5h45, le réveil sonne. 6h30, vous êtes sur le quai de Châtelet, serré comme une sardine entre un touriste égaré et un cadre pressé. Le RER B, fidèle à sa réputation, affiche « retard » sur l’écran clignotant. Vous respirez un mélange de café renversé et de parfum bon marché, tout en priant pour que la rame ne s’arrête pas en pleine voie. Soudain, une voix robotique annonce : « Prochain arrêt, Saint-Michel… si tout va bien. » Un sourire en coin : dans le métro parisien, rien ne va jamais vraiment bien.
Entre les portes qui s’ouvrent sur des passagers en mode « sumo » et les annonces incompréhensibles, chaque trajet est une aventure. Et quand enfin vous arrivez à destination, une question persiste : pourquoi diable avoir choisi de vivre sans voiture ?
Répondre à empire romain Annuler la réponse