papy grenier : sim city

Merci pour cet épisode qui m’a rappelé pourquoi j’adorais SimCity : parce que dans la vraie vie, on ne peut pas raser un quartier entier parce qu’on n’aime pas l’architecture. Papy Grenier a encore une fois su capturer l’esprit du jeu, entre stratégie et folie créative. Et puis, avouons-le, rien ne bat le plaisir de déclencher une catastrophe naturelle quand tout va trop bien.

Quel bonheur de revoir SimCity à travers les yeux de Papy Grenier ! Ce jeu m’a appris plus sur l’urbanisme que certains cours… Bon, ok, j’exagère un peu, mais avouez que c’était bien plus fun que les maths. L’épisode est comme toujours très bien fait, avec ce mélange d’humour et de passion qui fait le charme de la chaîne. À quand un épisode sur Les Sims, pour compléter la trilogie ?

Encore une fois, Papy Grenier nous prouve que les vieux jeux sont les meilleurs. SimCity, c’était mon premier contact avec la gestion de ville, et quel souvenir ! J’ai ri en voyant les mêmes galères que j’avais à l’époque (les incendies, les émeutes…). Un grand merci pour ce contenu qui donne envie de ressortir la vieille disquette (ou l’émulateur, pour les moins courageux).

SimCity, c’est le genre de jeu qui te fait perdre des heures sans que tu t’en rendes compte. L’épisode de Papy Grenier m’a rappelé pourquoi j’adorais ce jeu : la liberté de créer (et de détruire) à volonté. Petit plus pour la musique, qui est instantanément reconnaissable et qui donne envie de relancer une partie. Merci pour ce moment de nostalgie, et vive les villes virtuelles mal gérées.

Quel plaisir de replonger dans l’univers de SimCity grâce à Papy Grenier ! J’avais complètement oublié à quel point ce jeu était addictif (et frustrant quand les Sims se plaignaient sans arrêt). Merci pour ce voyage dans le temps, et bravo pour l’analyse qui capture parfaitement l’essence du jeu. Une question : est-ce que Papy Grenier a déjà essayé de construire une ville sans routes, juste pour voir le chaos ?