Florence Foresti – Les femmes détestent la routine

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (dans nos rêves), les enfants qui oublient systématiquement leurs affaires et le conjoint qui ne voit jamais la poussière… tu as résumé ma vie en 5 minutes ! Merci pour ce moment de rire salvateur, parce qu’entre nous, la routine, c’est comme le sport : on déteste ça, mais on en redemande (sans vraiment savoir pourquoi).

Florence Foresti a encore frappé fort ! Qui n’a jamais pesté contre la routine du quotidien ? Entre les lessives qui s’accumulent, les rendez-vous à gérer et les ‘chéri, tu as vu mes clés ?’, elle résume notre vie avec un humour décapant. Merci pour ce moment de rire qui fait du bien… et qui nous rappelle qu’on n’est pas seules dans ce merdier organisé.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (en rêve), les enfants qui oublient leurs affaires partout (sauf leur téléphone) et le conjoint qui ne voit pas la poussière… tu résumes ma vie en 5 minutes ! Merci pour ce fou rire salvateur, parce qu’avouer qu’on déteste la routine, c’est déjà un peu la briser.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves) et les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes, tu résumes notre quotidien avec un humour qui fait du bien. Merci de nous rappeler qu’on n’est pas seules à détester la routine… et que c’est OK de râler un peu (beaucoup)

Florence Foresti a encore frappé fort ! J’ai vu le spectacle hier soir et j’ai ri aux éclats du début à la fin. Son talent pour transformer le quotidien en comédie est juste incroyable. Et cette réplique sur les tâches ménagères… trop vrai ! Merci pour ce moment de pure détente, j’en avais bien besoin. Qui d’autre a déjà vécu une scène similaire avec son/sa partenaire ?

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves) et les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes, tu résumes notre quotidien avec un humour qui fait du bien. Merci de nous rappeler qu’on n’est pas seules à détester la routine… et que c’est OK de râler un peu (beaucoup).

Florence, tu as encore frappé fort ! La routine, c’est comme un abonnement gym : on paie tous les mois, mais on ne voit jamais les résultats… Sauf que là, au moins, on rit en écoutant tes sketches ! Merci pour ce moment de lucidité hilarante. À quand un spectacle sur la routine des courses en supermarché ?

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves) et les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes, tu résumes notre quotidien avec un humour qui fait du bien. Merci de nous rappeler qu’on n’est pas seules à détester la routine… et que c’est OK de râler un peu.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves) et les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes, tu résumes notre quotidien avec un humour qui fait du bien. Merci de nous rappeler qu’on n’est pas seules à détester la routine… et que c’est OK de râler un peu (beaucoup).

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves) et les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes, tu résumes notre quotidien avec un humour qui fait du bien. Merci de nous rappeler qu’on n’est pas seules à détester la routine… et que c’est OK de râler un peu (beaucoup).

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves) et les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes, tu résumes notre quotidien avec un humour qui fait du bien. Merci de nous rappeler qu’on n’est pas seules à détester la routine… et que c’est OK de râler un peu (beaucoup)

