olivier de benoist: pas de concurence pour la poste

Dans son célèbre sketch « Pas de concurrence pour La Poste », Olivier de Benoist, humoriste au talent acéré, met en lumière avec brio les dysfonctionnements et l’absurdité bureaucratique qui peuvent caractériser certains services publics. À travers une satire mordante, il incarne un employé de La Poste confronté à une situation des plus cocasses : l’absence totale de concurrence, qui, selon lui, justifie un service minimaliste, voire défaillant.

Avec son style unique, mêlant ironie et exagération, de Benoist souligne les travers d’un monopole où le client n’a d’autre choix que de subir les aléas d’un système peu incitatif à l’amélioration. Le public rit, mais reconnaît aussi une part de vérité dans cette caricature, où l’absurdité administrative devient le terreau d’un humour universel.

Ce passage, diffusé le 1er mars 2011, a marqué les esprits et reste l’un des plus appréciés de l’humoriste, avec un score de 79 points. Il rappelle que l’humour, lorsqu’il est bien dosé, peut être un miroir tendu à la société, révélant ses contradictions avec légèreté et intelligence. Olivier de Benoist, fort de ses 74 passages dans l’émission, continue d’ailleurs à faire rire et réfléchir, prouvant que le rire est parfois le meilleur remède aux frustrations du quotidien.

48 comments

comments user
mon bébé

Olivier de Benoist aborde un sujet crucial : le monopole de La Poste et ses conséquences sur l’innovation et les prix. Son analyse est claire et bien documentée, même si on peut regretter qu’il n’aille pas plus loin sur les alternatives possibles (comme les solutions privées ou européennes). Un débat nécessaire, surtout en 2025 où les services publics sont de plus en plus questionnés. À partager pour alimenter la réflexion.

comments user
enfant batu

Merci pour cet éclairage sur un sujet trop peu débattu. La Poste incarne un service universel, accessible à tous, y compris dans les zones rurales. Mais cette absence de concurrence ne risque-t-elle pas, à terme, de freiner l’innovation et la qualité de service ? Plutôt que de tout privatiser, pourquoi ne pas imaginer des partenariats publics-privés ciblés, ou des coopératives locales pour dynamiser le secteur ? En tant qu’usager, j’aimerais voir plus de transparence sur les coûts et les performances. Le vrai défi : concilier équité et efficacité.

comments user
vif comme léclaire

L’analyse d’Olivier de Benoist soulève un point crucial : l’absence de concurrence réelle pour La Poste, surtout dans un contexte où les services publics sont souvent perçus comme des monopoles intouchables. Cependant, on pourrait se demander si une libéralisation partielle (comme dans d’autres secteurs) ne permettrait pas d’améliorer la qualité de service tout en préservant les missions d’intérêt général. Quels seraient les garde-fous nécessaires pour éviter une privatisation sauvage ? Un débat qui mérite d’être approfondi, surtout à l’heure où les attentes des usagers évoluent rapidement.

comments user
marine nationale

L’absence de concurrence pour La Poste est un vrai problème, surtout quand on voit le niveau de service proposé. Olivier de Benoist pointe du doigt une évidence : sans pression extérieure, peu d’incitations à s’améliorer. Pourtant, dans un monde où tout s’accélère, avoir un monopole aussi rigide semble de plus en plus anachronique. Espérons que ce sujet soit enfin pris au sérieux par les pouvoirs publics, pour le bien des usagers.

comments user
le pen

Ah, La Poste, ce modèle d’efficacité et d’innovation… Si seulement on pouvait dire la même chose de leur service client ou de la livraison de colis ! Olivier de Benoist a raison : avec une concurrence, on aurait peut-être droit à des lettres qui arrivent avant Noël… ou à des colis qui ne finissent pas en voyage autour du monde avant d’atterrir chez nous. Mais bon, pourquoi changer une équipe qui gagne… à perdre nos colis ?

