Olivier De Benoist: Comment savoir si vous êtes avec une prostituée

Merci pour cet article qui a le mérite d’aborder un sujet souvent tabou. Pour aller plus loin, il serait intéressant d’explorer les raisons qui poussent certaines personnes à exercer ce métier, ainsi que les conditions dans lesquelles elles travaillent. Plutôt que de se focaliser sur des « signes » extérieurs, une réflexion sur la législation, la stigmatisation et les droits des travailleuses du sexe serait sans doute plus utile pour le débat public.

Après avoir lu cet article, je me demande si je ne devrais pas offrir un diplôme en « détection de profils ambigus » à mon chat… Blague à part, c’est vrai que certaines situations peuvent prêter à confusion, mais au final, la communication et le respect restent les meilleurs outils pour éviter les malentendus. (Et non, demander une facture n’est pas une solution, Olivier !)

Cet article soulève des questions importantes sur les stéréotypes et les préjugés qui entourent le travail du sexe. Cependant, il me semble que l’approche adoptée risque de renforcer des clichés plutôt que de les déconstruire. Le sujet mérite une analyse plus nuancée, notamment en donnant la parole aux premières concernées : les travailleuses du sexe elles-mêmes. Leur réalité est bien plus complexe que ce que laisse entendre une liste de « signes » réducteurs.

Bref, toujours aussi cash, et c’est pour ça qu’on t’aime. Mais avoue que le prochain article sera “10 signes que ton mec est un incel” ?

Olivier, tu nous pond un article sur “comment repérer une prostituée” en 2025, alors que le vrai sujet devrait être : “pourquoi les hommes ont-ils encore besoin de ces guides à deux balles pour gérer leurs insécurités ?

Intéressante approche, même si le sujet prête à sourire. Derrière l’humour, il y a une vraie question sur la manière dont la société perçoit (et stigmatise) certaines professions. Est-ce que ces “signes” ne révèlent pas aussi nos propres préjugés ? Après tout, une relation saine repose sur la transparence et le respect, peu importe le métier de l’autre. Merci pour ce sujet qui fait réfléchir.

ton style décalé est toujours aussi rafraîchissant, même sur des sujets qui pourraient être lourds. Merci pour le rire

Olivier, encore une analyse qui fait mouche ! Entre les indices “elle te demande 50€ pour un café” et “elle te parle de ses études en comptabilité alors qu’elle a 3 doctorats”, je me demande si je ne devrais pas vérifier ma propre relation…

Je viens de lire cet article en riant jaune… parce que j’ai déjà vécu une situation où je me suis posé LA question (sans oser la formuler, bien sûr). Résultat : j’ai passé ma soirée à analyser chaque détail comme un inspecteur de police. Spoiler : c’était juste une personne très organisée et pressée. Merci Olivier pour ce rappel que parfois, on cherche des problèmes là où il n’y en a pas. Prochaine étape : un article sur “comment savoir si vous êtes trop parano” ?

Olivier, ton style est toujours aussi percutant, mais je trouve que cet article frôle un peu la généralisation facile. Les “signes” que tu cites peuvent s’appliquer à plein de situations qui n’ont rien à voir… et inversement. Après, c’est peut-être justement le but : montrer à quel point ces clichés sont absurdes ? Si c’est le cas, bravo pour la démonstration par l’absurde ! Sinon, attention à ne pas alimenter des préjugés…

L’humour mis à part, cet article soulève une vraie question sur la méfiance et les stéréotypes dans les relations. Est-ce qu’on en arrive à un point où l’on doit “vérifier” l’autre plutôt que de construire une relation de confiance ? Personnellement, je trouve ça triste. Après, c’est vrai qu’Olivier a le mérite de dédramatiser un sujet souvent tabou. À méditer… ou à en rire, selon son humeur.

