Paul Mirabel – Je me suis fait racketter

Le point de départ est une situation de racket : quelqu’un l’aborde, lui réclame son téléphone. C’est une situation de tension, potentiellement violente ou intimidante.

Paul Mirabel choisit d’y répondre non pas par la peur ou la fuite, mais par l’humour. Il improvise une réponse absurde, cherchant à désamorcer la situation par une réaction décalée. C’est ce contraste entre la gravité potentielle de ce type de situation et la maladresse ou l’ironie du personnage qui crée le comique.

Le personnage de Paul Mirabel est celui d’un “petit” individu : vulnérable, peu sûr de lui, mais qui utilise sa singularité, son “personnage”, pour transformer l’embarras, la peur ou la honte en matière comique.

52 comments

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pointure

Paul, tu es vraiment le roi pour transformer une galère en anecdote hilarante ! Entre le racketteur qui a visiblement raté sa vocation de comédien et toi qui gardes ton sang-froid comme si tu négociais un café en terrasse… Respect. La prochaine fois, propose-lui un duo comique, ça rappellera sûrement plus que ses menaces.

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Judith

Intéressant, mais un peu léger sur les détails concrets : comment ça s’est passé exactement ? Quels conseils tu donnerais à quelqu’un qui se retrouverait dans cette situation ? Parler du racket, c’est bien, mais si on veut que ça serve à quelque chose, il faudrait peut-être creuser un peu plus les solutions (dépôt de plainte, protection juridique, etc.). Après, je comprends que ce soit un sujet sensible…

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Diane

Paul Mirabel qui se fait racketter, c’est comme si un pirate informatique se faisait voler son mot de passe “1234”… La vie est vraiment une blague parfois.

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Abel

Alors là, chapeau bas ! Entre le suspense, les détails savoureux et la morale de l’histoire, tu as tout d’un scénariste. Est-ce que tu as porté plainte ? Et surtout… est-ce que tu as récupéré ton argent ? (Parce que là, je suis en mode « il faut que je sache la fin »). En tout cas, merci pour ce moment de lecture addictif

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zack

Ce qui est fascinant dans ton récit, c’est la façon dont tu décortiques les mécanismes de l’arnaque. On se rend compte à quel point ces techniques sont bien rodées et comment elles jouent sur nos émotions. Ça donne envie de partager ton article à tous nos proches pour les sensibiliser… et aussi pour leur montrer à quel point tu es un bosseur de l’autodérision.

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Hakan

Paul… Je ne m’attendais vraiment pas à ça en lisant le titre. Ton récit est à la fois drôle et touchant, comme toujours, mais là, tu as réussi à me faire passer par toutes les émotions : la colère contre ces escrocs, l’incompréhension face à leur audace, et surtout, l’admiration pour ta façon de rebondir. Merci de partager ces histoires qui nous rappellent que la vie est parfois plus folle que la fiction.

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admiratif

Paul Mirabel a encore réussi à transformer une situation angoissante en un moment de pur génie comique. Ce qui est fascinant, c’est comment il utilise l’absurde pour désamorcer la tension et nous faire rire malgré tout. Un vrai talent pour trouver la lumière dans les moments sombres !

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L’humour comme bouclier

Paul Mirabel prouve encore une fois que l’humour peut être une arme redoutable contre les situations les plus tendues. Répondre à une tentative de racket par une réaction décalée, c’est transformer la peur en force. Un bel exemple de résistance par l’absurde !

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Molly

Un petit garçon rentre de l’école en pleurant.
Sa mère lui demande :
— Qu’est-ce qu’il y a, mon chéri ?
— Y’a Kevin qui m’a racketté mon goûter !
— Mais pourquoi tu ne lui as pas dit non ?
— Ben il m’a dit qu’il était allergique aux refus…

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    La vulnérabilité comme force

    Ce qui rend Paul Mirabel si attachant, c’est sa capacité à assumer sa vulnérabilité. Au lieu de jouer les durs, il choisit l’authenticité et l’humour. Une leçon pour nous tous : parfois, la meilleure façon de désamorcer une situation, c’est de rester soi-même, même dans l’adversité.