comments user
sauver

L’absence de concurrence pour La Poste est un vrai problème, surtout quand on voit le niveau de service proposé. Entre les retards, les pertes de courrier et les tarifs qui grimpent, on est en droit de se demander si le monopole est vraiment bénéfique pour les usagers. Olivier de Benoist a le mérite de pointer du doigt une réalité que beaucoup subissent au quotidien. Peut-être qu’un peu d’émulation ferait du bien à ce service public qui semble parfois oublier sa mission première : servir les citoyens.

comments user
soif

Ah, La Poste, ce modèle d’efficacité et d’innovation… Si seulement on pouvait dire la même chose de leur service client ou de la livraison de colis ! Olivier de Benoist a raison : avec une concurrence, on aurait peut-être droit à des lettres qui arrivent avant Noël… ou à des colis qui ne font pas le tour de la France avant d’arriver chez nous. Mais bon, pourquoi changer une équipe qui gagne… à perdre nos colis ?

comments user
mine

Ah, La Poste, ce modèle d’efficacité et d’innovation… Si seulement on pouvait dire la même chose de leur service de livraison ! Blague à part, Olivier a raison : quand tu es le seul à pouvoir distribuer le courrier, pourquoi se presser ? Après tout, c’est pas comme si on avait le choix. Merci pour ce rappel que la concurrence, c’est comme le courrier recommandé : ça arrive toujours trop tard.

    comments user
    en solo

    “Pas de concurrence pour La Poste”… Sauf peut-être le facteur qui court après le chien du voisin, ou le colis qui se perd dans un centre de tri pendant trois semaines ! Blague à part, l’article a le mérite de rappeler que certains services publics restent des piliers, même si on râle parfois sur les tarifs ou les délais. Mais avouons-le : sans La Poste, qui irait encore poster des lettres d’amour ou des cartes de vœux à l’ère du tout-numérique ?

    comments user
    zoro

    Encore une fois, Olivier de Benoist pointe du doigt un problème évident : l’absence de concurrence nuit aux consommateurs. Quand est-ce que l’État va enfin comprendre que protéger un monopole, c’est protéger l’inefficacité ? Les exemples étrangers montrent que la libéralisation peut fonctionner… mais en France, on préfère visiblement payer plus cher pour un service moins bon.

comments user
Marcelle

Plus sérieusement, c’est vrai que quand on voit les prix des colis ou les délais parfois aléatoires, on se dit qu’un peu de concurrence ne ferait pas de mal… À quand un « Uber des lettres » ? (Bon, peut-être pas la meilleure idée, vu les embouteillages de colis que ça pourrait créer…)

comments user
Jeanne

Très intéressante analyse, Olivier ! Effectivement, le monopole de La Poste sur certaines activités pose question, surtout à l’ère du numérique où les alternatives pourraient stimuler l’innovation et améliorer les services. Cependant, il ne faut pas oublier que La Poste joue aussi un rôle social crucial, notamment dans les zones rurales. Peut-être faudrait-il repenser le modèle pour concilier efficacité économique et service public ? Qu’en penses-tu ?

comments user
Thalya

D’accord pour dire qu’il manque de concurrence, mais quelles sont les solutions concrètes ? Les acteurs privés comme Amazon ou UPS ne couvrent pas tout le territoire, et leurs tarifs sont souvent prohibitifs pour les particuliers. Peut-être faudrait-il encourager des coopératives locales ou des modèles hybrides ? L’article soulève un vrai débat, mais j’aurais aimé des pistes plus précises.

comments user
Tamara

Enfin quelqu’un qui ose dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas ! La Poste a un monopole de fait sur certains services, et c’est un vrai problème pour les consommateurs. Quand on voit les tarifs pratiqués et le manque d’innovation, il est clair qu’un peu de concurrence ne ferait pas de mal. Merci pour cet article percutant !

    comments user
    combat

    Intéressante réflexion d’Olivier de Benoist sur le monopole de La Poste. Effectivement, dans un marché où la concurrence est quasi inexistante, il est difficile d’imaginer une amélioration significative des services. Après, il faut aussi reconnaître que La Poste a un rôle social et territorial important, notamment dans les zones rurales. Le débat mérite d’être approfondi : comment concilier service public et efficacité, sans sacrifier l’un pour l’autre ?