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves), les enfants qui oublient systématiquement où se trouve la poubelle, et le conjoint qui découvre l’aspirateur comme un objet mystérieux… La routine, c’est comme un épisode de Koh-Lanta, mais sans l’île paradisiaque et avec plus de chaussettes qui traînent. Merci pour ce moment de rire qui nous rappelle qu’on n’est pas seules à vouloir appuyer sur “pause” parfois.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves), les enfants qui oublient systématiquement où se trouve la poubelle, et le conjoint qui découvre l’aspirateur comme un objet mystérieux… La routine, c’est comme un épisode de Koh-Lanta, mais sans l’île paradisiaque et avec plus de chaussettes qui traînent. Merci pour ce moment de rire qui me rappelle que je ne suis pas seule dans cette aventure.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves), les enfants qui oublient systématiquement où se trouve la poubelle, et le conjoint qui découvre l’aspirateur comme un objet mystérieux… La routine, c’est comme un épisode de Koh-Lanta, mais sans l’île paradisiaque et avec des chaussettes qui traînent partout. Merci pour ce moment de rire qui me rappelle que je ne suis pas seule dans cette aventure.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage, les enfants, le boulot et les ‘chéri, t’as vu où j’ai mis mes clés ?’, la routine c’est un peu notre marathon quotidien… mais sans la médaille à l’arrivée ! Merci pour ce fou rire qui me rappelle que je ne suis pas seule dans cette aventure. PS : Mon mari a ri jaune en lisant l’article, preuve que tu as visé juste.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage, les enfants, le boulot et les “chéri, t’as vu où j’ai mis mes clés ?”, la routine c’est un peu notre marathon quotidien… mais sans la médaille à l’arrivée ! Merci pour ce moment de rire qui nous rappelle qu’on n’est pas seules à trouver ça épuisant (et absurde). Longue vie à toi et à ton humour salvateur.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage, les enfants, le boulot et les “chéri, t’as vu où j’ai mis mes clés ?”, la routine c’est un peu notre marathon quotidien… mais sans la médaille à l’arrivée ! Merci pour ce moment de rire qui nous rappelle qu’on n’est pas seules à trouver ça épuisant (et absurde). Longue vie à toi et à ton humour salvateur.

Ton analyse est hilarante et tellement vraie… mais elle soulève aussi une question : comment faire pour que cette routine ne devienne pas un piège ? Entre l’humour et la réalité, il y a parfois un fossé. Peut-être que la prochaine fois, tu pourrais nous donner tes astuces pour désamorcer ces situations ? (Ou au moins nous dire comment tu fais pour garder le sourire !)

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage, les enfants, le boulot et les ‘chéri, t’as vu où j’ai mis mes clés ?’, la routine, c’est un peu notre marathon quotidien… mais sans la médaille à l’arrivée ! Merci pour ce fou rire qui me rappelle que je ne suis pas seule dans cette aventure. PS : Mon mari a ri jaune en lisant l’article, preuve que tu as visé juste.

J’ai adoré ton approche sans filtre sur la routine, Florence. Et surtout, j’ai remarqué que dans la salle, les hommes riaient autant que les femmes ! Preuve que ce sujet nous concerne tous. Peut-être que la clé, c’est d’en parler plus souvent… et avec autant d’humour que toi. En tout cas, merci pour cette bouffée d’oxygène.

Florence, tu as encore frappé fort ! Ce spectacle est un vrai miroir tendu à notre quotidien. Entre les tâches ménagères qui reviennent comme un boomerang et les « chéri, tu peux… » qui n’en finissent plus, tu as su transformer l’exaspération en éclats de rire. Merci pour ce moment de légèreté qui fait du bien.

Encore une fois, Florence, tu as mis des mots sur ce qu’on ressent toutes sans toujours oser le dire. La routine, c’est l’ennemi numéro un de la créativité et du bonheur, et toi, tu nous aides à en rire pour mieux la combattre. Merci pour ce moment de pure joie.

Florence, tu as encore frappé fort avec ce sujet. La routine, c’est le grand ennemi de l’épanouissement, et tu l’as si bien expliqué avec ton humour et ta finesse. Merci pour ce moment de rire et de réflexion, ça fait du bien de se sentir comprise !

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le linge qui s’accumule, les repas à inventer et les rendez-vous à ne pas oublier, la routine c’est un peu comme un marathon… mais sans la médaille à la fin. Merci pour ce moment de rire qui me rappelle que je ne suis pas seule dans cette aventure.

Florence, tu as mis le doigt sur un truc essentiel : la routine, c’est l’ennemi silencieux de la créativité et du désir. Mais comment on fait pour en sortir sans tout faire exploser ? (Parce que là, je suis à deux doigts de brûler mon agenda…

Florence, tu as encore frappé fort ! La routine, ce fléau moderne… Surtout quand on doit faire semblant d’aimer les dimanches en famille ou les soirées Netflix qui finissent en ronflement. Merci de mettre des mots (et des rires) sur ce que tant de femmes vivent. À quand un spectacle entier sur le sujet ?

