Auteur/autrice : mesdelires

  • la fugitive (thriller) film complet en français

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    Dr. Richard Kimble (Harrison Ford), un chirurgien respecté, est accusé à tort du meurtre de sa femme. Condamné à mort, il est transporté vers une prison de haute sécurité. Lors d’un accident de bus, il parvient à s’échapper et devient un fugitif traqué par les autorités.

    Le maréchal Samuel Gerard (Tommy Lee Jones) est chargé de le retrouver. Kimble, déterminé à prouver son innocence, mène sa propre enquête pour découvrir le vrai coupable : un mystérieux homme à un bras mécanique, lié à une société pharmaceutique impliquée dans des expériences illégales.

  • La parole politique est-elle coupée du réel ? Un débat au cœur de l’actualité

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    Le 9 octobre 2025, France Inter a consacré son débat de la Grande Matinale à une question cruciale : « La parole politique est-elle coupée du réel ? » Animé par Nicolas Demorand, ce débat a réuni des experts et des personnalités du monde politique et médiatique pour analyser le fossé grandissant entre les discours politiques et les préoccupations concrètes des citoyens. Ce sujet, plus que jamais d’actualité, interroge la capacité des responsables politiques à répondre aux attentes de la société et à incarner une parole crédible et ancrée dans la réalité quotidienne.

    Ce débat s’inscrit dans un contexte marqué par une défiance croissante envers les institutions et les élites politiques. Les crises successives (sociales, économiques, sanitaires) ont exacerbé le sentiment d’un décalage entre les promesses politiques et les réalités vécues par les Français. Les intervenants, parmi lesquels Clément Viktorovitch, docteur en sciences politiques et auteur de « Logocratie. Comment nous sommes déjà sortis de la démocratie » (Seuil), ont tenté d’éclairer les raisons de cette fracture et ses conséquences sur la démocratie.

  • « Un trop long week-end » : le retour hilarant et nostalgique de Soda avec Kev Adams et William Lebghil

    « Un trop long week-end » est un téléfilm spécial qui clôt la série culte Soda, diffusée sur M6 entre 2011 et 2015. Dans cet épisode final, Adam (Kev Adams) se retrouve face à un dilemme cornélien : doit-il emménager avec ses deux meilleurs amis, Slimane (William Lebghil) et Ludovic, ou avec sa petite-amie Juliette ? L’histoire s’articule autour de cette décision, entre quiproquos, scènes comiques et rebondissements typiques de l’univers Soda. On y retrouve aussi les parents d’Adam, Michel et Elizabeth, ainsi que la famille Juhel, pour des moments toujours aussi décalés et drôles

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    L’intrigue prend un tournant inattendu lorsque la mère de Jean-Jérôme, Donatienne Juhel, annonce que le mariage d’Adam et Juliette est prévu pour le lendemain, sans que la famille Fontella ne soit au courant. Entre temps, Slimane et Ludovic, inquiets de ne pas voir Adam, découvrent qu’un jeune couple va emménager dans l’appartement qu’ils convoitaient… sans savoir qu’il s’agit d’Adam et Juliette.

  • Nos politiques ont du talent : quand l’hémicycle se transforme en scène

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    Introduction : Et si nos élus avaient des talents cachés ? Entre les débats houleux, les lois controversées et les petites phrases qui font le buzz, nos politiques savent aussi surprendre. Morgane Meli, dans sa chronique, lève le voile sur ces facettes méconnues. Aujourd’hui, zoom sur ces personnalités qui, en dehors de leurs fonctions, pourraient briller dans d’autres domaines.

    Le sens de la répartie : l’art de la punchline politique Certains élus excellent dans l’art de la formule cinglante ou du trait d’esprit. Que ce soit pour désamorcer une crise ou marquer les esprits, leurs répliques mériteraient presque un one-man-show.

