baptiste lecaplain le piratage et les films

Louis Sarkozy : chronique de Thomas VDB

Le piratage des films, un sujet aussi sensible qu’incontournable, trouve un écho particulier dans l’univers de Baptiste Lecaplain. Avec son humour décalé, l’artiste aborde souvent les travers de notre société, et le piratage en est un parfait exemple. Entre facilité d’accès et respect des créateurs, le débat fait rage. Lecaplain, maître de l’autodérision, pourrait en faire un sketch hilarant : « Télécharger un film, c’est comme voler un pain… mais sans la honte. » Pourtant, derrière les rires, se cache une réalité économique cruelle pour le cinéma.

Le piratage, c’est aussi l’illusion d’une culture gratuite, alors que chaque clic illégal prive les artistes de leur dû. Et si, plutôt que de pirater, on soutenait ceux qui nous font rire ou rêver ? Après tout, comme le dirait peut-être Lecaplain : « Un film volé, c’est un peu comme un bisou volé… sauf que là, c’est pas romantique, c’est juste triste. »

Et vous, plutôt streaming légal ou aventure en eaux troubles ?

5 comments

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pirate des caraibbe

Très bon article ! Tu pourrais creuser le sujet des alternatives légales peu connues (comme les salles de cinéma associatives ou les festivals en ligne) ? Beaucoup de gens ignorent qu’il existe des moyens d’accéder à des films de qualité sans recourir au piratage.

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je suis seul

Baptiste, tu devrais faire un spectacle sur le piratage : « Comment télécharger un film en 2025 sans se faire hacker par un virus plus vieux que toi ». Plus sérieusement, ton point sur la qualité des versions piratées m’a fait rire… et réfléchir.

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araigné

Intéressant, mais je trouve que tu minimises un peu l’impact économique du piratage sur les petits studios. Les blockbusters s’en sortent, mais les films indépendants en souffrent énormément. Peut-être qu’une solution serait de mieux rémunérer les créateurs via les plateformes légales ?

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nord

Je me souviens avoir piraté des films quand j’étais étudiant, faute de moyens. Aujourd’hui, avec les abonnements à prix raisonnables, je me demande si le problème ne vient pas aussi d’un manque d’éducation sur les conséquences réelles du piratage. Merci d’aborder ce sujet sans jugement, c’est rafraîchissant.

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laxatif

Baptiste, ton analyse sur le piratage est vraiment pertinente, surtout quand tu parles de l’accessibilité des œuvres. En tant que spectateur, je me suis souvent demandé pourquoi certains films mettent des mois (voire des années) à être disponibles légalement en France, alors qu’ils sont déjà sortis ailleurs. Est-ce que tu penses que les plateformes pourraient accélérer leurs sorties pour limiter le piratage ?

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