la cuvette, à se demander si on est vraiment seul·e au monde ?
Ton talent pour transformer un sujet tabou en chronique hilarante est sans égal. À quand un podcast « Les Confessions des Toilettes » ? (Je m’inscris en tant qu’invitée d’honneur pour raconter ma propre épopée du ‘caca raté en open-space’.)
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Ohhh, ce moment où tu réalises que tu as enfin la maison pour toi toute seule… et que ton corps décide que c’est LE moment pour un marathon intestinal !
Merci pour ce fou rire matinal, j’ai failli m’étouffer avec mon café en lisant ton aventure. Le pire, c’est que je me reconnais à 100%… Surtout la partie où tu décris le soulagement post-opération. Un classique indémodable. -
Giedre, merci pour cette chronique qui parle à toutes celles qui ont déjà vécu ce moment de panique en se demandant : “Et si quelqu’un frappe à la porte MAINTENANT ?”
Ton récit est hilarant, mais surtout, il brise un tabou avec beaucoup de légèreté. On se sent moins seule grâce à toi ! (Et maintenant, je vais vérifier que mon téléphone est bien en mode silencieux avant d’aller aux toilettes…)
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Le sujet est tabou, mais le traitement est génial : drôle, vrai et sans filtre. Merci pour ce moment de complicité et de franche rigolade.
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Giedre, merci pour cette chronique qui nous rappelle que même les moments les plus… intimes peuvent devenir une aventure épique ! Entre le stress de la porte qui ne ferme pas et la victoire silencieuse du « c’est bon, je suis seule », tu as su capturer l’essence même de la quête d’intimité en colocation (ou en famille). Un vrai guide de survie pour tous ceux qui ont déjà dû faire semblant de tousser pour couvrir des bruits suspects.
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Ohhh, ce moment où tu réalises que tu vas devoir gérer ça en solo… J’ai revécu ma pire expérience en festival en lisant ton article !
Ton style est trop drôle, merci pour ce fou rire matinal. Et surtout, merci de briser le tabou : oui, tout le monde a déjà paniqué pour la même raison, mais personne n’ose en parler. Tu es une héroïne.
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Giedre, tu viens de mettre des mots sur un moment de solitude que tout le monde a vécu… mais que personne n’ose avouer ! Merci pour ce fou rire matinal, j’ai failli m’étouffer avec mon café en lisant ton récit. La prochaine fois que je serai aux toilettes en mode “mission solo”, je penserai à toi et à ton courage légendaire. PS : Le monde mérite une suite, genre “Caca en réunion Zoom” ou “Caca chez les beaux-parents” !
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Giedre, tu viens de mettre des mots sur un moment de solitude que tout le monde a vécu… mais que personne n’ose avouer! Merci pour ce fou rire matinal, j’ai failli m’étouffer avec mon café en lisant ton récit. La prochaine fois que je serai aux toilettes en mode “mission solo”, je penserai à toi et à ton courage légendaire. PS : Le monde mérite une suite, genre “Caca en réunion Zoom” ou “Caca chez les beaux-parents” !
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Giedre, tu es une magicienne : tu transformes l’embarras en fou rire. Merci pour ce moment de pure liberté.
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Ohhh, ce texte m’a fait revivre mes pires souvenirs de toilettes partagées en colocation… Le stress de « faire du bruit » ou de croiser quelqu’un en sortant, c’est un vrai sport mental. Ton style est trop drôle, j’ai adoré la comparaison avec les « missions impossibles ». Et maintenant, je vais jamais pouvoir regarder une porte de WC sans penser à ton histoire. Merci pour ce fou rire matinal, c’était nécessaire.
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Après avoir lu cet article, je me demande si je ne devrais pas organiser une fête en l’honneur de mes moments “caca toute seule”. Avec des confettis biodégradables, bien sûr. Giedre, tu es une source d’inspiration… et de digestion.
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Chère Giedre,
Ton texte est une ode à la vulnérabilité assumée, un haïku moderne sur l’art de lâcher prise… littéralement.J’ai ri, j’ai rougi (pour toi, mais aussi pour moi, parce que bon, on se reconnaît tous un peu), et surtout, j’ai enfin compris que la vraie liberté, c’est de pouvoir dire : ‘Oui, j’ai besoin d’intimité pour ça, et c’est NON négociable.’
PS : Si un jour tu écris un guide « Les Toilettes, ce lieu de pouvoir méconnu », je pré-commande.
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Ohhh, ce moment où tu réalises que tu vas devoir gérer ça en solo… J’ai revécu ma pire expérience en festival en lisant ton article !
