Parcoursup en maternelle – La chronique d’Aymeric Lompret dans « La dernière »
Auteur/autrice : mesdelires
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Parcoursup en maternelle
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Affaires un tout petit peu sensibles
Affaires un tout petit peu sensibles – La chronique de Constance
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urgence aux urgences
Cliquez ici pour tchatter avec elle urgence aux urgences (parodie de « Partenaire particulier » par Anthony Joubert
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chanson pour les smicards
Cliquez ici pour tchatter avec elle chanson pour les smicards: ( parodie de » Ah… Si tu pouvais fermer ta gueule. » )
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Gérard Depardieu
Cliquez ici pour tchatter avec elle « Gérard Depardieu » : la chronique d’Aymeric Lompret dans « La dernière »
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Les chevaliers du fiel: Les employés municipaux
Dans chaque ville, ils sont là, ces mystérieux travailleurs en tenue fluo, armés de balais, de panneaux et d’un sourire parfois crispé. Les employés municipaux : des super-héros du quotidien ou des experts en pause café ? Les Chevaliers du Fiel, toujours à l’affût des absurdités de la vie locale, pourraient en faire un sketch légendaire.
Imaginez : un agent municipal qui lutte contre une feuille morte rebelle, un autre qui installe un panneau « Travaux » devant un trou… vide. Et que dire de ceux qui disparaissent mystérieusement entre 12h et 14h ? Leur mission secrète : sauver le monde, ou simplement éviter la cantine de la mairie ?
Entre les rumeurs de « on ne les voit jamais travailler » et les réalités d’un métier souvent ingrat, une chose est sûre : sans eux, nos trottoirs ressembleraient à des jungles urbaines et nos poubelles à des monuments historiques. Alors, la prochaine fois que vous croiseriez un employé municipal, offrez-lui un sourire (ou au moins un café). Après tout, ils méritent bien leur statut de légendes locales!
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Si je vote blanc : l’humour comme exutoire politique
En 2017, l’humoriste Anthony Joubert publiait « Si je vote blanc », une parodie de la chanson « Un homme debout ». Ce titre, loin d’être une simple blague, résonne comme un cri du cœur pour tous ceux qui, déçus par la classe politique, envisagent le vote blanc comme une forme de protestation silencieuse. À travers des paroles mordantes et un ton décalé, Joubert met en lumière l’absurdité d’un système où les promesses électorales s’envolent aussi vite que les bulletins dans l’urne.
Le vote blanc, souvent perçu comme un geste de désengagement, devient sous sa plume un acte de résistance. « Si je vote blanc, c’est pas par hasard, c’est parce que j’ai plus confiance en personne », chante-t-il, résumant en une phrase le sentiment de trahison éprouvé par de nombreux citoyens. Cette parodie, bien que comique, soulève une question sérieuse : comment redonner du sens à la démocratie quand les électeurs ont l’impression que leur voix ne compte plus ?
Anthony Joubert, connu pour ses chansons engagées et ses parodies percutantes, utilise l’humour pour aborder des sujets de société avec légèreté, sans jamais tomber dans la caricature facile. « Si je vote blanc » s’inscrit dans cette veine, mêlant rires et réflexion. Le succès de la vidéo sur YouTube, avec des milliers de vues et des commentaires approbateurs, prouve que le message touche une corde sensible.
En période électorale, où les discours se multiplient et les promesses s’accumulent, cette chanson rappelle que l’abstention ou le vote blanc ne sont pas toujours des signes d’indifférence, mais parfois des choix délibérés. Et si l’humour ne change pas le monde, il permet au moins de le regarder en face, avec un sourire en coin.
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La grève de la SNCF
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Le gros con, une menace pour la planète
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