Olivier, tu viens de sauver des milliers de relations en posant LA question qui fâche… mais surtout, qui fait rire ! Entre le “tarif dégressif” et le “rendez-vous en 15 minutes chrono”, je me demande si je ne devrais pas tester ces critères sur mes propres rendez-vous. Au moins, ça évitera les malentendus du type “tu veux un café ?” / “non, je veux 50€”. Merci pour ce moment de doute existentiel !

Un philosophe marche dans la rue et croise une prostituée.
Elle lui dit :
— 100 euros pour la nuit.
Il répond :
— Et que m’offres-tu de plus que ce que la solitude me permet d’apprendre ?
Elle le regarde, sort une cigarette, l’allume, et répond :
— Du silence après avoir appris.

Un curé monte dans un taxi à Paris.
Sur la banquette arrière, il s’assoit à côté d’une jeune femme habillée de manière… très expressive.
Elle le regarde et dit :
— Salut, beau gosse, tu veux une pipe ?
Le curé, choqué, ne répond pas.
La femme sourit :
— T’as jamais vu une prostituée ou quoi ?
Le curé dit, paniqué :
— Si, si… mais je ne savais pas que ça avait un nom si court maintenant !

Un gars meurt et se retrouve en enfer. Vraiment il ne comprend pas pourquoi et ça l’attriste. Alors qu’il est en face du gardien des portes de l’enfer, il se dit:
« Je sais que je ne me suis pas toujours bien conduit, mais je n’aurais jamais pensé que ça me ferait aboutir ici. »
A ce moment, le gardien lui demande:
– Il y a un problème? Vous avez vraiment l’air triste. Vous êtes déçu peut-être?
le gars:
– Qu’est-ce que vous croyez?! Me voila en enfer. Si j’avais su…
le gardien:
– L’enfer n’est pas si mal que vous le pensez. Vous y prendrez beaucoup de plaisir. Par exemple, vous aimez boire?
– Bien sûr que j’aime l’alcool!
– Alors vous adorerez les Lundis. Le lundi on boit toute une mer d’alcool. Vous aurez du whisky, du rhum de la téquila, de la bière, du gin, ou autre chose encore. Et tout ça à volonté. La fête dure toute la nuit. Oui vraiment, vous serez fous des lundis.
Vous fumez?
– Oui je fume la cigarette.
– Eh bien vous adorerez les Mardis. Le mardi est le jour où l’on fume. Des cigares les plus raffinés aux cigarettes les plus fines. Vous fumez autant que vous voulez sans vous soucier d’attraper le cancer parce que vous êtes DÉJÀ mort! Si c’est pas bath ça?! Vraiment, le mardi sera un jour que vous aimerez.
Vous vous droguez?
– Ben, j’ai un peu essayé quand j’étais plus jeune.
– Ah vous aimerez aussi les mercredis. c’est le jour des drogues. Vous pourrez essayer toutes les drogues qui existent, et sans vous soucier d’enfreindre la loi ou de l’overdose parce que vous êtes déjà mort. Oui, vous aimerez les mercredis.
Vous aimez jouer?
– Oui j’aime jouer!
– Ah que vous aimerez les jeudis, car ce jour là, l’enfer est un vrai casino: Black jack, craps, poker, mais aussi les paris, les courses de chevaux, Tout ce qui se joue! Vous aimerez réellement les jeudis.
– Vous êtes gay?
– Ben, non.
– Oh , vous allez détester les vendredis…

Un vieux curé se promène rue Saint Denis et soudain, il voit une prostituée avec un tee-shirt, sur lequel est écrit « JESUS », il s’arrête, s’approche de la jeune fille et la complimente d’avoir garder la foi dans ce milieu de débauche.

Au bout d’une demi-heure de causeries, le curé s’en va. La jeune prostituée se tourne vers sa collègue, et lui demande :

Dis donc Raymonde Je sus t’es sûre que ça s’écrit comme ça ?

Trois Femmes. Trois Désirs. Quand elles font l’amour : La prostituée regarde le plafond et se dit :

Quand va-t-il finir ?