    Conclusion : Nos politiques ne sont pas que des techniciens du droit ou des stratèges électoraux. Ils sont aussi des communicateurs, des influenceurs, et parfois même des artistes à leur manière. Morgane Meli a raison : l’hémicycle regorge de talents insoupçonnés. Et si la prochaine émission de divertissement star était… l’Assemblée nationale ?

  • Ma chambre de bonne : chronique d’une vie en 9m²

    Le charme désuet des 9m²

    Quand on pousse la porte de ma chambre de bonne, on est immédiatement saisi par une odeur subtile de café brûlé, de chaussettes oubliées et de rêves inachevés. Ici, tout est optimisé : le lit sert aussi de canapé, la table de chevet est une caisse en bois peinte en « j’ai pas eu le temps de finir », et la cuisine, c’est un micro-ondes posé sur une étagère qui tremble à chaque fois que le voisin du dessus fait du sport. Bref, un vrai palace.

    Comme le dirait Lisa Delmoitiez, « la vraie star, c’est pas José Garcia, c’est Capucine Valmary dans Le Torrent » — et dans ma chambre de bonne, la vraie star, c’est l’araignée qui a élu domicile dans le coin du plafond. On a un pacte : elle ne descend pas, je ne monte pas sur la chaise pour l’écraser. On cohabite, comme deux colocataires forcés par le destin et le marché immobilier parisien.

    La vie sociale en temps de confinement spatial

    En hiver, ma chambre de bonne devient un huis clos digne d’un épisode de Dix Petits Nègres, sauf qu’ici, le meurtrier, c’est l’isolement. Lisa, elle, adore rencontrer des inconnus sur des bancs publics ou dans des hôtels, où elle déambule en string et robe de chambre pour « collectionner les belles petites rencontres »

    . Moi, je collectionne les tickets de caisse du Franprix du coin et les regards apitoyés des livreurs Deliveroo quand ils voient l’état de mon « salon ».

    Mais il y a des avantages : quand on vit dans 9m², on n’a pas besoin de faire du tri sélectif. Tout est déjà trié : les vêtements sales ici, les vêtements un peu moins sales là, et les vêtements « je les mettrai peut-être un jour » dans un sac sous le lit. C’est minimaliste, écologique, et ça évite de se poser des questions existentielles.

    Le luxe, version chambre de bonne

    Lisa Delmoitiez dit qu’elle ferait « une très bonne riche ». Moi, je fais une excellente pauvre. J’ai mon propre jeu à gratter : trouver de la monnaie entre les coussins du canapé-lit. J’ai mon bar PMU : la bouteille de vin ouverte depuis trois jours sur l’étagère. Et j’ai mon rêve : un jour, peut-être, un vrai placard.

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  • Nuit de folie : Une comédie à ne pas manquer !

    Vous cherchez une soirée remplie de rires et de rebondissements ? Nuit de folie est le film qu’il vous faut ! Cette comédie déjantée promet des moments inoubliables, avec des personnages attachants et des situations aussi absurdes qu’hilarantes.

    Un scénario trépidant Imaginez une nuit où tout bascule : des amis se retrouvent embarqués dans une aventure rocambolesque, entre quiproquos, rencontres improbables et défis loufoques. Entre courses-poursuites, répliques cultes et moments de complicité, Nuit de folie vous tiendra en haleine du début à la fin.

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  • Pierre-Emmanuel Barré : chroniquer la révolution par l’absurde et l’humour

    Introduction

    Commencez par une accroche percutante : « Et si la révolution n’était pas seulement politique, mais aussi culturelle, artistique, voire intime ? Pierre-Emmanuel Barré, à travers ses chroniques, explore cette idée avec un mélange d’humour et de lucidité. Dans un monde en perpétuelle mutation, son regard décalé nous invite à repenser notre rapport au changement. »

  • Mémé et le facteur : une histoire qui traverse les générations

    Depuis toujours, les histoires de grand-mère ont ce petit quelque chose de magique. Entre souvenirs d’enfance, anecdotes savoureuses et leçons de vie, elles nous rappellent que les moments les plus simples sont souvent les plus précieux. Aujourd’hui, découvrez l’histoire touchante et drôle de Mémé et le facteur, une rencontre qui a marqué les esprits et qui continue de faire sourire.

