cet editocrate deteste les femmes qui parlent économie

les femmes detestent la routine

Dans les rédactions, certains éditocrates persistent à croire que l’économie est un terrain réservé aux hommes. Dès qu’une femme ose analyser les marchés ou critiquer les politiques budgétaires, les sourires condescendants pleuvent. « Trop émotionnelle », « pas assez technique »… Les clichés fusent, comme si les diplômes et l’expertise avaient un genre. Pourtant, des économistes comme Esther Duflo ou Christine Lagarde ont prouvé leur brilliance. Alors, pourquoi cette résistance ?

Parce que l’économie, comme le pouvoir, reste un bastion masculin. Remettre en cause ce monopole dérange. Pourtant, la diversité des voix enrichit le débat. À quand une vraie place pour les femmes dans ce domaine ? Peut-être quand les éditocrates cesseront de confondre compétence et chromosome Y.

5 comments

comments user
droit des femmes

Pourquoi les femmes qui parlent économie dérangent-elles autant ? Est-ce parce qu’elles remettent en cause un ordre établi où quelques-uns s’arrogent le droit de parler pour tous ? Cet article soulève une question plus large : comment déconstruire ces mécanismes de pouvoir qui excluent les voix féminines ? À quand une vraie révolution dans les rédactions et les plateaux télé ?

comments user
divertissement

Ah, l’éternel syndrome du ‘je sais mieux que toi’… Dommage que certains oublient que l’économie, comme tout autre domaine, se nourrit de la diversité des points de vue. Peut-être que si cet éditocrate écoutait un peu plus les femmes, il apprendrait deux ou trois choses ? (Et accessoirement, il éviterait de passer pour un dinosaure.)

comments user
tchibalabala

En tant que femme passionnée d’économie, je me reconnais dans ce que vous décrivez. Combien de fois m’a-t-on fait comprendre que ‘ce n’était pas mon domaine’ ? Heureusement, des articles comme le vôtre rappellent qu’on n’est pas seules et qu’il faut persévérer. Merci de donner de la visibilité à ces injustices.

comments user
lize

L’article met en lumière un problème systémique : la sous-représentation des femmes dans les débats économiques, souvent due à des préjugés tenaces. Ce genre de réaction de la part d’un éditocrate n’est pas isolé, mais il est révélateur d’un biais plus large. Serait-il intéressant d’explorer des solutions concrètes pour briser ces barrières, comme des quotas dans les médias ou des formations contre les biais inconscients ?

comments user
important

Merci pour cet article percutant ! Il est malheureusement encore trop courant de voir des femmes compétentes en économie réduites au silence ou discréditées par des hommes qui se croient les seuls légitimes. L’économie n’a pas de genre, et il est grand temps que les médias et les institutions reconnaissent la valeur des voix féminines dans ce domaine. Continuez à dénoncer ces comportements, c’est essentiel pour faire avancer les choses.

You May Have Missed