l’amour de soi (la drole humeur de Marina)

L’amour de soi, ce concept tantôt glorifié, tantôt moqué, est un équilibre fragile. Marina, avec son humour mordant et son autodérision, en fait une arme de séduction massive. Entre les jours où elle se sent reine du monde et ceux où elle doute de son choix de pyjama, elle nous rappelle que s’aimer, c’est aussi accepter ses contradictions. « Aujourd’hui, je suis une déesse… demain, une patate », confie-t-elle en riant. Son secret ? Ne pas prendre la perfection au sérieux. Car l’amour de soi, c’est comme un bon vin : ça se cultive, ça se savoure, et parfois, ça donne mal à la tête. Marina nous prouve qu’on peut être à la fois son plus grand fan et son pire critique, sans jamais perdre de vue l’essentiel : se traiter avec la même tendresse qu’on offrirait à un ami. Alors, prêt à rire de vos propres travers ?

la branlette a mémé

5 comments

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épique

Merci pour cet article qui tombe à pic. Je me reconnais tellement dans cette “drôle d’humeur”… Après l’avoir lu, j’ai noté dans mon carnet : “Aujourd’hui, je m’autorise à être ma priorité”. Pas évident, mais ton texte m’a donné envie d’essayer. Et toi, Marina, quel est ton petit rituel préféré pour te recentrer sur toi ?

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rachide

Article super intéressant, comme d’habitude ! Par contre, j’aurais aimé que tu développes un peu plus la partie sur comment cultiver cet amour de soi au quotidien, surtout quand on a l’impression de manquer de temps. Des petits exercices ou des ressources (livres, podcasts) auraient été un plus. Mais merci pour cette lecture qui fait du bien !

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bon dieu

Marina, tu as encore frappé fort !

Entre ton humour et tes exemples concrets, tu rends un sujet parfois lourd hyper accessible. Perso, je vais tester ta méthode “5 minutes de rien” aujourd’hui… et je te fais un retour si je ne m’endors pas avant !

Merci pour ce moment de bienveillance.

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anti semite

Très belle réflexion sur l’équilibre entre amour de soi et pression sociale. Ce qui m’a marqué·e, c’est ta distinction entre “égoïsme” et “saine préservation”. Est-ce que tu penses que cette difficulté à s’aimer sans culpabiliser est plus forte chez les femmes, ou est-ce un phénomène générationnel ? (Je pense notamment à l’injonction permanente à être “parfait·e” sur les réseaux…)

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enfants du monde

Marina, ton article m’a vraiment touché·e ! J’ai souvent cette impression de culpabiliser quand je prends du temps pour moi, comme si c’était un luxe égoïste. Ton approche déculpabilisante et pleine d’humour m’a fait du bien. Merci de rappeler que s’aimer, c’est déjà un acte de résistance dans un monde qui nous pousse sans cesse à en faire plus. (Et ton anecdote sur le bain interrompu par les enfants… trop vrai !)

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