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Sadia

C’est Jésus qui est sur sa croix en haut de la colline, et qui crie :  » Jean, Jean viens vite ! »
Jean répond: « J’arrive seigneur ! »

Alors Jean monte la colline, arrivé à un quart, un soldat lui coupe une jambe

Jésus continue « Jean dépeche toi Jean »
Jean:  » j’arrive ! »

Alors Jean sautille jusqu’à la moitié de la colline et se fait couper l’autre jambe

Jésus (suppliant et agonisant)  » S’il te plait Jean viens »
Jean  » je fais de mon mieux »

Jean parvient finalement tout en haut, après s’être fait couper un bras, il est en sang n’en peut plus, mais veut savoir les dernières volontés du christ

Jésus : « Jean JEAN ! t’a vue d’ici je vois ta maison

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    Séverine

    Dans un open space, un collègue dit à l’autre :
    — T’as pas un café ?
    — Non.
    — T’as pas une clope ?
    — Non.
    — T’as pas 2 euros ?
    — Non.
    Le premier soupire :
    — Franchement, tu mériterais de te faire racketter.
    — C’est ce que tu fais depuis ce matin.

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      Dina

      sérieux, ça doit être ultra-flippant. T’as essayé de négocier avec eux en mode “attendez, je suis un influenceur, je peux vous faire de la pub” ?

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Jennifer

C’est l’histoire d’un mec qui a 5 bites.

Son slip lui va comme un gant.

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Bertille

Un régiment de la Légion, pendant la guerre d’Algérie, est muté d’Oran à Constantine. Le lendemain de son installation dans ses nouveaux quartiers, le régiment se rassemble sur la place d’armes, sous les ordres de l’adjudant de semaine.
– À Constantine, fixe ! ordonne-t-il lorsqu’apparaît le colonel. Celui-ci ne dit rien, trouvant la plaisanterie plutôt amusante.

Mais le lendemain, l’adjudant recommence, et le colonel le convoque dans son bureau.
– Pourquoi dites-vous : « À Constantine, fixe », adjudant ?
– Ben, parce qu’on est à Constantine, mon colonel.
– Je ne comprends pas…
– Ben oui, mon colonel. À Oran, je disais : « À Oran, fixe ! », et ici…

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    Katie

    Un gamin de 10 ans va voir un plus grand et dit :
    — File-moi ton goûter !
    Le grand le regarde et dit :
    — T’as 3 secondes pour courir avant que je t’avale toi ET ton goûter imaginaire.
    Le petit :
    — D’accord, donc… c’est toi qui me rackette maintenant ?
    — Non. C’est moi qui corrige ton éducation.

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      Un miroir de la société

      Derrière l’anecdote, il y a une réalité sociale bien plus sombre : le racket, c’est la loi du plus fort. Mais Paul Mirabel, avec son talent, nous rappelle que même dans ces moments, on peut garder sa dignité. Un texte qui fait rire, mais qui fait aussi réfléchir.

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    personnel

    Qui n’a jamais été pris au dépourvu face à une situation stressante ? Paul Mirabel prouve qu’on peut en sortir avec humour et originalité. Son approche décalée m’a rappelé que parfois, la meilleure défense, c’est de jouer la carte de l’inattendu. Merci pour ce moment de rire et de réflexion !

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      Dev

      Paul, mon ami, tu es officiellement le roi du « ça n’arrive qu’à moi ». Entre les arnaques, les rencontres improbables et ton talent pour en faire du contenu, je me demande si tu n’as pas un don secret pour attirer les situations les plus WTF. Prochaine étape : un podcast intitulé « Paul vs. la vie » ?

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    joueur de foot

    Franchement, Paul, merci pour ce récit à la fois drôle et ultra-réaliste. Ça rappelle que même dans les situations les plus absurdes, on peut en rire après coup (et heureusement !). Content de voir que tu t’en es sorti sans dommage, et bravo pour avoir gardé ton calme. Ces histoires, ça nous rappelle aussi de rester vigilants, mais sans tomber dans la parano… Bon, après, moi, je vais vérifier deux fois ma poche avant de sortir.

