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  • Laura Laune – Chanson pour la Wallonie

    Laura Laune – Chanson pour la Wallonie

    Laura Laune est une humoriste et comédienne belge spécialisée dans l’humour noir. Elle est née en 1986 à Saint‑Ghislain (Hainaut, Belgique) et s’est fait connaître en remportant la 12ᵉ saison de La France a un incroyable talent en 2017 Wikipédia.

    Son répertoire musical humoristique comprend plusieurs chansons thématiques. Sur son site officiel, on trouve notamment des titres comme Chanson pour la Belgique, Chanson pour la Suisse, Déclaration d’amour à la France, et à l’évidence, des chansons dans le même esprit comme Chanson pour la Wallonie

  • Les blagues de Tonton, des idées pour le réveillon

    Le réveillon, c’est l’occasion parfaite pour égayer la soirée avec les blagues légendaires de tonton. Entre deux toasts et les douze coups de minuit, rien ne détend mieux l’atmosphère qu’un bon mot bien placé. « Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours en arrière ? Parce que sinon, ils tombent encore dans le bateau ! » Un classique qui fait toujours mouche.

    Préparez une liste de ses perles : jeux de mots douteux, calembours improbables, et punchlines inattendues. L’objectif ? Faire rire (ou grogner) toute la tablée. Et si tonton s’endort avant minuit, pas de panique : ses blagues, elles, ne vieillissent jamais.

  • Ma colocataire prend du crack

    Depuis trois mois, je partage mon appartement avec Léa, une fille apparemment cool… jusqu’à ce que je découvre ses drôles de poudres blanches sur la table basse. D’abord, j’ai cru à de la farine. Puis, j’ai vu les pailles et les nuits agitées. Léa, ma colocataire modèle, sniffait du crack entre deux épisodes de Stranger Things.

    Dois-je fuir ? L’affronter ? Ou organiser une intervention façon télé-réalité ? Entre les cris à 3h du matin et les visiteurs louches, ma vie ressemble à un épisode de Breaking Bad. Sans Jesse Pinkman pour m’aider.

    J’ai essayé d’en parler, mais elle m’a ri au nez : « C’est juste pour décompresser, comme ton vin du soir ! » Sauf que mon vin ne transforme pas le salon en scène de crime. Et si je déménageais ? Ou pire… et si je devenais son complice malgré moi ?

  • L’argent et le travail c’est SUPER

    L’argent et le travail sont souvent perçus comme des contraintes, mais ils peuvent aussi être des leviers de liberté. Travailler permet de se réaliser, d’apprendre et de contribuer à la société, tandis que l’argent offre des opportunités : voyages, projets, sécurité. Ensemble, ils transforment les rêves en réalité. Bien sûr, l’équilibre est essentiel : il ne s’agit pas de s’épuiser, mais de trouver un métier qui a du sens et une rémunération juste. Et si, au lieu de les subir, on les voyait comme des outils pour construire une vie épanouissante ? Après tout, c’est en combinant passion et pragmatisme que l’on trouve le bonheur. Alors, prêt à repenser votre rapport à l’argent et au travail ?

  • Florence Foresti: les horaires de bureau

    Qui n’a jamais rêvé de transformer sa journée de travail en stand-up ? Florence Foresti, reine de l’autodérision, nous le rappelle : entre le café froid, les réunions interminables et le collègue qui mange bruyamment, le bureau est un terrain de jeu absurde. « 9h-18h, c’est long quand on compte les minutes comme des années », plaisante-t-elle. Et si on adoptait son regard décalé ? Un sourire en coin devant l’imprimante en panne, un fou rire face à un mail corporatif trop sérieux… Après tout, l’humour est la meilleure pause café.

    Foresti nous prouve que même les horaires les plus rigides peuvent devenir une source d’inspiration comique. Alors, à quand un one-woman-show sur les open-spaces ? En attendant, gardons son esprit : le bureau, c’est comme un spectacle – il suffit de trouver le bon angle pour en rire.

  • Sketch ! Anne Roumanoff s’en prend aux réseaux sociaux

    Anne Roumanoff ne fait jamais dans la demi-mesure, et son dernier sketch sur les réseaux sociaux en est la preuve éclatante ! Avec son humour mordant et son regard acéré, l’humoriste passe au crible les travers de nos chères plateformes numériques : les influenceurs égocentriques, les débats stériles en commentaires, et ces fameuses « stories » qui transforment nos vies en spectacle permanent.

