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  • Anne Roumanoff: flingue les politiques dans radio bistrot

    Avec Radio Bistro, Anne Roumanoff confirme son talent pour transformer l’actualité politique en spectacle hilarant. Armée de son humour acéré et de répliques cinglantes, elle passe au crible les travers de nos dirigeants, sans jamais tomber dans la méchanceté. Entre imitations savoureuses et observations percutantes, le public rit jaune… mais rit beaucoup. La reine du rire politique prouve une fois de plus qu’elle maîtrise l’art de dédramatiser les tensions sociales avec intelligence et légèreté.

    Dans ce one-woman-show, elle décrypte les petites phrases, les promesses non tenues et les postures ridicules, le tout avec une énergie communicative. Un spectacle à ne pas manquer pour ceux qui aiment rire de tout, surtout des puissants. Anne Roumanoff reste incontournable : drôle, pertinente et résolument libre.

  • Et tout le monde s’en fout: Le vote blanc

    Le vote blanc, souvent ignoré, est pourtant un symbole puissant. Il incarne le refus des choix imposés, une protestation silencieuse contre un système qui ne représente plus. Pourtant, en France, il reste invisible, comptabilisé comme un simple « non-vote ». Pourquoi ce mépris pour ceux qui osent dire « aucun de ces candidats ne me convient » ?

    Dans une démocratie en crise de confiance, le vote blanc devrait être reconnu, valorisé. Il n’est pas de l’abstention, mais un acte politique à part entière. Ignorer ces voix, c’est nier la frustration d’une partie de la population. Et si, au lieu de les effacer, on les écoutait ? Après tout, une démocratie qui ne sait pas entendre ses silences est-elle vraiment une démocratie ?

  • Des ministres millionnaires

    En France, certains ministres cumulent pouvoir et patrimoine. Entre héritages, carrières dorées et placements judicieux, leurs déclarations de patrimoine révèlent parfois des fortunes à faire pâlir le commun des mortels. Comment concilier service public et comptes en banque bien garnis ? Si la transparence est de mise, les citoyens s’interrogent : ces élites politiques sont-elles encore en phase avec les réalités économiques du pays ?

    Derrière les costumes sur mesure et les discours engagés se cachent parfois des portefeuilles bien remplis. Une situation qui alimente les débats sur l’équité et la représentation. Faut-il y voir le signe d’une réussite personnelle ou le symptôme d’un système déconnecté ? Une chose est sûre : dans un pays où le pouvoir d’achat est une préoccupation majeure, la richesse des dirigeants questionne. Et vous, que pensez-vous de ces ministres millionnaires ?

  • Sketch ! Anne Roumanoff a divorcé !

    Anne Roumanoff revient avec « À Divorce », un spectacle aussi hilarant que déchirant, où elle transforme les galères du couple en or comique. Avec son regard acéré et son autodérision légendaire, elle dissèque les travers de la vie à deux, les disputes absurdes et les espoirs déçus. Entre sketches percutants et répliques cultes, l’humoriste prouve une fois de plus qu’elle est la reine de l’observation sociale. Le public rit jaune… mais rit beaucoup !

    À travers des situations du quotidien poussées à l’extrême, Roumanoff explore les failles de nos relations avec une justesse implacable. Un one-woman-show drôle, intelligent, et terriblement humain. À voir absolument pour ceux qui ont déjà rêvé de tout plaquer… ou qui l’ont fait !

  • Paul Mirabel – Je me suis fait racketter

    Le point de départ est une situation de racket : quelqu’un l’aborde, lui réclame son téléphone. C’est une situation de tension, potentiellement violente ou intimidante.

    Paul Mirabel choisit d’y répondre non pas par la peur ou la fuite, mais par l’humour. Il improvise une réponse absurde, cherchant à désamorcer la situation par une réaction décalée. C’est ce contraste entre la gravité potentielle de ce type de situation et la maladresse ou l’ironie du personnage qui crée le comique.

    Le personnage de Paul Mirabel est celui d’un “petit” individu : vulnérable, peu sûr de lui, mais qui utilise sa singularité, son “personnage”, pour transformer l’embarras, la peur ou la honte en matière comique.

