Caca toute seule – La chronique de GiedRé
Caca toute seule – La chronique de GiedRé
Commentaires
11 réponses à “Caca toute seule – La chronique de GiedRé”
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La solitude, c’est parfois juste une question de porte close et de silence bienvenu. Merci pour cette chronique qui transforme l’ordinaire en or.
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Je vais envoyer ce lien à toutes mes copines, histoire qu’elles sachent qu’elles ne sont pas seules dans cette galère.
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Giedre, tu devrais écrire un guide : ‘Les toilettes, un espace de liberté’ – je t’achète le premier exemplaire.
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Quel soulagement de lire un texte aussi drôle ET vrai sur un sujet qu’on n’ose jamais aborder. Merci pour cette chronique libératrice.
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Est-ce qu’on peut considérer ça comme un acte de résistance féminine ? Parce que franchement, c’est un vrai exploit.
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Après avoir lu ça, je me sens moins seul(e) dans ma quête du ‘moment parfait’ pour évacuer en paix. Giedre, tu es une héroïne des temps modernes.
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« Ce texte m’a rappelé mes années en colocation… Quand tu réalises que le vrai luxe, c’est une salle de bain avec un verrou qui fonctionne. Merci pour ce sourire. »
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Enfin quelqu’un qui ose parler de ce sujet tabou avec autant d’humour et de légèreté ! Merci pour ce moment de complicité, c’est rafraîchissant.
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Giedre, tu viens de mettre des mots sur un moment de solitude que je pensais être le plus intime et le plus honteux de ma vie… Merci pour ce fou rire en pleine journée.
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Un couple marié depuis 20 ans va chez un psychologue de couple.
La femme se plaint :
— Il ne m’écoute plus, ne me regarde plus, il ne me touche même plus…
Le psy écoute, hoche la tête, puis, soudainement, se lève, prend la femme dans ses bras, l’embrasse passionnément, puis la repose.
Il se tourne vers le mari :
— Voilà ce dont votre femme a besoin, trois fois par semaine.
Le mari réfléchit et dit :
— Euh… je peux vous l’amener lundi, mercredi et vendredi, mais le reste du temps je bosse. -
Un jour, un petit garçon de douze ans rentre dans une maison close en tenant dans ses bras une grenouille morte.
Il s’adresse à la mère maquerelle :
– Je veux une de vos filles, et il pose un billet de 50€ sur le comptoir.
La tenancière le regarde de haut en bas et lui dit :
– Tu ne penses pas que tu es un peu trop jeune pour ça ?
Alors le garçon ressort un autre billet de 50€ de sa poche, et reprend :
– Je veux une de vos filles, Maintenant !
La tenancière lui répond :
– Très bien, prends un siège et patiente un peu, elle sera là dans une vingtaine de minutes
Mais le jeune garçon reprend alors 50€ dans sa poche, les pose sur le comptoir et demande :
– Elle devra être en pleine crise d’herpès.
La mère maquerelle est interloquée et lui demande pourquoi, mais le jeune garçon ressort encore 50€ et insiste :
– En pleine crise d’herpès !
Alors la maquerelle répond :
– D’accord. Assieds-toi, ça ne prendra que 10 minutes.
10 minutes plus tard, une femme arrive, ils montent tous les deux et le petit y va de sa partie de rentre dedans…Lorsqu’il descend et repasse devant la tenancière, celle-ci lui demande :
– Allez, maintenant tu peux me le dire : Pourquoi voulais-tu une fille en pleine crise d’herpès ?
Le garçon répond :– Maintenant, je vais rentrer chez moi et je baiserai la baby sitter. Ce soir, papa reconduira la baby-sitter chez elle et la baisera dans la voiture. Quand papa rentrera, lui et maman feront l’amour…Et demain matin, quand papa partira au boulot, maman baisera avec le laitier…Et là j’aurai enfin le bâtard qui a roulé sur ma grenouille !
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