Auteur/autrice : mesdelires

  • princesse rebelle : film complet en français (aventure)

    « Princesse Rebelle », connu sous le titre original « Brave », est un film d’animation Pixar sorti en 2012. Réalisé par Mark Andrews et Brenda Chapman, ce conte merveilleux nous plonge dans les Highlands d’Écosse médiévale, où vit Mérida, une princesse aussi courageuse qu’indépendante. Contrairement aux princesses traditionnelles, Mérida refuse de se conformer aux attentes de sa famille et de la société. Son désir de liberté et son refus de se marier déclenchent une série d’événements magiques, notamment la transformation de sa mère en ourse, qu’elle devra sauver pour rétablir l’équilibre dans son royaume.

    Ce film marque une rupture avec les stéréotypes des contes de fées classiques. Mérida incarne une héroïne moderne, déterminée à tracer son propre chemin et à prouver que le courage ne réside pas seulement dans la force physique, mais aussi dans la persévérance et l’amour familial. La réalisation technique est sublime, avec une attention particulière portée aux paysages écossais et à la chevelure rousse et rebelle de Mérida, symbole de son caractère indomptable.

    « Princesse Rebelle » est une ode à l’audace, à la liberté et à la famille, qui séduit autant les enfants que les adultes. Une aventure captivante, à découvrir ou redécouvrir en famille.

  • mangez les riches : chronique de florence mendez

    Dans sa chronique percutante, Florence Mendez s’empare de l’expression « Mangez les riches » pour dénoncer les inégalités criantes qui traversent notre société, notamment à travers le prisme de l’alimentation. L’idée n’est pas nouvelle : depuis Rousseau, elle symbolise la révolte contre un système où une minorité s’enrichit sur le dos du plus grand nombre. Aujourd’hui, cette métaphore prend un sens littéral. Notre assiette reflète les privilèges et les injustices : des festins de ministres aux burgers à la truffe, en passant par l’accaparement des terres et les scandales sanitaires, la nourriture est à la fois un plaisir et un instrument de pouvoir.

    Nora Bouazzouni, dans son essai éponyme, rappelle que « manger les riches », c’est s’attaquer aux privilèges, déconstruire les mécanismes qui font de l’alimentation un marqueur de classe. Entre agro-business, Nutri-score et grossophobie, les plus démunis sont souvent laissés sur leur faim, tandis que les élites se gavent, littéralement et symboliquement. La lutte des classes passe désormais par l’assiette : et si, plutôt que de subvenir aux symptômes, on s’attaquait à la maladie ?

    Florence Mendez, en reprenant ce slogan provocateur, nous invite à repenser notre rapport à la nourriture comme un acte de résistance. Car manger, c’est aussi choisir de quel monde on veut être le complice ou l’adversaire.

  • l’appli la plus anti-homme: jusqu’ou ira la guerre des sexes?

    En 2025, la polarisation entre les genres n’a jamais été aussi visible, notamment chez les jeunes générations. Selon le dernier rapport du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, les femmes se déclarent de plus en plus féministes, tandis que les hommes, en particulier ceux de moins de 35 ans, adoptent des discours masculinistes, voire antiféministes. Cette fracture s’illustre aussi à travers des applications et des plateformes numériques qui, sous couvert d’humour ou de provocation, renforcent les stéréotypes et les tensions entre les sexes.

    Certaines applications, souvent présentées comme des espaces de « libre expression », sont accusées de promouvoir une vision essentialiste des rôles sociaux, où les hommes et les femmes seraient cantonnés à des comportements prédéfinis par leur biologie. Ces outils, parfois créés par des groupes conservateurs ou extrémistes, exploitent les frustrations et les peurs pour alimenter une rhétorique de confrontation. Le résultat ? Une radicalisation des positions, où le dialogue devient impossible et où chaque camp se replie sur ses certitudes.

    Les réseaux sociaux et les forums en ligne amplifient ce phénomène. Des communautés comme les « incels » (célibataires involontaires) ou certains groupes masculinistes y trouvent un écho, tandis que les féministes, de leur côté, dénoncent une remise en cause des acquis en matière d’égalité. Pourtant, comme le souligne Magali Lafourcade, spécialiste des questions de genre, « le féminisme et le masculinisme ne sont pas symétriques : l’un lutte pour l’égalité, l’autre pour le maintien d’un ordre social inégalitaire ».

    Face à cette escalade, la question se pose : jusqu’où irons-nous ? Les applications et les algorithmes, en jouant sur nos biais et nos émotions, risquent-ils de transformer une simple polarisation en un conflit durable ? La réponse dépendra de notre capacité à promouvoir un numérique plus inclusif, où l’égalité ne serait pas un sujet de division, mais un objectif commun.

  • pourquoi les trains roulent a gauche?

