et tout le monde s’en fout: les hommes

La charge mentale, ce fardeau invisible, pèse encore majoritairement sur les épaules des femmes. Entre l’organisation du quotidien, les tâches domestiques et la gestion émotionnelle du foyer, l’égalité reste un leurre. Pourtant, les hommes ne sont pas absents : ils sont souvent simplement… absents de la réflexion. « C’est toi qui t’en occupes mieux », « Je ne sais pas où sont les lessives »… Des phrases qui en disent long sur un déséquilibre persistant.

Et si la solution passait par une prise de conscience collective ? Parler, partager les responsabilités sans attendre qu’on leur tende une to-do list, et surtout, écouter. Car l’émancipation féminine ne sera complète que lorsque les hommes comprendront que s’impliquer, ce n’est pas « aider », mais participer. Le féminisme n’est pas une guerre, mais une invitation à construire un monde où chacun·e respire. Alors, messieurs, à quand votre révolution silencieuse ?

11 comments

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Lorelei

Je prends note et je m’engage à faire mieux. Parce que oui, c’est facile de se dire “ce n’est pas moi”, mais en réalité, on a tous un rôle à jouer. Merci pour ce rappel à l’ordre, même si c’est un peu violent pour l’ego…

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Samira

Je kiffe le ton de l’article : direct, sans détour, mais avec une pointe d’humour qui rend le message plus digeste. Parce qu’au fond, on a tous besoin de se remettre en question, hommes comme femmes !

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Cordélia

OK, c’est cash, mais c’est vrai. Après, il ne faut pas non plus tomber dans la haine des hommes – l’idée, c’est de progresser ensemble, non ? Un article qui fait mal, mais qui fait du bien.

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Sabrina

Enfin quelqu’un qui le dit haut et fort ! J’en ai ras-le-bol de devoir justifier pourquoi certains comportements sont inacceptables. Merci pour ce texte qui libère la parole et qui, je l’espère, fera réagir.

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Chiara

Je me demande parfois si on est vraiment conscients de l’impact de nos actions (ou inactions) au quotidien. Cet article est un bon électrochoc. À méditer, et à partager !

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Azalée

C’est exactement ça, le problème : on minimise, on ignore, et tout le monde s’en fout… jusqu’à ce que ça nous touche personnellement. Merci pour ce coup de projecteur sur des comportements qu’on laisse trop souvent passer.

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Sophie

Attention à ne pas généraliser non plus… Mais bon, je reconnais que le problème existe. L’article est bien écrit, même si ça pique un peu les yeux. Peut-être qu’un peu plus de nuances aiderait à faire passer le message sans braquer ?

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Anne

Je vais partager ça à tous les hommes de mon entourage, histoire qu’ils comprennent enfin pourquoi on en a marre. Merci pour ce texte percutant et sans filtre. Parfois, il faut des mots durs pour faire bouger les choses.

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Justine

Encore un article qui tape là où ça fait mal. Le pire, c’est que je me reconnais dans certains points… Pas fier, mais bon, au moins c’est dit. Faut qu’on arrête de se voiler la face, les gars. (Et oui, je parle aux hommes, moi aussi.)

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Amica

Wow, cet article m’a fait rire jaune… et réfléchir. C’est triste de constater à quel point ces comportements sont normalisés. Merci pour ce rappel bien nécessaire, même si le titre résume malheureusement trop bien la réalité. On en parle assez ?

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Margaud

Un homme entre dans un bar avec une grenouille sur l’épaule. Le barman le regarde bizarrement.
— Eh bien, d’où tu sors ça ?
— C’est un crapaud magique, répond l’homme. Si tu lui donnes un euro, il peut te montrer un tour incroyable.
Le barman sceptique donne un euro. La grenouille saute sur le comptoir, se transforme en jolie fille, fait un bisou au barman, puis redevient grenouille.
Le barman est bluffé : « Pourquoi tu la gardes grenouille alors ? »
— Parce que je préfère garder mon euro.

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