Florence, tu as mis des mots sur ce que toutes les femmes ressentent (mais n’osent pas toujours avouer). La routine, c’est épuisant, mais avec toi, c’est soudainement bien plus supportable. À quand le prochain spectacle pour en rire ensemble ?

Florence, tu as encore frappé fort ! La routine, c’est comme un abonnement gym : on paie tous les mois, mais on ne voit jamais les résultats… Sauf que là, au moins, on peut en rire grâce à toi. Merci pour ce moment de légèreté, ça fait du bien de se reconnaître dans tes mots.

Encore une fois, Florence Foresti prouve qu’elle est une des meilleures humoristes de sa génération. Ce sketch sur la routine est un mélange parfait d’humour et de vérité. J’ai adoré chaque seconde, et je me suis reconnue à 100%. Merci pour ce moment de pur plaisir.

Florence a encore frappé fort avec ce sketch. La routine, c’est l’ennemi invisible de tous les couples, et elle le décrit à la perfection. J’ai ri en reconnaissant des situations que je vis au quotidien. Merci pour ce moment de légèreté !

Merci Florence pour ce rappel essentiel : la routine n’est pas une fatalité, mais souvent le résultat d’un système qui attend des femmes qu’elles assument tout, tout le temps. Ton humour dédramatise, mais il pointe aussi du doigt une réalité épuisante. À quand une société où la charge mentale est enfin partagée équitablement ? En attendant, merci de nous faire rire… et réfléchir.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage, les enfants, le boulot et les attentes sociales, on se demande parfois si on n’est pas en train de jouer à un niveau expert de Tetris… sans jamais gagner. Merci de mettre des mots (et des rires) sur ce quotidien qui nous rend toutes un peu folles. PS : La prochaine fois, parle-nous de la routine du ‘soir pyjama à 20h’… là, c’est du vécu.

Florence, tu viens de mettre des mots sur ce que je vis tous les jours : la routine, c’est comme un épisode de série qu’on n’a pas choisi de regarder, mais qu’on est obligée de suivre en boucle… Sauf que là, pas de bouton “skip intro” ! Merci pour ce fou rire salvateur, ça fait du bien de se sentir moins seule dans le “métro-boulot-dodo-oubli-de-soi”.

La routine, c’est comme un mauvais petit ami : on veut le quitter, mais on finit toujours par revenir… Florence, tu as résumé en 5 minutes ce que je vis depuis 10 ans. Merci pour ce moment de pure vérité (et de rire, surtout).

PS : Le passage sur les ‘soirées pyjama’ m’a achevée.

Ce sketch est une thérapie de groupe gratuite ! Entre le ‘je vais ranger ce tiroir’ qui traîne depuis 6 mois et les ‘demain, je me lève tôt’, tu as capté l’essence même de notre combat quotidien. Florence, tu es notre porte-parole officielle.

Le pire, c’est qu’on déteste la routine… mais dès qu’on en sort, on panique ! ‘Pourquoi j’ai dit oui à ce resto ? J’aurais dû rester dans mon canapé avec ma série.’ Florence, tu as le don de mettre des mots sur nos contradictions, et c’est génial. Merci pour ce fou rire.

Mais c’est EXACTEMENT ma vie ! Entre les lessives qui s’accumulent, les ‘qu’est-ce qu’on mange ce soir ?’ et les ‘j’ai encore oublié de prendre RDV chez le coiffeur’, la routine c’est l’ennemi public n°1. Florence, tu devrais faire un spectacle entier sur le sujet, on serait toutes debout.

Florence, tu as encore frappé fort ! Ce sketch résume tellement bien notre rapport à la routine… Entre les ‘je vais me mettre au sport demain’ et les ‘ce soir, c’est soirée raclette en pyjama’, tu nous as comprises à 200%. Merci pour ce moment de rire qui fait du bien.