    En France, les trains circulent à gauche, contrairement aux voitures qui roulent à droite. Cette particularité remonte au XIXe siècle, lorsque le chemin de fer s’est développé. L’influence britannique a joué un rôle clé : le Royaume-Uni, pionnier du réseau ferré, avait déjà adopté la circulation à gauche pour ses trains, en cohérence avec la circulation routière de l’époque. La France, comme d’autres pays européens (Belgique, Suède, Italie, Suisse), a suivi ce modèle, bien que les voitures y roulent à droite.

    Une exception notable existe en Alsace-Moselle, où les trains circulent à droite. Cette particularité s’explique par l’histoire : annexée par l’Allemagne après 1870, la région a conservé le système ferroviaire allemand, où les trains roulent à droite, même après son retour à la France en 1918. Changer le sens de circulation aurait été trop coûteux et complexe.

    La circulation à gauche offre aussi un avantage pratique : les conducteurs, majoritairement droitiers, pouvaient sortir la tête par la gauche pour effectuer des manœuvres en toute sécurité, sans risque de collision avec un train arrivant en sens inverse. Cette tradition, bien qu’ancienne, reste une norme stable en France, sauf exceptions locales ou adaptations techniques.

  • elle paye une pute a son mec

    Paris, le 19 octobre 2025 — Dans un monde où les tabous s’effritent et où les relations amoureuses se réinventent, certains couples osent tout pour raviver la flamme. C’est le cas de Sophie, 32 ans, qui a décidé de franchir une ligne rouge en offrant à son compagnon une soirée avec une escort. Une initiative qui interroge : jusqu’où peut-on aller pour sauver son couple ?

    Sophie et Thomas, ensemble depuis cinq ans, traversaient une période de routine. Les disputes s’enchaînaient, l’intimité s’effilochait. Un soir, après une discussion houleuse, Sophie lance : « Et si on essayait quelque chose de radical ? » Ni une ni deux, elle contacte une agence d’escorts haut de gamme et réserve une soirée pour Thomas. « Je voulais lui prouver que je l’aimais assez pour accepter ses fantasmes, même si ça me déchirait », confie-t-elle.

    Pour Thomas, la surprise fut totale. « Au début, j’ai cru à une blague. Puis j’ai réalisé qu’elle était sérieuse. C’était à la fois excitant et terrifiant », avoue-t-il. La soirée s’est déroulée dans un hôtel luxueux, avec des règles strictes : pas de baiser, pas de sentiments. « C’était purement physique, presque clinique », précise-t-il.

    Cette expérience a-t-elle sauvé leur couple ? « On en parle encore, c’est devenu notre secret inavouable. Ça nous a rapprochés, paradoxalement », sourit Sophie. Pourtant, tous les couples ne sont pas prêts à franchir ce cap. « C’est un jeu dangereux, qui peut blesser profondément », met en garde la psychologue Claire Martin. « La confiance se reconstruit difficilement après ce genre d’épreuve. »

    Cette histoire soulève une question : dans un couple, jusqu’où peut-on aller pour satisfaire l’autre ? Entre audace et respect, la frontière est mince. Une chose est sûre : Sophie et Thomas ont choisi de vivre leur amour sans limites… ou presque.

  • dissolution censure: les medias pavent la voie du RN vers l’elysee

    Depuis la dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, la France vit une crise politique sans précédent. Les élections européennes, marquées par la victoire écrasante du Rassemblement National (RN), ont révélé une fracture profonde entre les élites et le peuple, et une défiance croissante envers les institutions. Les médias, souvent accusés de polariser le débat, jouent un rôle ambigu : entre information et sensationnalisme, certains observateurs estiment qu’ils contribuent, malgré eux, à normaliser le discours du RN en lui offrant une visibilité disproportionnée.

    La stratégie de Jordan Bardella, président du RN, repose sur une critique systématique du « système » et une promesse de rupture. Les sondages, largement relayés, placent désormais son parti en tête des intentions de vote, alimentant l’idée d’une victoire possible aux prochaines législatives. Pourtant, la dissolution, présentée comme un remède à l’ingouvernabilité, pourrait bien précipiter l’arrivée du RN au pouvoir, comme le craignent plusieurs analystes.

    Face à cette situation, la question se pose : les médias, en amplifiant les tensions et en mettant en scène l’inévitabilité du RN, ne participent-ils pas à son ascension ? La réponse dépendra de la capacité des Français à distinguer l’information de la manipulation, et à choisir un projet de société plutôt qu’un vote de colère.

  • constance: faire un sketch avec un poney

    En 2011, Constance, humoriste révélée par l’émission « On n’demande qu’à en rire », marque les esprits avec un défi audacieux : réaliser un sketch en direct… avec un poney. Ce 19ème passage, diffusé le 26 avril 2011, est resté dans les annales de l’humour télévisé. Le jury, composé de Laurent Ruquier, Jean Benguigui, Catherine Barma et Jean-Luc Moreau, lui attribue une note moyenne de 17/20, tandis que les téléspectateurs lui accordent la même note, saluant son talent et son originalité.

