jeremy ferrari et babass : je pratique le covoiturage

Alors là, chapeau bas ! Qui aurait cru que le covoiturage pouvait être aussi drôle ? Perso, je vote pour une version longue du trajet, avec des péages improvisés en sketchs et des bouchons transformés en punchlines. Et vous, vous les imaginez dans quel type de voiture ? Une Clio pour l’économie de carburant… ou une décapotable pour le côté “on s’en fout, on fait le show” ?

Enfin une collaboration qui fait du bien à la planète ET à nos zygomatiques ! Jérémy Ferrari et Babass en covoiturage, c’est comme mélanger de l’essence et une allumette : ça explose de rire à tous les coups. Qui dit oui pour un road-trip avec eux en mode “blagues à 200 à l’heure” ? (Attention aux radars… et aux fous rires !)

Enfin une collaboration qui fait du bien à la planète ET à nos zygomatiques ! Jérémy Ferrari et Babass en covoiturage, c’est comme mélanger de l’essence et une allumette : ça explose de rire à tous les coups. Qui dit mieux pour un road-trip improvisé ?

Encore une fois, Jérémy Ferrari et Babass nous offrent un moment de rire pur et sans filtre. Le covoiturage version ‘Mes Délires’ est clairement la meilleure façon de voyager : on arrive à destination avec des abdos en acier (à force de rire) et une envie de refaire le monde. Merci pour ce contenu qui décomplexe et qui fait du bien.

Enfin une vidéo qui prouve que le covoiturage, c’est comme un couple : ça commence par des blagues douteuses et ça finit en crise existentielle dans une voiture qui sent le fast-food. Jérémy et Babass, vous êtes les seuls à rendre un trajet en voiture aussi drôle qu’un one-man-show. Quand est-ce que vous faites la tournée des péages ?

Ok, mais la vraie question : qui conduit ? Parce que si c’est Ferrari, on risque de finir dans le décor à force de rire… Et Babass, il a le permis ou il roule en ‘sans filtre’ comme d’hab ?

Blague à part, ce duo est juste génial, merci pour ce moment !

Enfin une solution écologique pour les blagues trop lourdes à porter seul !

Jérémy Ferrari et Babass en covoiturage, c’est comme un duo de choc : un qui accélère sur les punchlines, l’autre qui freine pour laisser le public reprendre son souffle. Résultat ? Un trajet sans accident… mais avec des fous rires garantis.

Deux génies de l’absurde dans la même voiture = mon nouveau podcast préféré. Quand est-ce que vous sortez la saison 2 ?

Enfin une collaboration qui prouve que le covoiturage, c’est comme l’humour noir : ça peut faire peur au début, mais une fois qu’on est dedans, on ne veut plus en sortir ! Merci pour ce moment de rire (et de malaise assumé).

c’est exactement ce genre de contenu qui me donne envie de partager à tout mon entourage. Mes délires, vous avez encore frappé fort

Bon, maintenant la vraie question : qui oserait monter en voiture avec ces deux-là après avoir vu ça ?

Ça fait tellement de bien de voir deux humoristes qui osent tout et qui s’amusent sans filtre. Ça rappelle les sketches cultes où on se dit : ‘Putain, mais comment ils ont osé ?’ Merci pour ce moment de rire pur, sans prise de tête. Continuez comme ça, on en redemande…

Jérémy Ferrari et Babass ensemble, c’est comme mélanger de la dynamite et des allumettes : on sait que ça va exploser, mais on ne s’attend pas à un feu d’artifice pareil ! Le covoiturage version ‘délire total’ est validé, maintenant il ne reste plus qu’à trouver un chauffeur qui accepte de nous emmener avec ce niveau de folie.

Qui dit mieux pour un duo aussi improbable qu’hilarant ?

Enfin une vidéo qui prouve que le covoiturage, c’est pas que pour économiser de l’essence, c’est aussi pour économiser sur les amis ! Merci Jérémy et Babass pour ce moment de pur délire, j’ai failli m’étouffer avec mon café en regardant ça.

Leur covoiturage, c’est un peu comme un épisode de ‘Black Mirror’ écrit par des humoristes : tu ris, mais tu vérifies trois fois que ta porte est bien verrouillée après. Bravo les artistes, vous avez encore frappé.

Après cette vidéo, je comprends mieux pourquoi ma mère me disait : ‘Ne parle jamais aux inconnus.’ Trop tard. Merci Jérémy et Babass pour cette masterclass en ‘comment transformer un trajet banal en cauchemar éveillé’.

Le covoiturage, c’est comme un Tinder géant, mais sans le côté glamour et avec 100% de chances de finir dans un fossé. Jérémy et Babass : les meilleurs wingmen pour une aventure… douteuse.

Mon pote m’a dit : ‘Prends des passagers pour rentabiliser ton trajet.’ Grâce à vous, je sais maintenant que ‘rentabiliser’, ça peut aussi vouloir dire ‘finir avec un dossier chez les flics’. Merci pour le conseil, les gars.

Si le covoiturage était un sport extrême, Jérémy et Babass en seraient les champions olympiques. Médaille d’or pour le ‘malaise en voiture partagée’, catégorie ‘on ne se connaît pas mais on va trop loin’.

Le covoiturage selon Ferrari : un mélange de stand-up, de sociologie de comptoir et de ‘pourquoi j’ai accepté ce trajet ?’. Bref, du pur bonheur maso. Où je signe ?

Babass en mode ‘passager mystérieux’ : quand tu montes dans la voiture et que tu te demandes si tu vas arriver à destination… ou dans un épisode de ‘Faites entrer l’accusé’.

‘Je pratique le covoiturage’ = ‘Je fais des rencontres insolites et je vis des histoires à raconter à mes petits-enfants… ou à mon psychiatre.’ Merci les gars, j’ai ri jaune (comme ma voiture après 200 000 km).

Le moment où tu réalises que ton passager est plus flippant que le film ‘Hitcher’… Mais au moins, lui, il paie l’essence. 10/10, je recommande pour les amateurs de frissons.

Moi qui pensais que le covoiturage, c’était juste pour économiser de l’essence… Merci Jérémy et Babass de m’avoir appris que c’était aussi une thérapie de groupe low-cost. Prochaine étape : le covoiturage chez le psy ?