La routine, c’est comme un hamster dans sa roue : on court, on court, et on se demande pourquoi on ne va nulle part. Florence, tu es notre pause café bien méritée.

J’adore ton humour et ton énergie, Florence ! Par contre, je me demande si la routine n’est pas aussi une question de société : entre les charges mentales, les inégalités domestiques et le manque de temps pour soi, c’est tout un système qu’il faudrait repenser. Mais bon, en attendant, rire de tout ça, c’est déjà un bon début.

Hier, j’ai préparé le même repas pour la troisième fois cette semaine. Mon mari a dit : ‘C’est bon, mais… c’est encore des pâtes ?’ J’ai répondu : ‘Oui, et demain aussi, parce que j’ai plus d’inspiration que pour mon menu que pour ma vie.’ Florence, ton spectacle m’a fait réaliser que je n’étais pas seule dans ce bateau. Merci pour cette bouffée d’oxygène.

Enfin quelqu’un qui ose le dire ! La routine, c’est l’anti-sexe, l’anti-enthousiasme, et surtout l’anti-‘je-me-sens-vivante’. Florence, tu as ce don de transformer nos frustrations en fous rires, et ça, c’est précieux. Merci pour ce spectacle qui fait du bien à l’âme (et au moral des femmes surbookées).

Florence, tu viens de mettre des mots sur mon quotidien : entre les lessives qui se rebellent, les enfants qui oublient leurs affaires et mon conjoint qui me demande où sont ses chaussettes (alors qu’il les a sous les yeux), la routine est mon ennemie jurée ! Merci pour ce moment de rire salvateur, parce qu’on a bien besoin de dédramatiser tout ça.

Après avoir vu ce sketch, j’ai deux envies :
1) Faire un câlin à Florence Foresti pour son génie,
2) Brûler mon planning familial.

Merci d’avoir mis des mots (et des rires) sur notre quotidien de super-héroïnes épuisées.

Florence, tu es la seule à oser dire que la routine, c’est comme un abonnement à un magazine qu’on a jamais demandé : on paie cher, et on se demande pourquoi on renouvèle. Merci pour ce moment de vérité (et de rire).

Ce sketch devrait être diffusé en boucle dans les salles d’attente des gynécos et des psychologues. Florence, tu as capté l’essence même de la condition féminine moderne. Et c’est hilarant.

J’ai envoyé ce sketch à mon mari avec un simple « Regarde ça ». Il a ri jaune. Moi, j’ai pleuré de rire. Florence, tu es notre arme secrète pour survivre au couple. Merci pour ce chef-d’œuvre.

« Les femmes détestent la routine » : le titre est doux, mais le contenu est une bombe atomique d’humour noir. Florence, tu es la preuve vivante qu’on peut rire de tout, même (surtout) de nos vies de merde.

Florence, tu as le don de transformer nos galères quotidiennes en spectacle hilarant. Après ce sketch, je me sens moins seule dans ma lutte contre les chaussettes qui traînent et les lunch boxes oubliées. On veut la suite.

Ce sketch est un miroir tendu à toutes les femmes. La routine, c’est comme un hamster dans sa roue : on tourne, on tourne, et un jour, on se demande pourquoi on a pas tout plaqué pour devenir clown. Merci Florence !

J’ai regardé ce sketch en cachette pendant que mon mari faisait la vaisselle (oui, c’est rare, j’en profite). Résultat : j’ai failli m’étouffer de rire. Florence, tu devrais être remboursée par la Sécu pour service rendu à la santé mentale des femmes !

« Les femmes détestent la routine » : sous-titre alternatif « Comment survivre au quotidien sans tuer son conjoint ». Florence, tu es notre héroïne. Qui d’autre ose dire tout haut ce qu’on pense tout bas ?

Florence, tu as encore frappé fort ! Ce sketch résume ma vie à 100%. Entre le « tu as sorti les poubelles ? » et le « on mange quoi ce soir ? », la routine est notre pire ennemie. Merci pour ce fou rire salvateur !