    L’idée de ce sketch naît d’un pari lancé par Laurent Ruquier. Constance, connue pour son humour décalé et ses personnages hauts en couleur, relève le défi avec brio. Le poney, prénommé Black, devient malgré lui une star éphémère de l’émission. Constance avait d’ailleurs exprimé son envie d’intégrer un poney dans un sketch depuis des mois, et Catherine Barma finit par exaucer son vœu lors de son dixième passage.

    Ce moment, à la fois drôle et inattendu, illustre parfaitement l’audace et la créativité de Constance, qui a su transformer une contrainte en une performance mémorable. Aujourd’hui encore, ce sketch est cité comme l’un des plus marquants de l’émission, et reste un exemple d’humour spontané et inventif.

  • la crise chez les grolandais

    Le Groland, cette micronation fictive et déjantée, n’est pas épargnée par les crises. Entre ses forêts impénétrables, ses montagnes de bière et ses habitants aussi attachants que loufoques, le pays traverse une période troublée. Les Grolandais, connus pour leur joie de vivre, leur hospitalité légendaire et leur lâcheté assumée, voient leurs valeurs mises à rude épreuve.

    La crise économique frappe fort : le Mamelon pointu, point culminant du pays, est menacé par des projets immobiliers douteux, et le Gro, fleuve sacré, se tarit à cause de la surconsommation de bière locale. Les majorettes fossiles, symbole de l’inintelligence ancestrale, sont devenues une monnaie d’échange sur le marché noir. Pire encore, les paysans, autrefois fiers de leurs dents en or héritées de la Seconde Guerre mondiale, doivent désormais les vendre pour survivre.

    Face à cette situation, le gouvernement grolandais, toujours aussi inefficace, propose des solutions aussi innovantes qu’absurdes : remplacer la monnaie nationale par des capsules de bière, ou encore déclarer la lâcheté comme sport national. Les Grolandais, eux, restent fidèles à leur devise : « Joie, hospitalité, lâcheté ». Après tout, comme le disait le Duc Platisphile Ier de Salengro, « Euj fais qu’est ce que je voul ! »

    Une chose est sûre : au Groland, même la crise est une comédie. Et si le pays sombre, ce sera au moins dans le rire et la bière à 12°.

  • GiedRé : « Des droits de l’homme aux prud’hommes », une chanson engagée sur la précarité professionnelle

    Avec sa chanson « Des droits de l’homme aux prud’hommes », GiedRé aborde avec humour et lucidité un sujet universel : la peur de perdre son emploi. Diffusée notamment sur France Inter, cette création met en lumière les difficultés rencontrées par les salariés face à des décisions juridiques parfois non respectées par le service public, les conduisant souvent devant les prud’hommes. Le ton est à la fois léger et percutant, typique du style de l’artiste, qui utilise la musique pour parler de réalités sociales souvent taboues.

    GiedRé, connue pour ses textes décalés et ses mélodies entraînantes, rappelle que la précarité économique touche tout le monde. Elle évoque aussi, avec ironie, la nécessité de faire des économies et la recherche d’argent « peut-être dans le compte en banque de Bernard Arnault ». Cette chanson, devenue virale, résonne particulièrement dans un contexte où l’insécurité professionnelle est une préoccupation majeure pour beaucoup de Français.

    À travers cette œuvre, GiedRé prouve une fois de plus que la chanson peut être un outil puissant pour sensibiliser et faire réfléchir, tout en gardant une touche d’humour et de légèreté. Une performance à découvrir absolument pour ceux qui aiment l’art engagé et accessible à tous{« prompt »: « A playful and engaging illustration of a person singing at a piano, with a courtroom gavel and a sign saying ‘Prud’hommes’ in the background. The style is light-hearted, colorful, and slightly cartoonish, reflecting the humorous and social tone of GiedRé’s song ‘Des droits de l’homme aux prud’hommes’. »}

  • Street Fighter : L’Ultime Combat

    Sorti en 1994, « Street Fighter : L’Ultime Combat » est une adaptation cinématographique du mythique jeu vidéo Street Fighter II. Réalisé par Steven E. de Souza, le film met en scène Jean-Claude Van Damme dans le rôle du colonel Guile, aux côtés de Raul Julia (M. Bison) et Ming-Na Wen (Chun-Li). L’intrigue suit Guile et une équipe de combattants d’exception, déterminés à arrêter le tyran Bison, qui menace de déclencher une guerre mondiale en échange d’une rançon de 20 milliards de dollars.

    Bien que le film ait été vivement critiqué pour son scénario simpliste, ses décors kitsch et son casting parfois déroutant, il est devenu un objet culte pour les fans de la licence et des nanars des années 90. Les amateurs y retrouvent les personnages emblématiques du jeu, comme Ryu, Ken, ou encore Dhalsim, dans une aventure mêlant action, humour involontaire et combats spectaculaires.

    Aujourd’hui, « Street Fighter : L’Ultime Combat » reste un symbole de l’époque où les adaptations de jeux vidéo peinaient à convaincre la critique, mais savent encore séduire un public nostalgique. Un film à découvrir pour son ambiance unique et son statut de phénomène pop culture.