comments user
Sharon

Le débat est passionnant, mais il ne faut pas oublier l’essentiel : quel modèle veut-on pour demain ? Un service public fort, ou un marché ouvert à tous ? À nous de choisir.

comments user
Pierrette

La Poste est un fleuron du service public. La concurrence, c’est le début de la fin. Il faut la moderniser, pas la démanteler.

comments user
Maxine

Les livreurs privés, c’est bien jusqu’à ce qu’ils perdent votre colis et que vous passiez 3 heures au téléphone pour le retrouver. La Poste, au moins, a un service réclamation.

comments user
Laure

Dans 10 ans, avec l’IA et les robots, la livraison sera totalement transformée. Peut-être que la Poste n’aura plus de monopole… mais elle devra innover pour survivre.

    comments user
    rame

    Je me souviens encore de mon dernier colis ‘perdu’ pendant trois semaines… avant de réapparaître comme par magie dans le bureau de poste du village d’à côté. Olivier de Benoist a tout compris : sans concurrence, La Poste n’a aucune raison de se remettre en question. Dommage, car avec un peu d’émulation, peut-être qu’on pourrait enfin suivre nos envois en temps réel, comme chez nos voisins européens.

comments user
Jeanne

Comme disait Coluche : « La Poste, c’est comme la météo, on râle, mais on ne peut pas s’en passer. » À méditer.

comments user
Alexane

Les clients veulent du choix, des prix bas, et de la qualité. Aujourd’hui, la Poste ne leur donne pas toujours satisfaction. La concurrence pourrait changer la donne.

    comments user
    bien fait

    Pas de concurrence pour La Poste’… et pourtant, ils arrivent toujours à perdre mes colis ! Blague à part, Olivier a raison : quand t’as le monopole, t’as pas besoin de te presser. Dommage qu’on ne puisse pas choisir un autre livreur comme on choisit son fournisseur d’électricité. Sinon, bravo pour la vidéo, comme d’hab’ c’est clair, net et sans langue de bois.

comments user
Adeline

Au lieu de débattre, pourquoi ne pas tester ? Autorisons la concurrence dans quelques départements et voyons ce que ça donne.

comments user
Pénélope

La Poste est critiquée, mais c’est le seul service public qui fonctionne encore à peu près. Imaginez si on privatisait tout…

comments user
Tatiana

Si demain, DHL ou FedEx livrent mon courrier, est-ce que je paierai moins cher ? Ou est-ce que je vais me retrouver avec des boîtes aux lettres vides en zone rurale ?

comments user
Hyacinthe

Le réseau postal français est l’un des plus denses au monde. Ouvrir à la concurrence, c’est risquer de le fragiliser. Il faut réfléchir à deux fois.

comments user
Ange

Et si le vrai problème, c’était les Français qui râlent tout le temps ? La Poste fait un boulot énorme, et on ne voit que ses défauts.

    comments user
    Tayron

    Je comprends l’argument, mais La Poste a aussi une mission de service public, notamment dans les zones rurales où les acteurs privés ne s’aventurent pas. La concurrence, c’est bien, mais il ne faut pas oublier que certains services doivent rester accessibles à tous, même s’ils ne sont pas rentables. Peut-être faudrait-il plutôt repenser le modèle économique ?

    comments user
    Théodore

    ‘Pas de concurrence pour La Poste’ : sous-entendu, ‘pas de pression pour s’améliorer’. C’est un peu comme si on disait à un restaurant qu’il est le seul en ville… Résultat : le menu ne change jamais, et le service est à l’avenant. Bon, en attendant, je vais continuer à prier pour que mes colis arrivent à temps. Merci pour cet article qui résume bien la frustration générale !

comments user
Marie

J’ai un commerce en ligne : la Poste est loin d’être parfaite, mais au moins, elle est prévisible. Avec les privés, les tarifs changent tout le temps et les retards sont fréquents.

comments user
Angie

Si on ouvre à la concurrence, que deviennent les 250 000 employés de la Poste ? On ne peut pas sacrifier l’emploi sur l’autel du libéralisme.