Ton style est trop drôle, merci pour ce fou rire matinal. Et surtout, merci de briser le tabou : oui, tout le monde a déjà paniqué pour la même raison, mais personne n’ose en parler. Tu es une héroïne.
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Giedre, tu viens de mettre des mots sur un sujet qui nous concerne tous, mais que personne n’ose aborder aussi crûment (et c’est le cas de le dire). Merci pour ce moment de franche rigolade et de complicité ! Maintenant, je vais pouvoir regarder mon chat droit dans les yeux en sortant des toilettes… ou pas.
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Bon, maintenant que tu as lancé le sujet, avoue : quel est ton pire souvenir de ‘caca en solo’ ? Un WC sans papier, une porte qui ne ferme pas, ou pire… un voisin qui frappe pour savoir si ‘ça va’ ?
(PS : ton article devrait être lu dans les écoles, c’est une leçon de vie.)
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Ton article soulève une question existentielle : et si le vrai luxe, finalement, ce n’était pas les vacances aux Maldives, mais bien cinq minutes de tranquillité aux toilettes ? Merci pour ce moment de lucidité.
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Merci pour ce texte sincère et libérateur ! C’est rare de lire quelque chose d’aussi vrai et drôle sur un sujet aussi… intime. Tu as le don de transformer l’ordinaire en or, et ça fait un bien fou. J’ai partagé l’article à ma meilleure amie en lui disant : “Enfin, quelqu’un qui comprend notre lutte !” Continue à nous faire rire (et réfléchir) avec tes chroniques.
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Merci pour cette chronique qui dédramatise un moment du quotidien souvent culpabilisant. En tant que maman de deux enfants, je rêve du jour où je pourrai à nouveau ‘caca toute seule’ sans qu’une petite main ne glisse sous la porte ou qu’une voix ne crie ‘Maman, tu fais quoi ?’. Ton texte m’a fait rire… et un peu pleurer de reconnaissance.
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Giedre, tu viens de transformer un sujet tabou en œuvre d’art littéraire. Après ça, je ne regarderai plus jamais mon temps aux toilettes de la même façon… Merci pour ce moment de solitude partagée (et assumée).
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Giedre, tu viens de mettre des mots sur une expérience universelle : le “caca solitaire” est un art, une science, et surtout un privilège rare !
Question existentielle : quel est ton fond sonore préféré pour ces moments ? Moi, c’est soit un podcast vrai crime (pour me rappeler que la vie est courte), soit une playlist “calme”… qui finit toujours par me stresser parce que “et si quelqu’un rentre ?”.
PS : Faut-il prévoir un article sur les “stratégies d’évasion” quand on entend une clé dans la serrure ?
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La solitude, c’est parfois juste une question de porte close et de silence bienvenu. Merci pour cette chronique qui transforme l’ordinaire en or.
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Giedre, tu es une magicienne : tu prends un sujet ultra-tabou et tu le rendras presque poétique (bon, ok, surtout hilarant). 👏 J’ai une question sérieuse : est-ce que tu penses qu’on devrait tous et toutes suivre des stages de « gestion du trac en situation de caca solitaire » ? Parce que clairement, c’est une compétence de vie sous-estimée. PS : Ton blog est une pépite, continue comme ça.
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Je vais envoyer ce lien à toutes mes copines, histoire qu’elles sachent qu’elles ne sont pas seules dans cette galère.
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Giedre, tu devrais écrire un guide : ‘Les toilettes, un espace de liberté’ – je t’achète le premier exemplaire.
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Quel soulagement de lire un texte aussi drôle ET vrai sur un sujet qu’on n’ose jamais aborder. Merci pour cette chronique libératrice.
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Est-ce qu’on peut considérer ça comme un acte de résistance féminine ? Parce que franchement, c’est un vrai exploit.
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Merci pour ce texte à la fois drôle et profondément humain. On ne parle pas assez de ces petits instants du quotidien qui, finalement, en disent long sur notre besoin d’espace et de tranquillité. J’ai ri, mais aussi un peu repensé à toutes ces fois où j’ai attendu mon tour en me demandant si j’allais enfin pouvoir souffler. C’est rassurant de se sentir moins seul(e) dans ces situations.
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Ce texte devrait être étudié en cours de philosophie : ‘Être et Avoir… un moment à soi’.
Blague à part, c’est fou comme un sujet aussi ‘basique’ révèle des vérités sur notre rapport à l’intimité, à la pression sociale, et même à l’architecture des lieux publics (pourquoi les cabines sont-elles si étroites, BORDEL ?).