Florence, tu devrais lancer un mouvement : « Les femmes contre la routine » ! On pourrait partager nos astuces pour casser la monotonie du quotidien. Moi, je commence : j’ai remplacé mon réveil par une playlist aléatoire. Résultat, je me lève en dansant… ou en grognant, mais au moins, c’est jamais pareil ! Qui est partante ?

Très drôle et percutant, comme toujours ! Mais je me demande : et si la routine était aussi une forme de sécurité ? Parfois, c’est rassurant de savoir à quoi s’attendre… Après, il faut trouver le juste milieu entre stabilité et folie douce. Un sujet pour un prochain spectacle, peut-être ?

Oh que oui, la routine… J’ai testé la solution « surprise » avec mon mari : un soir par semaine, on tire au sort une activité (resto, balade, jeu de société). Résultat ? On se chamaille moins, on rit plus, et surtout, on a l’impression de vivre au lieu de subir. Florence, ton article m’a inspiré à continuer sur cette voie.

Cet article est une vraie bouffée d’oxygène. On a tendance à culpabiliser de ne pas aimer la routine, comme si c’était un défaut. Mais en réalité, c’est juste une preuve qu’on est vivantes et qu’on a besoin de nouveauté ! Merci Florence de mettre des mots sur ce que tant de femmes ressentent.

Merci pour ce moment de rire qui me rappelle que je ne suis pas seule à vouloir tout envoyer valser quand mon conjoint me demande encore ce qu’on mange ce soir.

Florence, tu as encore frappé fort ! La routine, c’est comme un régime : on sait que c’est bon pour nous, mais on en peut plus au bout de trois jours.

Florence, tu as un talent incroyable pour aborder des sujets profonds avec légèreté. Cet article sur la routine est un vrai coup de cœur : drôle, intelligent, et tellement vrai. J’ai déjà envoyé le lien à mon mari… pour qu’il comprenne enfin pourquoi je râle parfois ! Merci pour ce moment de complicité.

Encore une fois, Florence Foresti met des mots sur ce qu’on vit toutes sans toujours oser le dire. La routine, c’est épuisant, et tu l’as expliqué avec tellement d’humour que ça devient presque supportable. J’adore ton style, toujours percutant et drôle !

Je viens de lire l’article en pleurant de rire. Florence, tu as le don de transformer nos frustrations quotidiennes en moments hilarants. La routine, c’est vrai, c’est l’horreur… mais au moins, avec toi, on en rit ! Un grand merci pour ce moment de détente.

Comme toujours, Florence Foresti arrive à parler de choses sérieuses avec humour et intelligence. La routine, c’est un vrai fléau, et tu l’as décortiqué avec une justesse qui fait du bien. J’ai partagé l’article à toutes mes copines, on s’est toutes reconnues !

Florence, tu as encore frappé fort avec ce sujet. La routine, c’est vraiment l’ennemi invisible du couple… et des femmes en particulier ! J’ai ri en me reconnaissant dans tes anecdotes, et en même temps, ça fait réfléchir. Merci pour ce moment de légèreté et de lucidité.

La routine, c’est l’ennemi invisible des femmes modernes. Florence, tu l’as démasqué avec ton humour habituel, et ça fait un bien fou. À quand un spectacle entier sur le sujet ? (Je réserve déjà ma place.)

Cet article résonne tellement avec moi. La routine, c’est ce monstre silencieux qui grignote notre énergie, nos rêves, et parfois même notre estime de nous-mêmes. Florence, tu as le don de transformer ces frustrations en quelque chose de léger, mais surtout de visible. Parce que oui, en parler, c’est déjà un premier pas pour se réapproprier son temps et sa liberté. Merci pour ce rappel : la routine n’est pas une fatalité, mais un combat (et un sujet de stand-up génial).

Florence, tu as encore frappé fort ! La routine, c’est comme un abonnement gym qu’on ne résilie jamais : on déteste, mais on finit par s’y faire… jusqu’à ce qu’on craque et qu’on se mette à danser en pyjama à 3h du mat’ pour se rebeller. Merci de mettre des mots (et des rires) sur ce quotidien qui nous rend toutes un peu folles. PS : mon conjoint a ri jaune en lisant l’article, preuve que tu as visé juste.

