Catégorie : musiques

  • saint Valentin: Laura Laune

    La Saint-Valentin, cette fête tant attendue… ou redoutée. Laura Laune, reine de l’autodérision et de l’humour acéré, s’en empare dans une chronique hilarante qui résume à elle seule tous nos échecs amoureux. Entre les cadeaux ratés (« Un fer à repasser ?! Vraiment ?! »), les dîners trop chers pour une ambiance de cantine, et les attentes irréalistes (« Oui, chéri, je veux bien que tu me fasses la vaisselle… mais pas que ça »), elle dissèque avec brio les travers de cette journée censée célébrer l’amour.

    Ce qui frappe, c’est sa capacité à transformer nos pires moments en fous rires. Qui n’a jamais vécu un rendez-vous galant tourné au cauchemar ? Laura Laune, elle, ose en parler sans filtre, avec un mélange de cynisme et de tendresse. Elle rappelle que l’amour, c’est aussi des chaussettes qui traînent, des disputes pour un robinet mal fermé, et des « je t’aime » murmurs entre deux bâillements.

    Son texte est une bouffée d’oxygène : drôle, libérateur, et surtout réaliste. Parce qu’au fond, la vraie magie de l’amour, c’est de rire ensemble… même (surtout ?) de nos propres désastres.

    À lire pour survivre à la Saint-Valentin… ou pour enfin assumer qu’on la déteste.

  • Laura Laune chante « La rupture » (sans prendre de pincettes !!!)

    Avec son humour mordant et son franc-parler, Laura Laune s’attaque à un thème universel : la rupture amoureuse. Dans sa chanson « La rupture », l’humoriste et chanteuse ne prend pas de pincettes pour décrire les affres d’une séparation. Entre ironie et autodérision, elle transforme une expérience souvent douloureuse en un morceau libérateur, où chaque mot résonne comme une thérapie collective.

    Laura Laune, connue pour son style direct et son approche décomplexée, prouve une fois de plus qu’elle maîtrise l’art de parler de sujets sérieux avec légèreté. « La rupture » n’est pas une complainte, mais un hymne à la résilience, où les rires se mêlent aux larmes. Les paroles, ciselées avec justesse, reflètent les contradictions et les absurdités des relations amoureuses, tout en offrant une bouffée d’oxygène à ceux qui ont vécu des histoires similaires.

    À travers cette chanson, Laura Laune confirme son talent pour aborder des thèmes intimes avec une sincérité désarmante. « La rupture » est bien plus qu’un simple morceau : c’est une invitation à rire de ses propres échecs, et à en sortir plus fort. Une performance qui ne laisse personne indifférent.

  • parce que tu es gros

    Ce sketch culte, souvent attribué à l’univers du théâtre amateur ou des scènes humoristiques populaires, joue avec une simplicité déconcertante sur les clichés et les préjugés liés à l’apparence physique. « Parce que t’es gros » résume, en une phrase, toute l’absurdité des jugements hâtifs et des étiquettes que la société colle aux individus. À travers un dialogue minimaliste et une chute inattendue, l’auteur – souvent anonyme ou issu de collectifs de sketchs – rappelle que l’humour peut être un outil puissant pour pointer du doigt les travers sociaux.

    L’efficacité de ce texte repose sur son apparente naïveté : en quelques répliques, il met en lumière l’hypocrisie des critiques faciles et la banalité des remarques blessantes. « Parce que t’es gros » devient alors une formule choc, un miroir tendu à ceux qui jugent sans réfléchir. Ce genre de sketch, très prisé dans les ateliers de théâtre ou les spectacles improvisés, prouve que le rire peut servir à la fois de divertissement et de prise de conscience.

    En somme, « Parce que t’es gros » est bien plus qu’un simple gag : c’est une invitation à réfléchir sur la manière dont nous traitons les différences, et un rappel que l’humour, quand il est bien utilisé, peut être un formidable vecteur d’empathie.

  • C’est la France ici !

    Cliquez ici pour tchatter avec elle

    Chanson créée par NikoBull. Titre:  » C’est la France ici ! « 

    Le contenu du blog annonce une chanson sans pour autant la présenter ou en dévoiler les paroles.

    Les réactions des lecteurs sont variées : humour léger, engagement politique, inquiétudes économiques, souhaits de cohésion et d’ouverture.

    L’article semble servir d’amorce plus que de contenu complet, un point de départ invitant à la conversation.

  • urgence aux urgences

    Les services d’urgences, censés sauver des vies, se transforment souvent en parcours du combattant. Surcharge, manque de personnel, attentes interminables : le constat est accablant. Patients entassés dans des couloirs, soignants épuisés, tensions à fleur de peau. Pourtant, derrière chaque dossier médical, il y a une histoire, une souffrance, une famille en détresse. Comment en est-on arrivé là ? Budget insuffisant, déserts médicaux, gestion défaillante… Les causes sont multiples, mais les solutions tardent. Pendant ce temps, des vies se jouent dans l’ombre des box surchauffés. Et si la vraie urgence était de repenser notre système de santé ? Car soigner, c’est aussi écouter, accompagner, et surtout, donner à chacun la place qu’il mérite. L’humanité ne devrait jamais attendre son tour.