Merci pour ce moment de légèreté qui, paradoxalement, fait réfléchir. Et bravo pour ton courage : tu es officiellement ma nouvelle héroïne féministe.
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Après avoir lu ça, je me sens moins seul(e) dans ma quête du ‘moment parfait’ pour évacuer en paix. Giedre, tu es une héroïne des temps modernes.
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« Ce texte m’a rappelé mes années en colocation… Quand tu réalises que le vrai luxe, c’est une salle de bain avec un verrou qui fonctionne. Merci pour ce sourire. »
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Enfin quelqu’un qui ose parler de ce sujet tabou avec autant d’humour et de légèreté ! Merci pour ce moment de complicité, c’est rafraîchissant.
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Giedre, tu viens de mettre des mots sur un moment de solitude que je pensais être le plus intime et le plus honteux de ma vie… Merci pour ce fou rire en pleine journée.
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Quel plaisir de lire un texte aussi sincère et libérateur ! On a toutes et tous déjà vécu ce moment de solitude (parfois salvateur) où on se retrouve face à soi-même… et à son intestin. Merci pour ce fou rire et cette touche d’humanité, c’est exactement ce dont j’avais besoin aujourd’hui.
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Merci pour ce texte sincère et libérateur ! C’est rare de lire quelque chose d’aussi vrai et drôle sur un sujet aussi… intime. Tu as le don de transformer les moments les plus banals (voire gênants) en pépites d’humanité. Ça fait du bien de se sentir moins seul(e) dans nos petits travers du quotidien. Continue à nous faire rire et réfléchir avec autant d’audace.
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Un couple marié depuis 20 ans va chez un psychologue de couple.
La femme se plaint :
— Il ne m’écoute plus, ne me regarde plus, il ne me touche même plus…
Le psy écoute, hoche la tête, puis, soudainement, se lève, prend la femme dans ses bras, l’embrasse passionnément, puis la repose.
Il se tourne vers le mari :
— Voilà ce dont votre femme a besoin, trois fois par semaine.
Le mari réfléchit et dit :
— Euh… je peux vous l’amener lundi, mercredi et vendredi, mais le reste du temps je bosse.-
Ton style est toujours aussi percutant : tu prends un sujet tabou, tu le secoues comme un prunier, et hop ! On se retrouve à rire aux éclats en se disant “Mais oui, c’est exactement ça !”. La preuve que l’humour est le meilleur remède contre les complexes. Merci pour ce moment de légèreté bien nécessaire.
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Génial. Vrai. Hilarant. Giedre, tu es une héroïne des temps modernes. (Et maintenant, je ne regarderai plus jamais les toilettes de la même façon.)
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Un jour, un petit garçon de douze ans rentre dans une maison close en tenant dans ses bras une grenouille morte.
Il s’adresse à la mère maquerelle :
– Je veux une de vos filles, et il pose un billet de 50€ sur le comptoir.
La tenancière le regarde de haut en bas et lui dit :
– Tu ne penses pas que tu es un peu trop jeune pour ça ?
Alors le garçon ressort un autre billet de 50€ de sa poche, et reprend :
– Je veux une de vos filles, Maintenant !
La tenancière lui répond :
– Très bien, prends un siège et patiente un peu, elle sera là dans une vingtaine de minutes
Mais le jeune garçon reprend alors 50€ dans sa poche, les pose sur le comptoir et demande :
– Elle devra être en pleine crise d’herpès.
La mère maquerelle est interloquée et lui demande pourquoi, mais le jeune garçon ressort encore 50€ et insiste :
– En pleine crise d’herpès !
Alors la maquerelle répond :
– D’accord. Assieds-toi, ça ne prendra que 10 minutes.
10 minutes plus tard, une femme arrive, ils montent tous les deux et le petit y va de sa partie de rentre dedans…Lorsqu’il descend et repasse devant la tenancière, celle-ci lui demande :
– Allez, maintenant tu peux me le dire : Pourquoi voulais-tu une fille en pleine crise d’herpès ?
Le garçon répond :– Maintenant, je vais rentrer chez moi et je baiserai la baby sitter. Ce soir, papa reconduira la baby-sitter chez elle et la baisera dans la voiture. Quand papa rentrera, lui et maman feront l’amour…Et demain matin, quand papa partira au boulot, maman baisera avec le laitier…Et là j’aurai enfin le bâtard qui a roulé sur ma grenouille !
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