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Marie

Don Corleone, le parrain de la Mafia américaine, découvre qu’il y a dans la « famille » un traître qui a détourné cent mille dollars. Fou de rage, il charge son adjoint Luigi de découvrir le coupable.

Deux jours plus tard, Luigi a trouvé le coupable. C’est Gaetano, le sourd-muet. Comme Luigi est le seul qui puisse communiquer avec lui par le langage des gestes, Don Corleone lui demande de servir d’interprète.
– Comment as-tu pu me trahir, moi, ton parrain ! dit-il d’un ton affligé à Gaetano. Traduis, Luigi.
Luigi traduit, et Gaetano baisse la tête piteusement.

– Maintenant, tu vas me rendre l’argent que tu m’as volé, poursuit le parrain. Traduis, Luigi.
Luigi traduit, mais Gaetano secoue la tête négativement.

– Si tu ne me rends pas l’argent, je te fais découper en rondelles ! hurle Don Corleone, fou de rage. Traduis, Luigi.
Luigi traduit, et Gaetano comprend que le parrain ne plaisante pas. Terrifié, il répond par gestes : « Les cent mille dollars sont cachés dans une enveloppe, sous le lit de la chambre 26 de l’hôtel San Lucia, à Brooklin. »
– Alors ? demande le parrain. Qu’est-ce qu’il a dit.

Luigi hésite un moment puis répond.
– Il a dit que vous étiez trop trouillard pour mettre votre menace à exécution, parrain

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Andréa

Avec quoi enlever un chewing-gum collé dans les cheveux ? Avec un cancer.

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    Ayesha

    Un ado entre dans les toilettes du lycée.
    Deux types le coincent :
    — C’est 2 euros pour pisser ici.
    — Mais… c’est des toilettes publiques !
    — Pas quand on garde la porte, mon gars.
    Le type leur donne 2 euros, fait son affaire.
    En sortant, il dit :
    — Et vous prenez la carte bleue pour la grosse commission ?

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Leslie

Pourquoi le coq a-t-il traversé la route ?
— Pour prouver qu’il n’était pas poule mouillée

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    Solweig

    En rentrant des champs, un paysan croise sur le chemin qui mène au village un homme très élégant qui le salue en disant :
    – Eh bien, mon brave Mathieu, tu me reconnais pas ?

    L’autre se frotte les yeux :
    – Mais cré nom ! C’est le Françoué… Ben, dis donc, mon gars, t’as l’air d’un monsieur…
    – S’il te plaît, ne me dis plus « Françoué ». Désormais on m’appelle François. Je suis parti comme tu le sais à la ville, et j’ai fait fortune, ce qui me permet d’avoir une vie de rêve. J’ai une maison magnifique. Le matin au réveil, je monte sur la terrasse. Puis je prends mon petit déjeuner, j’appelle mon agent de change pour donner mes instructions pour la Bourse, je prends mon bain, je vais me promener. A l’heure de l’apéritif, je monte sur la terrasse. Ensuite déjeuner, quelquefois petite sieste sur la terrasse, coup de téléphone à mon agent de change pour savoir comment était la Bourse. Le soir, apéritif sur la terrasse, ensuite dîner, et puis s’il fait chaud, avec un beau ciel étoilé, je reste longuement sur la terrasse avant d’aller dormir. Tu vois que j’ai une vie plutôt agréable…
    – Ben ça oui !… fait le paysan.

    A peine rentré chez lui, il dit à sa femme :
    – Marie ! Tu devineras jamais qui je viens de rencontrer ? Le Françoué !
    – Et qu’est-ce qu’il devient, ce feignant de Françoué ?
    – Ce feignant, comme tu dis, c’est devenu quelqu’un. D’abord, c’est plus Françoué, c’est François. Et sa femme, c’est plus la Thérèse, c’est la Terrasse..

