Imaginez : un portefeuille aussi lourd que les rêves d’un enfant devant une vitrine de jouets. Frédéric Fromet, avec son humour mordant et sa verve poétique, nous invite à fantasmer sur l’opulence du célèbre milliardaire. Entre rires et réflexion, sa chanson dépeint un monde où l’argent achète tout… ou presque. Car au-delà des yachts et des châteaux, c’est la liberté qui fait rêver : celle de transformer ses caprices en réalité, de jouer avec les codes d’une société obsédée par le luxe.
Fromet, maître de l’ironie, rappelle que même avec des milliards, on ne peut acheter l’essentiel : l’amour, l’amitié, ou le temps. Une ode malicieuse à la démesure, qui questionne notre rapport à la richesse. Et si le vrai luxe, finalement, était de s’en moquer ?
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