  • chanson pour les smicards

    Les smicards, ces héros du quotidien, méritent leur propre chanson. Entre les fins de mois difficiles et les rêves étouffés, leur vie est une mélodie de résilience. Une chanson pour eux, ce serait un mélange de rage et d’espoir, un rythme qui swingue entre la fatigue des 35 heures et l’énergie des soirs de paye. Des paroles qui parlent de tickets resto, de loyers trop chers, mais aussi de ces petits bonheurs volés : un café partagé, un rire entre collègues. Une ode à ceux qui font tourner le monde sans jamais en récolter les applaudissements. Parce que même au SMIC, on a le droit de chanter sa vie.

  • Si je vote blanc : l’humour comme exutoire politique

    En 2017, l’humoriste Anthony Joubert publiait « Si je vote blanc », une parodie de la chanson « Un homme debout ». Ce titre, loin d’être une simple blague, résonne comme un cri du cœur pour tous ceux qui, déçus par la classe politique, envisagent le vote blanc comme une forme de protestation silencieuse. À travers des paroles mordantes et un ton décalé, Joubert met en lumière l’absurdité d’un système où les promesses électorales s’envolent aussi vite que les bulletins dans l’urne.

    Le vote blanc, souvent perçu comme un geste de désengagement, devient sous sa plume un acte de résistance. « Si je vote blanc, c’est pas par hasard, c’est parce que j’ai plus confiance en personne », chante-t-il, résumant en une phrase le sentiment de trahison éprouvé par de nombreux citoyens. Cette parodie, bien que comique, soulève une question sérieuse : comment redonner du sens à la démocratie quand les électeurs ont l’impression que leur voix ne compte plus ?

    Anthony Joubert, connu pour ses chansons engagées et ses parodies percutantes, utilise l’humour pour aborder des sujets de société avec légèreté, sans jamais tomber dans la caricature facile. « Si je vote blanc » s’inscrit dans cette veine, mêlant rires et réflexion. Le succès de la vidéo sur YouTube, avec des milliers de vues et des commentaires approbateurs, prouve que le message touche une corde sensible.

    En période électorale, où les discours se multiplient et les promesses s’accumulent, cette chanson rappelle que l’abstention ou le vote blanc ne sont pas toujours des signes d’indifférence, mais parfois des choix délibérés. Et si l’humour ne change pas le monde, il permet au moins de le regarder en face, avec un sourire en coin.

  • Les Chevaliers du Fiel

    Depuis 1989, Les Chevaliers du Fiel révolutionnent l’humour avec leur style unique, mêlant absurdité, jeux de mots et énergie débridée. Composé de Éric Carrière et Rémy Gaillard (remplacé par Philippe Chappuis en 2012), ce duo a marqué la scène française avec des spectacles cultes comme « Les Chevaliers du Fiel font leur cinéma » ou « Le Mystère des Chevaliers ».

    Leur humour, à la fois potache et intelligent, séduit un public varié. Entre sketches hilarants et parodies audacieuses, ils prouvent que l’humour n’a pas de limites. Toujours en tournée, ils continuent de faire rire, rappelant que le rire est le meilleur remède contre la morosité.

  • Michaël Gregorio – 4 accords

    Michaël Gregorio, imitateur, chanteur et humoriste français, est surtout connu pour son talent unique à reproduire les voix des plus grandes stars de la chanson. Parmi ses performances les plus marquantes, son numéro « 4 accords » reste un incontournable. Ce sketch, où il interprète plusieurs tubes populaires en utilisant seulement quatre accords de guitare, démontre toute l’étendue de son génie vocal et comique. En quelques minutes, Gregorio passe de Christophe Maé à Shakira, en passant par M. Pokora ou encore Julien Doré, le tout avec une justesse et une énergie qui laissent le public sans voix.

    Son spectacle « L’Odyssée de la Voix », actuellement en tournée en France et en Belgique, confirme son statut d’artiste complet. Entre humour, émotion et performances vocales époustouflantes, Gregorio transporte son public dans un univers où la musique et l’imitation se mêlent avec brio. Chaque représentation est une célébration de la diversité musicale, portée par une énergie contagieuse et un sens du spectacle hors pair.

    Avec « 4 accords », Michaël Gregorio prouve qu’il suffit parfois de peu pour créer de la magie sur scène. Une performance à ne pas manquer pour tous les amateurs de musique et de rire!

  • Laura Laune – Une chanson sur la Suisse

    Laura Laune, reine de l’humour décalé, surprend encore avec une chanson dédiée à la Suisse. Entre clichés savoureux et autodérision, elle explore les stéréotypes helvétiques avec son style unique : chocolat, montagnes, et ponctualité légendaire. Toujours aussi piquante, l’humoriste transforme les particularités suisses en punchlines hilarantes, prouvant que l’humour n’a pas de frontières. Une création qui rappelle son talent pour mêler musique et comédie, tout en célébrant les petits travers de nos voisins alpins. À découvrir absolument pour un fou rire garanti !