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      Noor

      Un gang de jeunes « écolos extrêmes » arrête les passants.
      — Vous avez un sac plastique ?
      — Euh… oui…
      — Donnez-le.
      — Pourquoi ?
      — On fait du racket responsable. Zéro plastique sinon zéro dents.

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Marie

Pourquoi le coq a-t-il traversé la route ?
— Pour prouver qu’il n’était pas poule mouillée 

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    Le génie du décalage

    Seul Paul Mirabel pouvait transformer une situation aussi stressante en un moment comique. Son génie ? Prendre le contre-pied de ce qu’on attend de lui. Au lieu de la panique, il choisit l’absurde. Résultat : on rit, et on se sent moins seul face à nos propres peurs.

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    analytique

    L’humour de Paul Mirabel fonctionne ici comme un mécanisme de défense, mais aussi comme un outil de résistance. En choisissant de répondre par l’absurde, il brise le rapport de force et redonne le contrôle à travers le rire. Une belle démonstration de comment l’art peut transformer une expérience négative en quelque chose de partagé et de libérateur.

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Opale

Quel président bande 2 fois le matin ?

Charles De Gaulle

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    Johanna

    À la récré, la maîtresse entend :
    — Donne-moi ta compote sinon je te dénonce à la maîtresse !
    Elle arrive :
    — Qu’est-ce qui se passe ici ?
    L’enfant racketteur dit :
    — Rien, on fait du partage forcé.

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      Uuka

      Paul, tu viens de transformer une galère en or. Respect.

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      Gabrielle

      Ce témoignage montre à quel point le racket, même sous des formes “modernes” ou discrètes, reste un fléau. Ce qui est frappant, c’est comment les racketteurs jouent sur la psychologie (la honte, la peur des représailles) pour éviter que les victimes portent plainte. Paul, ton récit pourrait aider d’autres personnes à briser le silence. As-tu envisagé de collaborer avec des associations pour sensibiliser sur le sujet ?

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Florence Foresti: les garçons

Encore une victime de l’adolescence.

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Les garçons

Le racket à l’école est un véritable problème. Surtout, on ne sait pas comment lutter contre.
Les enfants restent dans leur souffrance et en silence.

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Sexy delires

Il manque cruellement de charisme.

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    Rabiya

    Un type s’approche dans le métro, l’air louche.
    — Tu me files ton portefeuille ou je te chante du Jul sans arrêt pendant 1h.
    L’autre le regarde :
    — Tu crois que ça me fait peur ? J’ai un ado de 14 ans à la maison.
    — OK. Alors je te fais écouter ses freestyles.
    — Tiens, prends même ma carte vitale.

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Florence Foresti

Le harcèlement scolaire est source de suicide.
Il ne faut pas négliger les enfants.

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    Florence Foresti

    L’adolescence est très important pour ce construire et ce préparer a l’âge adulte.

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      Jordane

      A la frontière franco-belge, une Audi Quattro passe la douane côté français. Or, il y a cinq passagers dans la voiture.

      Le douanier veut verbaliser :
      – Vous êtes cinq dans une Audi Quattro. Ce n’est pas réglementaire !
      – Mais attendez, dit la chauffeur. Audi Quattro, c’est la marque de la voiture. Cela n’a pas de rapport avec le nombre de places.
      – Je vous dis que ce n’est pas réglementaire…

      Le douanier maintient sa position et le chauffeur finit par s’énerver :
      – Mais enfin, c’est idiot ! Appelez votre chef, vous verrez !
      – Il ne peut pas venir. Il est occupé avec deux types dans une Fiat Uno

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        complice

        Je me suis fait racketter”… mais au final, c’est le racketter qui s’est fait voler la vedette ! Paul Mirabel, merci de nous rappeler que même dans les pires situations, il y a toujours une place pour l’humour. À quand un spectacle entier sur les “galères du quotidien” ?