  • SKETCH INÉDIT : Constance et Jérémy Ferrari

    Découvrez sans attendre le nouveau sketch inédit de Constance et Jérémy Ferrari, un mélange détonant d’humour noir et d’absurde qui ne manquera pas de vous faire rire aux éclats. Avec leur style unique et leur complicité évidente, les deux humoristes repoussent une fois de plus les limites de l’humour, abordant des sujets tabous avec une audace rafraîchissante. Jérémy Ferrari, maître de l’ironie mordante, et Constance, reine de l’autodérision, forment un duo imparable qui secoue les conventions.

    Ce sketch, disponible exclusivement sur Mes Délires, prouve encore que l’humour peut être à la fois intelligent et décalé. Préparez-vous à des punchlines cinglantes et des situations aussi absurdes qu’hilarantes. Un moment de pur divertissement à ne pas manquer pour les amateurs de rire sans filtre !

  • Constance, l’infirmière au cœur des tourments

    Dans l’effervescence des couloirs de l’hôpital, Constance règne en maîtresse des situations les plus folles. Entre les patients excentriques, les collègues débordés et les drames du quotidien, elle garde son sourire et son sens aigu de la répartie. Armée de son stéthoscope et d’une patience à toute épreuve, elle transforme chaque crise en anecdote hilarante. Que ce soit pour calmer un enfant paniqué ou désamorcer une dispute entre médecins, son humour et son humanité font des miracles. Mais attention : derrière ses blagues et ses regards malicieux se cache une professionnelle hors pair, toujours prête à sauver des vies… ou à sauver la journée avec une dose de café et une pointe de sarcasme. À travers ses aventures, Constance nous rappelle que le rire est parfois le meilleur remède.

  • Et tout le monde s’en fout – Le désir sexuel

    Dans une société obsédée par la performance et l’image, le désir sexuel reste un sujet à la fois omniprésent et soigneusement enfoui. On en parle en chuchotant, entre deux publicités pour des produits « boostants » ou dans des séries qui le normalisent… à condition qu’il soit esthétique, conforme, vendable. Pourtant, ce qui brûle en silence, ce sont les désirs inavoués, les fantasmes qui dérangent, les corps qui refusent de se plier aux attentes.

    Et si l’indifférence générale n’était qu’un leurre ? Une façon de masquer notre peur de l’authenticité, de la vulnérabilité, de ce qui échappe au contrôle ? Le désir, dans toute sa complexité, dérange parce qu’il rappelle une vérité simple : nous ne sommes pas des robots. Nous sommes des êtres de chair, de contradictions, de soif inassouvie.

    Alors, oui, « tout le monde s’en fout »… jusqu’à ce qu’on ose en parler. Jusqu’à ce qu’on assume que le désir, même maladroit, même imparfait, est peut-être la dernière rébellion qui nous reste.

  • Constance: Le portrait type de l’autostoppeuse

    Constance incarne l’autostoppeuse idéale : un sourire désarmant, un sac à dos rempli d’histoires et une confiance inébranlable en l’inconnu. Elle ne compte pas les kilomètres, mais les rencontres. Avec son carnet de voyage taché d’encre et de café, elle transforme chaque trajet en aventure, chaque conducteur en complice. Pas de GPS, juste l’instinct et la générosité des autres. Son mantra ? « La route est une école, chaque stop une leçon. »

    Vêtue d’une veste usée et de baskets éraflées, elle défie les préjugés : l’autostop n’est pas un hasard, mais un art. Entre deux pouces levés, elle collectionne les anecdotes, les paysages et les fous rires. Pour elle, voyager, c’est accepter de se perdre pour mieux se trouver.

  • L’humour à la plage – Anne Roumanoff : comment j’appelle mon compagnon

    Avec « L’humour à la plage », Anne Roumanoff confirme son talent pour transformer le quotidien en spectacle hilarant. Dans ce one-woman-show en plein air, elle aborde avec brio les travers de la vie moderne, les relations amoureuses et les petits tracas du quotidien. Son style incisif et son autodérision captivent le public, faisant d’elle une incontournable de l’été.

    Entre sketches percutants et répliques cultes, Roumanoff explore les joies et les peines de la vie à deux, notamment à travers la question : « Comment j’appelle mon compagnon ? » Un thème universel qui résonne avec humour et tendresse.

    À travers des anecdotes savoureuses, elle prouve une fois de plus que le rire est le meilleur remède. Un spectacle rafraîchissant, à savourer les pieds dans le sable !