Je me suis reconnue dans chaque mot… La routine, c’est ce monstre qui vous vole votre énergie sans que personne ne le voie vraiment. Florence, tu as mis des mots sur ce que je vis au quotidien, et surtout, tu m’as fait rire de quelque chose qui me pèse souvent. C’est libérateur. Merci pour ce moment de légèreté et de vérité.

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (dans nos rêves), les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes et le conjoint qui croit que la routine, c’est comme un bon vin (ça se bonifie avec le temps…), tu as résumé ma vie en 5 minutes. Merci pour ce moment de rire salvateur, parce qu’entre nous, sans humour, on craquerait toutes.

Je me suis reconnue à 100% dans ce spectacle. La routine, c’est ce moment où tu réalises que tu as passé 20 minutes à chercher tes clés… alors qu’elles étaient dans la porte depuis le début. Ou quand tu te surprends à rêver de vacances… mais que l’idée de préparer les valises te donne envie de pleurer. Florence, tu as le don de transformer nos petits (grands) désespoirs du quotidien en fous rires. Merci pour ces moments de légèreté qui nous sauvent la journée.

Merci Florence pour ce rappel nécessaire : la routine n’est pas une fatalité, c’est souvent le reflet d’un système qui repose encore trop sur les épaules des femmes. Entre la charge mentale, les tâches invisibles et l’impression de courir après le temps, on finit par détester cette routine… parce qu’elle est rarement partagée équitablement. Ton humour dédramatise, mais il pointe aussi du doigt ce qui doit évoluer. À quand une grève générale du faire-semblant ?

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (enfin, dans nos rêves), les enfants qui oublient systématiquement où se trouve la poubelle, et le conjoint qui découvre l’aspirateur comme un objet mystérieux… La routine, c’est comme un épisode de Koh-Lanta sans les caméras ni la récompense. Merci de nous rappeler qu’on n’est pas seules à trouver ça absurde… et de nous faire rire en attendant que ça change

Florence Foresti a encore frappé fort avec Les femmes détestent la routine. Elle arrive à transformer le quotidien en source de rire, et c’est tellement rafraîchissant. J’ai ri du début à la fin, et surtout, je me suis sentie comprise ! Merci pour ce moment de pure légèreté.

Florence Foresti a raison : la routine, c’est comme un mauvais feuilleton – sauf qu’on ne peut pas zapper. Entre le “tu as vu où sont mes chaussettes ?” (non, mais je sais où sont les tiennes depuis 2018), le “on mange quoi ?” (réponse : tes rêves), et le “tu as pensé à…” (non, jamais), on se demande si le mariage n’est pas juste un contrat pour officialiser l’ennui. Le pire ? Même quand on essaie de casser la routine, on finit par en créer une autre. Bref, on est condamnées à innover… ou à divorcer.

Florence Foresti a encore frappé juste : la routine, c’est comme un abonnement à la salle de sport, on le paie tous les mois, mais on ne voit jamais les résultats. Entre le “tu prends quoi ce soir ?” (réponse : la même chose qu’hier), le “tu as sorti les poubelles ?” (non, mais j’ai pensé très fort à le faire), et le “on fait quoi ce week-end ?” (réponse : survivre), on se demande si la vraie révolution féministe ne serait pas d’inventer un bouton “skip” pour la vie quotidienne. Merci Florence de mettre des mots sur notre épuisement existentiel.

Florence Foresti a encore frappé fort ! Ce sketch résume parfaitement ce que je vis tous les jours : entre les lessives, les repas et les ‘chéri, t’as vu mes chaussettes ?’, elle a tout compris. J’ai ri, mais j’ai aussi eu envie de pleurer… de rire.

