journée internationale des câlins (chronique de Constance)
La science le confirme : un câlin libère de l’ocytocine, l’hormone du bonheur. En ces temps agités, où le stress et la solitude guettent, un simple étreinte devient un remède universel. Un câlin ne coûte rien, mais il offre tout : réconfort, sécurité, et une connexion humaine inégalable. Que ce soit entre amis, en famille ou même avec un inconnu consentant, il brise les barrières et rappelle notre besoin essentiel de tendresse.
Et si, aujourd’hui, on osait davantage ? Un câlin à un collègue stressé, à un voisin isolé, ou simplement à soi-même, en s’enlaçant pour se rappeler qu’on mérite de l’affection. Parce qu’un monde avec plus de câlins serait sans doute plus doux, plus patient, et surtout, plus humain. Alors, à quand le prochain ?
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