    Une rencontre inattendue Décris brièvement la scène : un facteur qui passe chaque jour, une grand-mère qui l’attend avec impatience, un rituel qui s’installe. Peut-être un échange de mots, de sourires, ou même de petits cadeaux. Insiste sur l’aspect humain et chaleureux de cette relation.

    Pourquoi cette histoire résonne-t-elle ? Explique pourquoi ce genre d’anecdote touche autant les gens. Parle de nostalgie, de la simplicité des relations humaines, et de la façon dont ces histoires se transmettent de génération en génération.

  • Pourquoi y a-t-il des tensions entre Wallons et Flamands en Belgique ?

    La Belgique, pays au cœur de l’Europe, est souvent perçue comme un modèle de coexistence entre deux communautés linguistiques et culturelles : les Wallons, majoritairement francophones, et les Flamands, néerlandophones. Pourtant, les tensions entre ces deux groupes sont une réalité persistante, ancrée dans l’histoire et alimentée par des dynamiques socio-économiques et politiques contemporaines.

    Les racines des divisions remontent à la création même de la Belgique en 1830. À l’époque, le français était la langue dominante, parlée par l’élite bourgeoise, tandis que la majorité de la population flamande parlait des dialectes néerlandais. Cette situation a engendré un sentiment d’injustice chez les Flamands, qui se sentaient marginalisés dans leur propre pays. Le mouvement flamand, né au XIXe siècle, a milité pour la reconnaissance du néerlandais, aboutissant à des réformes linguistiques progressives au XXe siècle. En Wallonie, un mouvement similaire a émergé, revendiquant une autonomie accrue face à une Flandre de plus en plus puissante économiquement.

    La Belgique est aujourd’hui un État fédéral divisé en trois régions (Flandre, Wallonie, Bruxelles) et trois communautés (flamande, française, germanophone). La question linguistique reste un point de friction majeur. Par exemple, la région bruxelloise, majoritairement francophone mais située en Flandre, est souvent au cœur des débats. Les Flamands dénoncent une « francisation » de leur territoire, tandis que les Wallons craignent une marginalisation culturelle.

  • « T’inquiète, je gère » : La chronique qui dédramatise le quotidien avec humour et autodérision

    Dans un monde où tout semble aller trop vite, où les attentes sont toujours plus hautes et les « to-do lists » interminables, il est parfois rassurant de se dire : « T’inquiète, je gère. » Ou pas. Entre les ratés du quotidien, les ambitions démesurées et les petits bonheurs inattendus, la chronique de Célia Pelluet sur Mes Délires nous rappelle que la vie ne se gère pas toujours… mais que c’est justement ce qui la rend drôle et attachante.

    Célia Pelluet a fait de l’autodérision une arme redoutable. À travers ses récits, elle transforme les situations les plus chaotiques en moments de complicité avec ses lecteurs. Que ce soit un dîner qui tourne au désastre, une tentative de sport qui vire à la comédie, ou une journée « productive » qui se résume à regarder des vidéos de chats, elle prouve que la perfection n’est pas le but – et c’est libérateur.

    La chronique de Célia Pelluet excelle à trouver l’humour dans l’ordinaire. Elle nous montre que les petits riens – une file d’attente interminable, un colis qui n’arrive jamais, une conversation gênante avec un voisin – sont en réalité des pépites narratives. Son style, à la fois vif et accessible, donne l’impression de discuter avec une amie qui n’a pas peur de se moquer d’elle-même.

    « T’inquiète, je gère » est bien plus qu’une chronique : c’est un manifest pour une vie moins sérieuse et plus savoureuse. Grâce à Célia Pelluet, on apprend à rire de nos échecs, à célébrer nos petites victoires, et surtout, à se dire que tout ira bien… ou presque.