La Suisse, terre de luxe et de discrétion, compte un nombre impressionnant de palaces. Mais peut-on en avoir trop ? Guillermo Guiz soulève une question pertinente : ces temples de l’opulence, bien que symboles d’excellence, ne risquent-ils pas de saturer un marché déjà très sélectif ?
Entre tradition hôtelière et demande touristique, l’équilibre est délicat. Les palaces suisses, souvent historiques, incarnent un art de vivre inégalé. Pourtant, leur multiplication interroge : répondent-ils à une réelle attente ou à une course à l’exclusivité ?
Pour les amateurs de raffinement, ces adresses restent incontournables. Mais pour les locaux, la question se pose : ces joyaux ne deviennent-ils pas des bulles déconnectées de la réalité ? Un débat qui mérite d’être ouvert, entre prestige et accessibilité.
Et vous, quel est votre avis sur la prolifération des palaces en Suisse ?
Répondre à jeune maitre Annuler la réponse