Akim Omiri : « Ceux qui ont l’immunité », une chronique qui dérange et fait rire

Akim, tu as encore frappé fort. Ce concept d’“immunité chronique” est une clé pour comprendre beaucoup de comportements autour de nous (et en nous-mêmes !). J’ai adoré la façon dont tu mélanges anecdotes personnelles et réflexion plus large. Un texte qui donne à réfléchir et qui fait du bien. Merci…

Ton style est toujours aussi direct et efficace. J’aime beaucoup la façon dont tu décortiques les mécanismes psychologiques avec humour et justesse. Ça fait du bien de lire des textes qui ne tombent pas dans le moralisme facile. Hâte de lire la suite de tes réflexions !

Je me suis reconnu·e à plusieurs reprises en lisant cet article. C’est fou comme on peut se construire une carapace sans même s’en rendre compte. La question que tu poses à la fin est super pertinente : et si cette immunité était aussi une prison ? À méditer, et à partager sans modération !

Akim, encore une fois, tu as mis des mots sur une réalité que beaucoup vivent sans oser en parler. Cette idée d’“immunité chronique” face aux critiques ou aux échecs, c’est tellement vrai… Ça donne envie de réfléchir sur notre propre rapport à l’échec. Merci pour ce texte qui fait du bien et qui déculpabilise !

C’est rare de trouver quelqu’un qui arrive à nous faire rire de nos propres travers. Avec toi, c’est toujours un régal. L’immunité chronique, c’est un peu notre bouclier invisible, et tu l’as décrit à la perfection. Merci pour ce moment de détente et d’introspection !

Akim, tu as encore frappé fort. Ce texte résume à lui seul pourquoi j’aime tant ton style : tu parles de choses universelles avec un humour qui désamorce tout. L’immunité chronique, c’est un peu la survie en société, et tu l’as parfaitement captée. Partagé sans hésiter !

Lire cet article, c’est comme se regarder dans un miroir… mais en version comique ! L’immunité chronique, c’est un peu notre super-pouvoir à tous, non ? Merci pour ce moment de légèreté qui fait du bien, surtout en ce moment. À quand le prochain ?

J’adore la façon dont tu transformes des sujets sérieux en moments de rire et de réflexion. Ce passage sur l’immunité chronique, c’est exactement ce que je vis avec ma famille : on finit par tout prendre avec philosophie, même les pires remarques. Un vrai talent pour allier humour et profondeur, bravo !

Akim, encore une fois, tu as mis des mots sur une réalité que beaucoup vivent sans oser en parler. L’idée d’une « immunité chronique » face aux critiques ou aux échecs, c’est tellement vrai… Ça donne envie de se remettre en question, mais aussi de sourire devant notre propre hypocrisie. Merci pour ce texte percutant et toujours aussi drôle !

Merci, Akim Omiri, pour cette chronique qui résume tout ce qui me met en rage. ‘Ceux qui ont l’immunité’ est un rappel nécessaire que certains jouent avec des règles différentes. Son humour est une arme redoutable, et j’adore ça. À partager sans modération.

En tant qu’étudiant en droit, j’adore quand l’humour se met au service de la critique sociale. Omiri décrypte avec brio les mécanismes de l’immunité, et son ton décalé rend le sujet encore plus percutant. Une chronique qui donne envie de se battre pour plus de justice… ou au moins de rire de l’absurdité du système.

Je ne m’attendais pas à rire en écoutant parler d’immunité et de privilèges, mais Akim Omiri a ce don : il rend les sujets sérieux accessibles et drôles. Sa chronique est un coup de poing dans la complaisance. À écouter d’urgence, surtout si vous en avez marre des ‘intouchables’.

Omiri est un génie. Il prend un sujet grave, l’immunité des puissants, et il en fait une chronique hilarante sans jamais perdre de vue l’essentiel : dénoncer l’injustice. Son mélange d’humour noir et d’engagement est unique. Après ça, on ne voit plus les infos de la même façon.

Akim Omiri a encore frappé fort ! Avec ‘Ceux qui ont l’immunité’, il met des mots sur ce qu’on pense tous tout bas : certains semblent au-dessus des lois. Son humour cinglant et son franc-parler font mouche à chaque phrase. Enfin quelqu’un qui ose dire ce qu’on n’ose même pas penser.