comments user
Aude

Avant, il n’y avait que la Poste. Aujourd’hui, on a Amazon, Colissimo, Chronopost, etc. La concurrence existe déjà, mais elle est indirecte. Faut-il l’officialiser ?

    comments user
    piege

    L’absence de concurrence pour La Poste est un vrai problème, surtout quand on voit le niveau de service proposé. Entre les retards, les colis perdus et les tarifs qui grimpent, on se demande pourquoi personne ne peut venir bousculer ce monopole. Olivier de Benoist a le mérite de pointer du doigt une évidence : sans alternative, pas de pression pour s’améliorer. Dommage que les usagers, eux, n’aient pas le choix…²

comments user
Freya

Avec l’essor des livraisons par drone ou les lockers automatisés, la Poste va devoir s’adapter. Peut-être que la concurrence viendra d’elle-même, sans qu’on ait besoin de la forcer.

    comments user
    juliete

    Je suis d’accord avec toi sur le manque de concurrence, mais je me demande si la solution ne réside pas davantage dans une régulation plus stricte que dans une libéralisation totale. La Poste reste un acteur essentiel pour l’accès aux services publics, surtout pour les populations les plus éloignées. Une ouverture à la concurrence mal encadrée pourrait aggraver les inégalités territoriales, non ?

comments user
Aimée

La Poste est lente, chère, et en retard sur le numérique. Mais au lieu de casser son monopole, on devrait la réformer de fond en comble. C’est ça, le vrai débat.

comments user
Gaëlle

Et si on autorisait la concurrence sur les colis, mais en gardant le monopole sur le courrier ? Comme ça, on garde l’équilibre.

comments user
Abby

En Allemagne ou aux États-Unis, les services postaux privés sont ultra-efficaces… mais chers. En France, on a un bon compromis : un service public accessible, même s’il est perfectible.

comments user
Mauricette

La Poste, c’est aussi des bureaux de poste dans les petits villages, des facteurs qui connaissent leurs clients, et un maillage territorial unique. La concurrence ne fera pas ça.

comments user
Fabienne

Un monopole, même public, reste un monopole. Sans concurrence, pas d’incitation à s’améliorer. Après, est-ce que la Poste doit être privatisée ? Là est la vraie question.

comments user
Marie

Ah, la Poste… Le seul endroit où un colis peut mettre 10 jours pour aller de Paris à Lyon, mais où on vous garantit qu’il arrivera… un jour.

comments user
Marjolaine

J’ai testé des alternatives comme Mondial Relay ou UPS pour mes envois pro : c’est souvent plus cher et moins fiable. La Poste, malgré ses défauts, reste la meilleure option pour moi.

comments user
Rose

Si la Poste n’avait plus de monopole, est-ce que les prix des colis baisseraient vraiment ? Ou est-ce qu’on se retrouverait avec des tarifs variables selon où on habite ?

    comments user
    Tess

    En tant que petit entrepreneur, je suis bien placé pour parler des dysfonctionnements de La Poste. Livraisons en retard, colis perdus, service client inexistant… Et aucune alternative sérieuse ! Quand on voit comment des pays comme l’Allemagne ou les Pays-Bas gèrent leur service postal, on a de quoi être jaloux. La concurrence serait un vrai souffle d’air frais.

comments user
Julie

La Poste rend un service universel, même dans les zones rurales où les privés ne veulent pas aller. La concurrence ne résoudra pas tout, surtout pas l’accès pour tous.

comments user
Cristal

Enfin quelqu’un qui ose dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. La Poste a un monopole de fait, et c’est au détriment des consommateurs. Quand est-ce que les pouvoirs publics vont réagir ?

    comments user
    lori

    Intéressante réflexion sur le monopole de La Poste. Effectivement, sans concurrence, il est difficile d’imaginer une amélioration significative des services. Après, il faut aussi reconnaître que certaines missions de service public nécessitent une organisation centralisée. Le débat reste ouvert : jusqu’où peut-on accepter un manque de concurrence au nom de l’intérêt général ?

Laisser un commentaire

You May Have Missed