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      Lucia

      Dans un lycée, un élève dit à un autre :
      — T’as 5 euros pour passer ?
      — Et si je veux pas ?
      — T’auras 2 autres mecs qui viendront te le demander. Et si tu refuses encore…
      — Quoi ?
      — On t’envoie la conseillère d’orientation pour t’expliquer que t’auras jamais de job sans diplôme.
      Le mec paie direct.

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Lise

C’est un couple de jeunes mariés qui arrivent dans leur appartement de jeunes mariés.
Le mari porte sa femme dans ses bras et en même temps, d’une main, il essaye de mettre la clé dans la serrure :
– Merde ! J’trouve pas le trou !
– Eh ben ! ça commence bien !

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    Une leçon de vie

    Ce récit est bien plus qu’une simple histoire : c’est une leçon de vie. Face à l’agressivité, Paul Mirabel nous montre qu’on peut choisir de ne pas entrer dans le jeu de la violence. Son humour est une forme de résistance passive, et ça, c’est inspirant.

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    espoire

    Ton récit est un parfait mélange d’humour et de lucidité sur la bêtise humaine. Ce qui m’a marqué, c’est comment tu décris la psychologie du racketteur : un mélange de maladresse et de prétention qui en devient presque pathétique. Est-ce que tu penses que ce genre de situation est plus fréquent qu’on ne le croit, ou c’était vraiment un ‘coup de malchance’ ? En tout cas, merci pour ce moment de rire ET de réflexion.

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Lisa

Toto rentre de l’école :

« Papa, aujourd’hui j’ai eu 0 en maths ! » « Pourquoi ? » « Le prof m’a demandé combien font 2+2, j’ai répondu 5. » « Mais pourquoi t’as répondu ça ? » « Parce que 4 c’était trop évident. »

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Julia

Pourquoi les dentistes ne sont-ils jamais en retard ?
Parce qu’ils ont toujours une bonne excuse pour « mordre dans le temps »

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Honoree

C’est une hyène couverte de sang qui revient en zigzaguant à sa grotte et se pose pour piquer un petit somme.

Mais les autres hyènes, réveillées par l’odeur du sang, la harcèlent pour savoir où elle en a tant trouvé.
– Oh non ! Laissez-moi dormir ! Gémit la hyène ensanglantée
– Non ! Dis-nous où tu as eu tout ce sang ! hurlent les autres.

Finalement, la hyène ensanglantée cède et dit aux autres de la suivre. Après dix minutes de course silencieuse dans la nuit noire, elles plongent dans une vallée, puis dans une forêt. Et à l’entrée d’une clairière elle leur dit :
– On y est, vous voyez cet arbre là-bas ?
– Oui! Oui! crient les autre hyènes, la salive à la bouche.
– Eh ben, moi je l’avais pas vu…

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    Lucie

    Un ado dit à son pote :
    — T’as vu ? J’ai piraté le compte Insta de Clara.
    — T’es malade !
    — Non, t’inquiète, c’est pour lui rendre… mais elle doit m’envoyer 3 paquets de BN et son code Netflix.
    — C’est du chantage, pas du hacking !
    — Non, c’est de la cyber-racketterie sucrée.

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Valentina

Pourquoi est-ce si difficile de conduire dans le Nord ?

Parce que les voitures n’arrêtent pas de caler. (Pas-de-Calais)

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    Micheline

    Une blonde se rend à la mairie pour une demande de logement.

    Elle rencontre donc l’employé de mairie chargé de prendre en compte les candidatures pour ce genre de démarche.

    – Asseyez-vous Madame… Je vais commencer par vous poser quelques questions pour mieux cibler votre demande, et ainsi déterminer quel type de logement vous conviendra le mieux.
    – Allez-y, je suis prête, répond la blonde.
    – Alors, que préférez-vous, l’habitat rural ou l’habitat urbain ?
    – Ah non alors, celle de mon Édouard me suffit

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      Jemima

      Le racket, c’est toujours un truc de films… jusqu’à ce que ça t’arrive. Respect pour ton courage d’en parler, Paul. La prochaine fois, balance-leur un “C’est qui le patron ?” en mode Mirabel, ça les calmera peut-être.

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