La maîtresse regarde le plafond et se dit :

Quand va-t-il revenir ?

L’épouse regarde le plafond et se dit : Quand va-t-il le repeindre ?

C’est un mec qui va chercher une prostituée et il l’emmène chez elle.

Il lui demande : « c’est combien pour faire le poirier nue devant un miroir ? » Elle lui répond : « rien que ça ?

Je peux vous le faire pour un euro » alors elle fait ce que le mec lui a demandé. Le mec met sa tête entre les jambes de la fille et dit : « ma femme a raison : je suis mieux sans barbe…

C’est deux filles de joie qui discutent et il y en a une qui dit :

Tu sais pas la dernière ?

Je suis enceinte !

J’espère que tu connais le père !

Dis donc, ma grande, quand tu manges une boîte de haricots, tu sais lequel te fait péter, toi ?

Dans une chambre d’hôtel, une prostituée est complètement épuisée. Son client, un vieux bonhomme à barbe blanche, lui a fait l’amour trois fois. Et voilà qu’il lui demande poliment :

Je pourrais recommencer une quatrième ?

Encore ! Mais ce n’est pas vrai ! C’est plus de l’amour, c’est de la rage, Monsieur Pasteur

C’est combien ?

Demande un petit bonhomme à une prostituée.

Cent francs dans la voiture, cinq cents francs à l’hôtel. Le petit bonhomme sort cinq cents francs en disant C’est d’accord ! Cinq fois dans la voiture…

Le chauffeur de taxi répond : non, petit, c’est des putes Le petit garçon demande : et que font leur enfants quand ils deviennent grand ?

Le père répond : ils deviennent chauffeur de taxi.

Dans un bar de Pigalle, deux entraîneuses, juchées sur leur tabouret, bavardent. – Avec quoi tu te laves quand tu viens de monter avec un type ?

Au savon de Marseille, ma chère. Il n’y a rien de mieux C’est pur, ça n’irrite pas… Et toi ?

Au gros sel.

Hein ?

Ça ne te brûle pas ?

Un petit peu. Mais par contre, ça fait boire le client…

Un petit garçon traverse la rue Saint Denis avec son père dans un taxi.

« Dis papa, qu’est ce qu’elles font les dames sur le trottoir ? »

Embarrassé, le père lui réponds : elles attendent leur mari

Quelle est la différence entre le PSG et une prostituée ?

La prostituée arrive à aligner trois passes au moins en une soirée.

Une prostituée va voir son gynécologue, l’homme lui demande :

Vous perdez beaucoup pendant vos règles ?

Euh… 2000, 3 000 balles.

Pourquoi le Père Noël a une barbe blanche ?

Pour qu’on ne le confonde pas avec le Petit Chaperon Rouge.

Robert et Joe aiment beaucoup le baseball. Ils ne ratent jamais un match de baseball, au stade, ou à la télévision. Un jour, dans un bar, Robert demande à Joe s’il y a du baseball au ciel.
Joe répond :
– Je ne sais pas, mais le premier qui meurt viendra le dire au deuxième.

Le temps passe, les jours, les semaines, les mois, les années. Joe meurt.
Robert, chez lui, attend, attend et attend des nouvelles de Joe. Les jours passent, les semaines passent, toujours aucune nouvelle de Joe.

Un jour, en pleine nuit, Robert dort, et tout à coup il entend un bruit bizarre qui le réveille.

Robert : Qu’est ce qui se passe, qu’est ce qui se passe ?

Joe : Robeeeert, Robeeeert, c’est Joe qui te parle.

Robert : Ah, ah, Joe, salut ! Alors, est-ce qu’il y a du baseball au ciel ?

Joe : Oouuuiii, et c’est toi qui lance demain !

La gestion de l’argent est important dans un couplé.

“Il n’y a que les sots et les morts qui ne changent pas d’opinion.”