Catégorie : vidéos

  • Les blagues de Tonton, des idées pour le réveillon

    Les blagues de Tonton, des idées pour le réveillon

  • Ma colocataire prend du crack

    Ma colocataire prend du crack – La chronique d’Aymeric Lompret

  • L’argent et le travail c’est SUPER

    L’argent et le travail c’est SUPER – La chronique d’Aymeric Lompret dans « La dernière »

  • Florence Foresti: les horaires de bureau

    Florence Foresti: les horaires de bureau

  • Sketch ! Anne Roumanoff s’en prend aux réseaux sociaux

    Anne Roumanoff ne fait jamais dans la demi-mesure, et son dernier sketch sur les réseaux sociaux en est la preuve éclatante ! Avec son humour mordant et son regard acéré, l’humoriste passe au crible les travers de nos chères plateformes numériques : les influenceurs égocentriques, les débats stériles en commentaires, et ces fameuses « stories » qui transforment nos vies en spectacle permanent.

    Entre imitations savoureuses et répliques cinglantes, Roumanoff nous rappelle à quel point les réseaux sociaux ont révolutionné nos rapports humains… pour le meilleur et surtout pour le pire. Qui n’a jamais roulé des yeux devant un selfie trop retouché ou un post pseudo-philosophique à 3h du matin ? L’humoriste frappe juste, et le public rit jaune… tout en se reconnaissant un peu trop dans ses cibles !

    Un sketch qui fait mouche, comme toujours avec Roumanoff, et qui prouve qu’elle reste la reine de l’ironie sociale. À consommer sans modération, mais avec un brin d’autodérision!

  • Jean-Marc découvre le métier de Brigitte Lahaie !

    Jean-Marc découvre le métier de Brigitte Lahaie !

  • Laura Laune: c’était pas une question

    Laura Laune: c’était pas une question

  • Florence Foresti: j’aime pas les garçons

    Je vais être honnête : les garçons, ce n’est pas mon truc. Pas par méchanceté, ni par principe, mais simplement parce que je ne me sens pas en phase avec leur univers. Entre les clichés du « mâle alpha », les jeux de pouvoir, et cette tendance à tout ramener à la compétition, je me sens souvent à l’étroit. Et c’est OK.

    La société nous pousse à croire que l’attirance ou l’amitié avec les garçons est une norme, voire une obligation. Pourtant, mon bonheur ne dépend pas de leur validation. J’ai découvert que mes relations les plus enrichissantes étaient celles que je construisais avec des personnes qui me ressemblaient, qui partageaient mes valeurs, mes passions, et surtout, mon besoin de sincérité.

    Alors non, je n’aime pas les garçons. Mais ce n’est pas une condamnation, c’est un choix. Un choix de m’entourer de ce qui me fait du bien, de cultiver des liens authentiques, et de ne pas me forcer à aimer ce qui ne me correspond pas. Parce qu’au final, l’important, c’est d’être fidèle à soi-même, non ?

  • Coluche – Le syndicat : le délégué

    Il y a des sketches qui ne prennent pas une ride. « Le syndicat, le délégué » de Coluche en fait partie. Avec son humour corrosif et son regard acéré, le clown aux cheveux blancs y dépeignait déjà, dans les années 1980, les travers d’un syndicalisme parfois éloigné des réalités des travailleurs. « Un délégué syndical, c’est un gars qui te fait la grève pour que toi, t’aies le droit de bosser », lançait-il, résumant en une phrase l’absurdité d’un système où ceux qui devraient défendre les ouvriers finissent par s’institutionnaliser, voire se couper du terrain.

    Aujourd’hui, ses mots résonnent avec une actualité brûlante. Entre les divisions syndicales, les réunions interminables et les accords signés sans consultation, beaucoup de salariés se sentent trahis par des structures censées les protéger. Coluche, avec son génie, pointait du doigt cette dérive : le syndicalisme comme machine bureaucratique, où les délégués deviennent des professionnels de la négociation… mais pas toujours des représentants du peuple.

    Pourtant, son sketch n’était pas une condamnation, mais un appel à la vigilance. « Faut pas se laisser bouffer », semblait-il nous dire. À l’heure où les inégalités explosent et où les travailleurs peinent à se faire entendre, son humour reste une piqûre de rappel : le syndicalisme a du sens quand il part du terrain, pas des salles de réunion.

    Et si, finalement, la meilleure façon de lui rendre hommage était de prendre ses mots au sérieux ? Moins de discours, plus d’action. Comme il l’aurait sans doute dit : « La grève, c’est comme l’amour : ça se fait à deux, et si t’es tout seul, t’es dans la merde.

  • le lendemain de soirée

    Florence Foresti: le lendemain de soirée