Florence Foresti a encore frappé fort avec ce spectacle ! Quand elle parle de la routine, on se sent toutes concernées : entre les tâches ménagères qui n’en finissent pas, les “soirées pyjama” qui se transforment en marathon Netflix, et les “je t’aime” qui deviennent des “t’as sorti les poubelles ?”, elle met le doigt là où ça fait mal… mais en nous faisant mourir de rire. Merci Florence pour ce moment de vérité et de fou rire, c’est exactement ce dont on avait besoin pour dédramatiser notre quotidien de super-héroïnes (non remerciées) !

Après avoir lu ça, on a envie de secouer un peu sa vie : changer les horaires, choisir un jour différent, essayer une nouvelle activité… Merci Florence Foresti et merci à l’auteur de l’article pour ce petit électrochoc plein de peps.

Florence Foresti réussit bien à capturer ce ras-le-bol universel : la routine étouffe, on la sent peser dans les scènes du quotidien. Cet article l’illustre avec justesse, drôle mais pas gratuit, bravo !

J’adore Florence Foresti, mais je trouve que cet article simplifie un peu trop le rapport des femmes à la routine. Certaines y trouvent un réconfort, une forme de stabilité, surtout dans un monde aussi imprévisible. Peut-être que le vrai problème, c’est moins la routine elle-même que le manque de choix qu’on a souvent dans son organisation ? En tout cas, toujours un plaisir de te lire !

Florence, tu as encore frappé juste ! En tant que maman de deux enfants, je peux te dire que la routine, c’est l’ennemi numéro un de la créativité et de la bonne humeur. Entre les lessives, les repas et les devoirs, on finit par oublier qu’on a aussi le droit de s’amuser et de lâcher prise. Merci pour ce rappel hilarant et si vrai – j’ai ri en reconnaissant chaque situation !

Florence, tu as encore frappé fort ! Entre le ménage qui se refait tout seul (dans nos rêves), les enfants qui oublient systématiquement de ranger leurs chaussettes et le conjoint qui croit que “je m’en occupe” est une phrase magique… Tu as résumé en 5 minutes ce que je vis en boucle depuis 10 ans. Merci pour ce moment de rire salvateur, parce qu’avouer qu’on déteste la routine, c’est déjà un peu la briser, non ?

Florence Foresti a encore frappé fort avec ce sketch. Elle arrive à transformer l’exaspération de la routine en un moment de rire libérateur. Qui n’a jamais pesté contre les mêmes tâches ménagères ou les habitudes du couple qui tournent en rond ? Merci pour ce moment de complicité et de légèreté, ça fait du bien de se sentir comprise !

Rire de la routine, c’est déjà une façon de la supporter ! Florence Foresti prouve une fois de plus qu’elle est la reine de l’humour engagé et accessible. Elle aborde des thèmes qui pourraient sembler lourds, mais avec une telle légèreté et un tel talent qu’on en redemande. Merci pour ce moment de complicité et de fou rire, c’est exactement ce dont on avait besoin !

Certains messages du spectacle peuvent sembler contradictoires avec les valeurs féministes que Foresti défend par ailleurs. Entre provocation et stéréotypes, on ne sait pas toujours où elle veut en venir. Dommage, car elle a le potentiel pour faire mieux.

Si certains trouvent que Foresti a perdu de sa superbe, son dernier spectacle a au moins le mérite de soulever des questions sur les attentes sociales envers les femmes. Entre rire et malaise, on ressort avec l’envie de discuter de ces sujets, et c’est déjà une victoire.

Florence Foresti a encore une fois su capturer l’essence des petites frustrations du quotidien, surtout celles des femmes face à la routine. Son humour acéré et son autodérision permettent de rire de situations que beaucoup vivent sans oser en parler. Un spectacle qui libère et qui fait du bien !

Florence a encore frappé fort ! Elle a mis des mots sur ce que je vis tous les jours : entre les lessives, les courses et les “chéri, t’as vu mes chaussettes ?”, la routine est notre pire ennemie. Merci pour ce fou rire salvateur !

