Je ne suis pas un salaud (mais parfois, j’ai des doutes)

Introduction : Salut à tous ! Aujourd’hui, je vais vous parler d’un sujet qui me tient à cœur : ma quête éternelle pour prouver que je ne suis pas un salaud. Spoiler alert : c’est plus compliqué que ça en a l’air.

Les petites choses qui font de moi un être humain (presque) normal Je paie mes impôts (enfin, je crois). Je dis bonjour à ma voisine (quand je la croise). Et surtout, je ne mange pas les derniers cookies dans la boîte au bureau… enfin, pas toujours. Mais alors, pourquoi est-ce que je me sens parfois comme le méchant d’un film Disney ?

La théorie du « salaud involontaire » Et si, en réalité, je n’étais pas un salaud, mais juste un être humain normal, avec ses défauts et ses contradictions ? Après tout, qui n’a jamais envoyé un message en disant « On se voit bientôt ! » alors qu’il savait pertinemment que ce « bientôt » était plus proche de « jamais » ?

La conclusion (ou comment se donner bonne conscience) Finalement, je pense que je ne suis pas un salaud. Enfin, pas plus que la moyenne. Et si vous aussi, vous avez des doutes sur votre propre moralité, rassurez-vous : vous n’êtes pas seul(e). On est tous un peu des salauds… mais avec de bonnes intentions.

Alors, prêt(e) à avouer vos propres petits travers ? Partagez vos anecdotes en commentaires, et on rigolera ensemble de notre humanité imparfaite !

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16 comments

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petit nouveau

Première fois que je lis un de tes articles, et sûrement pas la dernière. J’ai adoré ton ton et ton honnêteté. C’est rare de rire autant en se sentant compris.

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homme zen

Ton article est comme un bon café : ça réveille, ça donne la pêche, et ça laisse un goût de « reviens vite ». Merci pour ce moment de complicité.

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l’artiste

Si l’humour était une discipline olympique, tu serais médaillé d’or. Merci pour ce moment de détente, c’est exactement ce qu’il me fallait aujourd’hui.

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the best

Encore un sans-faute. Tu as le don pour transformer l’ordinaire en extraordinaire. J’ai hâte de voir ce que tu nous réserves pour la prochaine chronique.

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poid plume

Ton écriture est tellement vivante qu’on a l’impression de t’entendre parler. J’ai lu l’article à voix haute à mon conjoint, on a ri comme des ados. Continue à nous faire du bien.

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beau mec

Enfin quelqu’un qui ose dire tout haut ce qu’on pense tout bas. Ton humour est une bouffée d’oxygène dans un monde trop sérieux. Merci pour ce fou rire matinal.

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sophia

J’adore la façon dont tu joues avec les mots et les situations. C’est intelligent, drôle, et ça donne envie de relire tes anciens articles.

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jeannette

« Je ne suis pas un salaud »… Si, un peu, mais c’est ça qui est drôle ! Ton talent, c’est de rendre nos défauts attachants. J’attends la suite avec impatience.

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maman

En pleine crise de fou rire dans le métro grâce à toi. Les gens me regardaient bizarrement, mais je m’en fous : merci pour ce moment de légèreté. Ton style est unique, ne change rien.

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LeSceptique

Je suis venu en me disant « encore un article qui va me faire culpabiliser », et finalement, je sors de là en me disant « ouf, je ne suis pas le seul ! ». Bravo pour ce mélange d’humour et de vérité crue.

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Marie23

Daymeric, tu es mon thérapiste préféré. Merci de mettre des mots (et des rires) sur ces petits travers du quotidien. J’ai partagé l’article à mon groupe de potes, on s’est tous reconnus. À quand le livre ?

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LaughAddict

Encore une fois, tu as visé juste. Ton auto-dérision est rafraîchissante, et ça fait du bien de rire de choses qu’on a tous vécues (mais qu’on n’ose pas avouer). Le titre est parfait : on se sent moins seul à être un « salaud » assumé après ça.

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FredLeRieur

Super chronique, Daymeric ! Tu as ce don pour transformer des situations banales en moments hilarants. J’ai failli m’étouffer avec mon café en lisant le passage sur [insérer un détail marquant de l’article]. Continue comme ça, on en redemande.

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Anne

Ce qui est fascinant dans ta chronique, c’est comment tu déconstruis l’idée du ‘salaud’ comme une identité fixe. On est tous des ‘salauds en devenir’ selon les contextes, les pressions, les fatigues… et c’est ça qui est terrifiant (et passionnant). Ça me fait penser à ces expériences de psychologie sociale où des gens ‘normaux’ basculent dans des comportements inattendus. Est-ce que tu penses qu’on peut vraiment ‘s’entraîner’ à ne pas l’être, ou est-ce qu’il faut juste accepter cette part d’ombre ? (Et accessoirement, est-ce que tu écris un livre là-dessus ? Parce que j’achète.)

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Jasmine

Bon, ok, je vais arrêter de me sentir coupable d’avoir ri en lisant ce texte… parce que c’est exactement le genre de ‘salauderie ordinaire’ que je pratique sans m’en rendre compte (désolé, les gens dans le métro). Daymeric, t’as encore réussi à mélanger l’intelligence et l’autodérision pour qu’on se sente moins seuls dans nos petits travers. PS : La prochaine fois, je promets de ne pas voler la dernière part de gâteau… ou alors, je le ferai avec panache.

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Aicha

Daymeric, ton texte m’a vraiment fait réfléchir sur la façon dont on se juge (et dont on juge les autres) au quotidien. Cette idée que ‘je ne suis pas un salaud, mais je pourrais l’être dans d’autres circonstances’ est à la fois dérangeante et libératrice. Ça rappelle que l’empathie, c’est aussi se mettre à la place de ceux qu’on a envie de critiquer… et parfois, ça fait mal. Merci pour cette claque bienveillante !

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