    Entre imitations savoureuses et répliques cinglantes, Roumanoff nous rappelle à quel point les réseaux sociaux ont révolutionné nos rapports humains… pour le meilleur et surtout pour le pire. Qui n’a jamais roulé des yeux devant un selfie trop retouché ou un post pseudo-philosophique à 3h du matin ? L’humoriste frappe juste, et le public rit jaune… tout en se reconnaissant un peu trop dans ses cibles !

    Un sketch qui fait mouche, comme toujours avec Roumanoff, et qui prouve qu’elle reste la reine de l’ironie sociale. À consommer sans modération, mais avec un brin d’autodérision!

  • Jean-Marc découvre le métier de Brigitte Lahaie !

    Jean-Marc, jeune homme curieux et ambitieux, tombe par hasard sur une vieille interview de Brigitte Lahaie, icône du cinéma pour adultes et figure libérée des années 70-80. Fasciné par son audace et son charisme, il plonge dans l’univers méconnu de ce métier, entre glamour, tabous et liberté d’expression. À travers des rencontres inattendues et des révélations surprenantes, Jean-Marc découvre que ce monde, souvent fantasmé, cache une réalité bien plus complexe et humaine. Une plongée captivante dans l’intimité d’un métier qui a marqué l’histoire du cinéma.

  • Laura Laune: c’était pas une question

    Laura Laune revient avec un one-woman-show aussi percutant qu’inattendu : C’était pas une question. Entre autodérision et observations acérées, elle explore les travers du quotidien avec un humour décalé et une énergie contagieuse. Son style unique, mêlant absurdité et sincérité, séduit un public toujours plus large. Sur scène, elle ose tout, bousculant les codes avec une liberté rafraîchissante.

    Ce spectacle confirme son talent pour transformer les situations banales en moments hilarants. Les spectateurs en redemandent, conquis par son charisme et son écriture ciselée. Une performance à ne pas manquer pour ceux qui aiment rire sans filtre.

  • Florence Foresti: j’aime pas les garçons

    Je vais être honnête : les garçons, ce n’est pas mon truc. Pas par méchanceté, ni par principe, mais simplement parce que je ne me sens pas en phase avec leur univers. Entre les clichés du « mâle alpha », les jeux de pouvoir, et cette tendance à tout ramener à la compétition, je me sens souvent à l’étroit. Et c’est OK.

    La société nous pousse à croire que l’attirance ou l’amitié avec les garçons est une norme, voire une obligation. Pourtant, mon bonheur ne dépend pas de leur validation. J’ai découvert que mes relations les plus enrichissantes étaient celles que je construisais avec des personnes qui me ressemblaient, qui partageaient mes valeurs, mes passions, et surtout, mon besoin de sincérité.

    Alors non, je n’aime pas les garçons. Mais ce n’est pas une condamnation, c’est un choix. Un choix de m’entourer de ce qui me fait du bien, de cultiver des liens authentiques, et de ne pas me forcer à aimer ce qui ne me correspond pas. Parce qu’au final, l’important, c’est d’être fidèle à soi-même, non ?

  • Coluche – Le syndicat : le délégué

    Coluche, ce clown triste aux mots tranchants, aurait-il fait un bon délégué syndical ? Imaginez-le, micro en main, face au patronat : « Les patrons, c’est comme les parachutes : ça ne sert qu’en cas de chute ! » Entre grèves et négociations, il aurait transformé les assemblées générales en one-man-shows engagés. Avec son humour acide et son cœur gros comme ça, il aurait défendu les ouvriers avec des slogans percutants : « Travailler plus pour gagner moins ? Même mon chien trouve ça con ! »

    Son syndicat à lui ? Celui des sans-voix, des précaires, des « petits » qu’il a toujours portés. En 1981, il rêvait de « partager le gâteau » plutôt que de le voler. Aujourd’hui, son héritage résonne encore : le rire comme arme, la solidarité comme bouclier. Et si le vrai syndicat, c’était l’humour ? Celui qui dérange, qui unit, et qui fait plier les puissants… sans jamais plier l’échine.