Catégorie : femmes

  • Bérengère Krief : «Pas facile de coucher avec une femme», quand l’humour brise les tabous

    Dans son sketch culte « Pas facile de coucher avec une femme », Bérengère Krief aborde avec autodérision et finesse les clichés et les attentes qui pèsent sur la sexualité féminine. L’humoriste, connue pour son franc-parler et son engagement en faveur d’une sexualité décomplexée, y dépeint les malentendus, les pressions sociales et les injonctions paradoxales qui rendent parfois les relations intimes plus compliquées qu’il n’y paraît.

    À travers son regard acéré et son ton décalé, Krief questionne les normes et les jugements qui entourent la vie sexuelle des femmes. Elle rappelle que, derrière les apparences, se cachent souvent des insécurités, des attentes irréalistes et une quête permanente d’équilibre entre désir et liberté. Son approche, à la fois drôle et percutante, invite à repenser la place du plaisir et de l’intimité dans une société encore marquée par des tabous tenaces.

    Avec ce sketch, Bérengère Krief confirme son talent pour transformer des sujets souvent considérés comme sensibles en moments de rire et de réflexion. Une fois de plus, elle prouve que l’humour peut être un outil puissant pour libérer la parole et déconstruire les préjugés.

  • debout les femmes (la chronique d’aymeric lompret)

    Debout les femmes : quand Aymeric Lompret s’engage avec humour et lucidité

    Dans sa chronique « Debout les femmes », Aymeric Lompret aborde avec son style décalé et percutant un sujet aussi sérieux qu’urgent : la place des femmes dans notre société. À travers une anecdote personnelle – son refus d’acheter des slips chez H&M en raison de l’exploitation des Ouïghours –, l’humoriste choisit de soutenir le documentaire de François Ruffin, « Debout les femmes ». Ce geste symbolique illustre son engagement pour une consommation responsable et solidaire, tout en mettant en lumière les combats féministes actuels.

    Avec son ton à la fois drôle et engagé, Aymeric Lompret rappelle que l’humour peut être un puissant vecteur de prise de conscience. Sa chronique, diffusée sur France Inter, montre comment l’art et la culture peuvent servir de leviers pour interroger nos choix quotidiens et nos valeurs. Une invitation à réfléchir, à agir, et surtout, à se tenir debout, ensemble

  • akim omiri (les feministes 2017)

    Akim Omiri : quand l’humour questionne les stéréotypes dans « Les Féministes »

    Avec son sketch « Les Féministes », Akim Omiri prouve une fois de plus que l’humour peut être à la fois hilarant et profondément engagé. Ce court-métrage, diffusé en 2017, met en scène l’humoriste dans une situation cocasse où il incarne un homme confronté à des féministes militantes. À travers une exagération comique des clichés et des malentendus, Omiri aborde avec finesse les tensions entre les genres et les préjugés qui persistent dans notre société.

    Ce qui frappe dans ce sketch, c’est la capacité d’Akim Omiri à utiliser l’autodérision pour désamorcer les conflits et inviter le public à réfléchir. Il ne se contente pas de faire rire : il sensibilise. En jouant sur les attentes et les réactions des personnages, il révèle l’absurdité de certains comportements et la nécessité d’un dialogue sincère entre hommes et femmes.

    Le style d’Omiri, à la fois énergique et nuancé, permet de traiter des sujets sensibles sans tomber dans la polémique. Son approche, souvent qualifiée de « corrosive » mais toujours bienveillante, rappelle celle des grands humoristes engagés. « Les Féministes » est un exemple parfait de son talent pour transformer une simple scène comique en une réflexion collective sur l’égalité et le respect mutuel.

    En définitive, Akim Omiri montre que l’humour, lorsqu’il est intelligent et généreux, peut être un outil puissant pour briser les barrières et ouvrir les esprits. Une leçon de rire et de tolérance, à savourer sans modération

  • magasin réservé aux femmes (l’appel trop con)

    magasin réservé aux femmes (l’appel trop con)

  • cocovoit (droits des femmes)

    Cocovoit – Spécial Mansplaining / Droits des femmes

  • couple: pourquoi les femmes sont les grandes perdantes

    couple: pourquoi les femmes sont les grandes perdantes

  • Artus: scene de la pomponette dans la femme du boulanger

    Artus: scene de la pomponette dans la femme du boulanger

  • petite histoire du droit des femmes

    Longtemps considérées comme des mineures, les femmes françaises ont dû se battre pour obtenir des droits fondamentaux. Dès le XVe siècle, l’accès à l’éducation leur était refusé, et le Code civil de 1804 les plaçait sous l’autorité de leur mari. Pourtant, des figures comme Olympe de Gouges, auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne en 1791, ont marqué l’histoire en revendiquant l’égalité.

    Au XXe siècle, les avancées se multiplient : en 1907, les femmes mariées obtiennent le droit de disposer de leur salaire, et en 1944, elles gagnent enfin le droit de vote et d’éligibilité, grâce à une ordonnance du général De Gaulle. Le 29 avril 1945, 12 millions de Françaises votent pour la première fois lors des élections municipales.

    Les décennies suivantes voient d’autres progrès majeurs : la loi Veil en 1975 légalise l’IVG, et en 1983, la loi Roudy pose le principe d’égalité professionnelle. Malgré ces avancées, des inégalités persistent, comme l’écart salarial ou la sous-représentation dans les instances décisionnelles. Aujourd’hui, le combat pour une égalité réelle continue, porté par des mouvements comme #MeToo, rappelant que l’histoire des droits des femmes s’écrit encore chaque jour.

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