Un musicien se plaint :
— « Toujours la même routine : répétitions, concerts, voyages. J’en ai marre ! »
Son ami lui dit :
— « Mais tu adores la musique ! »
Il répond :
— « Oui, mais parfois, j’aimerais bien faire un concert où je joue… du silence. Ça, ce serait nouveau ! »

Un sportif se plaint :
— « Moi, ma routine, c’est : courir, soulever des haltères, manger des protéines, dormir. Tous les jours. C’est usant ! »
Son ami lui répond :
— « Essaie de faire comme moi : je cours après le bus, je soulève des sacs de courses, je mange des frites, et je dors devant la télé. Même résultat, mais en plus fun ! »

Un couple part en vacances. Le mari dit :
– Pourquoi t’as pris 3 valises pour 4 jours ?

Elle répond :
– Une pour les tenues de jour, une pour les tenues du soir… et une pour au cas où je décide de changer de style de vie.

Une femme entre dans un salon de coiffure avec une photo d’une star :
– Je veux exactement cette coupe !

La coiffeuse observe la photo, regarde ses cheveux, puis dit doucement :
– Ok, mais… faut aussi le même coiffeur, le même photographe et le même chirurgien esthétique, hein.

2 commerçants en prêt-à-porter.
L’un va à Paris faire des achats et demande à l’autre de lui envoyer
un télégramme si sa femme fait des siennes. Il reçoit un télégramme
ainsi codé: « Hausse dans la chemise – Stop – Baisse dans la culotte –
Va et vient dans la fourrure ».

Comment appelle-t-on un chat tout terrain ?

Un cat-cat

Pourquoi un ordinateur voudrait-il se gratter?

Parce qu’il a des puces!

Deux copains sont en train de parler de leurs vacances :
– Où vas-tu cette année ?
– Je vais en Espagne dans un petit village de la côte qui s’appelle San José…
– Si tu vas en Espagne, tu ne vas pas à San José mais à San Rosé, car le « J » se prononce « R » là-bas…
– D’accord, mais tu sais j’aime bien l’Espagne : la sangria, le soleil, la musique avec la jota…
– Je viens de t’expliquer qu’en Espagne le « J » se prononce « R »… Tu dois donc dire la Rota et non la Jota.
– Ouais, ouais…
– Et alors le départ, c’est pour quand ?
– En Ruillet.

Un pâtre grec est monté à Athènes pour faire fortune, et a effectivement réussi à devenir l’un des hommes les plus riches du monde. Vingt ans plus tard, alors qu’il vient de se marier avec une star de cinéma, son yacht privé croise au large de son village natal, et il décide d’aller y faire un petit pèlerinage.

Parcourir à pied les collines de son enfance est pour lui un véritable enchantement. Chaque pierre, chaque ruisseau est l’occasion d’une nouvelle histoire, qu’il raconte à sa jeune épouse.
– Et ici, dit-il en désignant un olivier, j’ai fait l’amour pour la première fois…
– En plein air, comme ça ? s’étonne son épouse. Mais personne ne t’a vu ?
– Si… Sa mère avait les yeux fixés sur nous du début à la fin.
– Et elle n’a rien dit ?
– Si : « Bêêêêêêê… »

Je suis sûre que l’humanité va s’éteindre d’ici peu.
– Mon arrière-grand-mère : 12 enfants
– Ma grand-mère : 9 enfants
– Ma mère : 6 enfants
– Moi : 2 enfants
– Mon fils : un chat
– le chat : castré

Ne vous moquez jamais des choix de votre femme… Vous en êtes un

Quel est le bar préféré des Espagnols ?

Réponse : Barcelone.

Deux équipes féminines de foot sont dans un bus à deux étages. Au rez-de-chaussée, une équipe de brunes fait la fête dans tous les sens. Au premier étage, les blondes sont calmes et assises sur leur siège.

Une brune monte à l’étage et demande :
– Mais pourquoi vous ne faites pas la fête ??

Une blonde répond :
– Bah vous avez un chauffeur, nous on en a pas

Florence connait bien ce qui plaît aux femmes.
Prendre du bon temps comme partir en vacances.